Balance ta rosière
Ne serait-il pas plus succinct de nous dévoiler d'un coup la liste des starlettes passées, présentes et en devenir n'ayant pas été confrontées aux avances d'un homme ?
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Balance ta rosière
Ne serait-il pas plus succinct de nous dévoiler d'un coup la liste des starlettes passées, présentes et en devenir n'ayant pas été confrontées aux avances d'un homme ?
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La Citation du Jour
« La différence entre un navigateur et un homme politique, c'est que le navigateur, lui, il affiche ses sponsors sur ses vêtements… »
Charline Vanhoenacker – France Inter
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À chacun son (Père) Noël
Pierrot, pour croire en l'avenir de l'Homme, se fabrique un Noël féministe…
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Petites nouvelles de la Mare aux canards
Logiquement, ça devrait pouvoir s'arranger !
Titre Var-Matin
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Le cauchemar du notaire
Familles recomposées : il va y avoir du pain sur la planche pour les notaires et les généalogistes en charge de régler les successions ! Voici un exemple de ce qui les attend.
Je suis un homme de 27 ans et je me suis marié à une divorcée de 46 ans, mère d'une fille de 25 ans.
Comme cette dernière aime les hommes mûrs, elle s'est éprise de mon père qu'elle a épousé.
Dès lors, mon père est devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma belle-fille.
Mais, dans le même temps, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est désormais la femme de mon père.
Là, le notaire commence déjà à transpirer !
Or, ma femme et moi avons donné naissance à un fils.
Cet enfant est naturellement devenu le frère de la femme de mon père… c'est-à-dire le beau-frère de mon père.
Et, dans le même temps, il est devenu mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère.
Mon fils est donc mon oncle.
Là, le notaire se fait apporter un Doliprane par son clerc !
Mais il n'est pas au bout de ses surprises !
En effet, mon père et sa femme ont donné le jour à un garçon qui, de fait, est devenu mon frère puisqu'il est le fils de mon père… mais aussi mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme.
Je me retrouve ainsi le frère de mon petit-fils !
Et notre grand-mère commune n'est autre que ma femme.
Du coup, je me retrouve mon propre grand-père !!
Là, le notaire fait un malaise…
Le pauvre ! Imaginez ce que cela va être pour lui, avec le Mariage Pour Tous, lorsqu'un père sera la mère ou une mère sera le père !!!
Merci Tonton Michel !
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Pour respecter la tradition
Dédicace spéciale à tous mes frères (ℹ)Le Mot du Jour n’emploie jamais l’agaçante redondance masculin/féminin qui sert bien souvent de masque à une misogynie latente. irréductibles procrastinateurs…
…et néanmoins soucieux de l'état de la planète.
Charlie Hebdo – 23/12/2015
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Message subliminal
Elle, l'œil humide, la bouche entrouverte, se penche lascivement en avant…
Lui, surveillant les alentours, dégrafe subrepticement son veston, la main gauche partie en exploration intime…
Mais quel rêve ces deux-là sont-ils donc en passe de réaliser ?
Mais non ! Que vas-tu penser là ?
► Suite : le fin mot de l'histoire
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Le pauvre homme !
Un « capitaine d’industrie » (ℹ)Olivier Brandicourt. Sur Wikipedia : cliquez
Olivier Brandicourt, né le 13 février 1956 à Casablanca, est un médecin et un dirigeant d'entreprises français. Il fut DG de Sanofi du 2 avril 2015 au 31 août 2019. vient de se voir attribuer un cadeau de bienvenue (en français « golden hello ») de QUATRE MILLIONS d’euros.
– Le pauvre homme !
Je laisse à d’autres économistes distingués le soin de déterminer la provenance de cette manne.
Mais 4 000 000 d’euros, c’est quoi ? Souhaitons à ce génie du management de vivre encore 100 ans à dater de ce jour. Car je ne doute pas que les recherches conduites sous son extraordinaire compétence permettront d’étonnants progrès de la science pharmaceutique.
Cent ans disais-je. Admettons que ce grand humaniste abandonne dorénavant son salaire à des œuvres de charité et qu’il ne vive que sur sa prime (dont, pour la commodité du calcul, nous négligerons la rente). Son revenu annuel, ridicule par rapport à celui de ses pairs, ne se monterait qu’à 40 000 euros.
Dans les 4 000 euros par mois, finalement, on n’est pas si loin du salaire médian en France…
– Le pauvre homme !
Avec la complicité de Geluck et de Molière
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Coquin de sort !
Une pensée pour le gars qui a dit à sa femme qu'il prenait le vol MH370 et qui, depuis, est bloqué chez sa maîtresse…
Encore merci à Rachel, promue pourvoyeuse officielle de Mot du Jour en période de manque…
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Ma bible au premier degré – Saison 1 – La Genèse
Résumé de l’épisode précédent :
Décès de Sara. La recherche d’une sépulture donne lieu à de subtiles tractations immobilières par lesquelles Abraham devient propriétaire terrien en son pays d’adoption. La mort de son épouse lui donne à réfléchir et, pour organiser sa propre succession il lui faut arranger le mariage de son fils Isaac. C’est un vieux et fidèle serviteur qu’il charge du rabattage de la pucelle adéquate et consanguine. Cet émissaire déniche Rebecca.
22 - De bien courtes fiançailles
Rebecca file raconter l’aventure à la maison. Laban, le frère de Rébecca, assiste de loin à la discussion, mais surtout, il est fasciné par la joncaille qu’arbore désormais sa sœur. Il rapplique en courant, juge vite fait le bonhomme riche et bénéficiant de solides appuis et il confirme la proposition d’hébergement pour l’homme et les chameaux. Le chamelier et toute sa clique reçoivent donc un accueil royal, pédiluve inclus. Avec bien sûr le festin qui s’impose.
Mais avant le bénédicité, l’envoyé d’Abraham (s’il m’avait dit son nom, celui-là, ça m’aurait bigrement simplifié l’épisode !) tient à déballer le message du patron. Il le fait simple :
« Mon boss, c’est Abraham, un VIP very puissant. Il est plein aux as : du bétail, de l’or, de l’argent, des esclaves mâles et femelles, des chameaux et des ânes en pagaille. C’est vraiment un gros bonnet. Tout ça il l’a obtenu grâce à l’appui inconditionnel du Parrain des parrains qui l’a vraiment, mais vraiment, à la bonne. Que je vous dise : Abra, il a un fils que sa pauvre femme avait eu sur le tard. Et bien il lui a tout mis à son nom, tout ! Et il veut le marier, ce fils. Mais comme il ne pourra pas attendre l’invention de Meetic, il m’a chargé de prospecter pour lui une pucelle convenable. Convenable, c'est-à-dire pas une autochtone du pays de Canaan où il habite, non, il veut une fille de son pays à lui et qui lui soit apparentée, une descendante de Térach en somme. Vous commencez à mordre le topo ? Et vous allez voir à quel point il est pistonné, mon Seigneur Abraham ! Cet aprèm’, je fais étape au puits. La première bergère qui passe présente tous les aspects que je recherche : elle puise de l’eau pour moi, elle abreuve mes camélidés (marre de toujours parler des chameaux !). Bref, elle a le Loto dans l’ordre, manque plus que le numéro complémentaire. Et paf ! Elle vient me bonnir qu’elle est la fille du cousin de mon Boss ! Bingo ! Voilà. Vous avez les cartes en main, à vous de voir… ».
Béthuel et Laban, sans même faire semblant de réfléchir lui lâchent un laconique « Bof, si Dieu le veut alors… ». Faux-culs ! Pour sceller le marché l’émissaire déballe ses somptueux cadeaux pour Rebecca, mais aussi de riches présents à papa, maman et frérot. On peut passer à table !
Le lendemain matin, à peine levé, le chamelier est déjà sur le départ :
— Bon, on y va ?
Laban et la maman de la fiancée :
— Calmos ! Y a pas le feu au lac… Laisse-nous encore Rebecca une dizaine de jours, qu’on se fasse à l’idée.
Intraitable, qu’il est l’esclave. Un cœur tendre, comme son patron !
— Le boss il m’a dit de faire l’aller-retour vite fait. Pas question que je lambine.
On appelle donc la fiancée. Elle ne fait pas d’objection à un départ immédiat (on s’abstiendra d’émettre quelque hypothèse sur la rapidité de sa décision…). Le temps de mobiliser sa gouvernante, de recevoir tous les bons vœux de succès et de prospérité de la family, il est temps d’enfourcher les chameaux et le chamelier trace la route.
C’est le soir. Isaac prend le frais dans les champs, il aperçoit une caravane qui arrive. Parmi la caravane, le chameau de Rebecca. Il met genoux à terre. Elle met pied à terre et demande qui est ce type qui vient vers eux. Quand le chamelier lui confirme qu’il s’agit bien de son futur (proche, tu vas voir) elle se hâte de se voiler la face. (C’est à ce genre de manière qu’on reconnait les vierges effarouchées, et tu vas voir, elle n’a pas tort de s’effaroucher, Rebecca…)
Elle a à peine repris contact avec le plancher des vaches chameaux, juste le temps pour l’esclave de résumer le chapitre précédent, voilà Isaac qui s’occupe de la gamine. Il ne perd pas des plombes à débiter les salades d’usage, à se fendre d’un restau chicos, ni à se trouer les tympans dans la dernière boîte à la mode, rien de tout ça. Il l’emmène directement sous sa tente ! Ah non… Excuse, pas sous sa tente mais sous la tente de sa défunte mère. Et c’est dans le lit de sa môman qu’il s’attaque à la virginité de Rebecca, le petit dernier, chouchou de son papa… Oh là là ! Faudrait être le fils de Sigmund Freud et de Françoise Dolto pour interpréter correctement ce verset-là !
C’était la Genèse – 24 (le plus long)
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dans ► 1 La Génèse – 1.22 De bien courtes fiançailles.
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Ma contribution au débat sur la supposée théorie du genre
– Mais qu’est-ce qu’on leur apprend à la Maternelle ? (Jean-François)
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Ma bible au premier degré – Saison 1 – La Genèse
Résumé de l’épisode précédent :
Abram, nouveau riche, avec tout son cheptel, toute sa maisonnée, plus ceux du neveu Lot, reprend la route par laquelle ils étaient venus. Ils sont bien plus nombreux, ça fait trop de bouches à nourrir et ça sème vite la zizanie chez leurs bergers respectifs. Ils décident de se séparer : Lot s’en va zoner en banlieue de Sodome et Abram, sur les conseils appuyés de l’Éternel, s’en va planter sa tente sous les chênes de Mamré, avec promesse de bail emphytéotique transmissible et reconductible. (L’a p’t’être bien une idée derrière la tête, le Boss, moi je dis ?)
11 - Chikaya sous les derricks
Seulement voilà… Dans ces contrées du Middle-East, c’est déjà l’intifada quasiment permanente. L’affaire est complexe : des tribus nomades qui s’allient, se désallient. Bref, rien qui n’ait beaucoup changé sous le soleil de la région Jourdain/Mésopotamie.
En gros, les nomades tentent de s’accaparer les richesses des sédentarisés. Et ils finissent par y arriver : les rois de Sodome et de Gomorrhe prennent la pâtée, s’enfuient, et disparaissent dans une région de puits de « bitume ».
Comme tu l’imagines, les vainqueurs mettent à sac Gomorrhe et Sodome et la banlieue… Et le riche établissement de Lot n’est pas exempt ! Enlevé, lui et toute sa caravane.
Un rescapé de la razzia s’en vient raconter tout ce western à Abram, qui se la coulait toujours douce sous son chêne. Tonton, qui a le sens de la famille, quitte son hamac, lève une armée de trois cent dix-huit mercenaires, fait la courette aux pillards et vient te les prendre en tenaille du côté de Damas. Je sais, ça peu paraître bizarre, mais à eux seuls, ces trois cent dix-huit gus récupèrent tout le magot, Lot, bétail et femmes compris.
Sur le chemin du retour, le roi de Sodome s’avance en grande pompe pour accueillir le vainqueur. Le sacrificateur du Dieu Très-Haut l’accompagne. Il bénit tout ce qu’il y a à bénir et s’en retourne après avoir récupéré sa dîme sur tout le butin (Denier du Culte).
Puis le roi prend Abram à part : « Ecoute, sois pas trop rapace. Tu me rends tous les humains et tu gardes tout le reste. Ça joue ? » Alors là, peut-être que le petit père Abram il avait eu trop la honte quand Pharaon l’a viré comme un malpropre, mais voilà t’y pas qu’il restitue tout le blot au roi de Sodome. « Jusqu’au dernier cordon de soulier » !
Non sans prendre Dieu à témoin de ses largesses toutefois…
C’était la Génèse – 14
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dans ► 1 La Génèse – 1.11 Chikaya sous les derricks.
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► Page 1 : Chapitre 11 - Chikaya sous les derricks
► Page 2 : Chapitre 12 - Bad trip pour le Conquistador
Pages: 1· 2
Ma bible au premier degré – Saison 1 – La Genèse
9 – Julot casse-croûte : Le plus vieux métier du monde
Résumé de l’épisode précédent :
On fait comme Il a dit. On peuple. On bosse. On construit. Tout ce petit monde s’entend si bien qu’on prend la grosse tête et qu’on veut se construire une Babel tower géante qui touchera le ciel ! Mais le big boss prend ça pour une menace à sa suprématie. Il sème la zizanie dans le chantier : plus personne ne se comprend. Dispersion des équipes aux quatre coins du globe. (Ou du disque, on sait encore pas trop). Non mais !
Le temps passe sur les mémoires… On oublie l’évènement… Et puis Dieu se rappelle qu’il n’a pas joué aux PlayMobil depuis longtemps… Il ressort Abram, un des petits derniers, et le lance dans de nouvelles aventures. Lui raconte que l’herbe est bien plus verte au pays de Canaan, qu’il a tout à gagner à ce plan Erasmus, que de toute façon il sera toujours derrière lui en cas de tuile.
Et voilà mon Abram avec son père, sa femme, son neveu et toute la maisonnée en route pour Canaan. Arrivé dans Sichem, aux chênes de Moré, un coin sympa, Dieu vient le regonfler un peu en lui promettant que tout ce coinceteau sera pour sa descendance. Cool. Toute la troupe se remet en route cap au Sud. Et là, l’Éternel te leur concocte une famine digne du Sahel. Il est comme ça… Peut pas s’empêcher… À croire qu’il a mauvais fond… En bon chef de harde, Abram décide de faire un détour par l’Égypte ; mais là ça craint. Pas bonne réputation les Égyptiens… S’ils repèrent la caravane, à tous les coups ils seront pas indifférents aux appas de la belle Saraï. Et pour la pécho, ils hésiteront pas à faire la peau au mari… Voilà ce qu’il se dit, Abram, dans sa petite tête de chouchou du seigneur. Alors il n’écoute que son courage et il va faire la leçon à sa femme : « Si jamais on se fait gauler, steuplé, dis que t’es ma sœur, pas ma femme. P’tête bien que t’auras droit à ta tournante, mais au moins, en tant que frangin, ils m’oublieront ». On sait parler aux femmes à cette époque !
Il a bien vu, Abram… Ça se passe tout comme ça… À ceci près que les supposés pas gentils Égyptiens opèrent en douceur : Saraï est un morceau de roi, aussi ils la mènent direct chez Pharaon. On ne peut pas parler d’enlèvement à proprement parler, puisqu’en échange de sa « sœur » Abram reçoit tout un cheptel de bœufs, de moutons, ânes, chameaux avec en prime les bergers et les bergères qui vont avec !
Un gentlemen agreement en quelque sorte !
Mais l’Éternel, qui a tout guigné du coin de son nuage, le marché lui plait pas, mais pas du tout. Et il t’envoie plein de gross malheurs sur la binette à Pharaon en se débrouillant pour lui laisser savoir la vérité vraie et le pourquoi du comment de la chose.
Une colère de pharaon ! Il convoque Abram. Lui fait la morale, comme quoi c’est un menteur, un maquereau et tout ça. Il file tout le ménage à la rue mais, grand seigneur, il laisse partir Abram avec troupeaux et serviteurs…
Moi, je trouve qu’il a de la gueule, ce Pharaon-là !
C’était la Génèse – 12
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dans ►1 La Génèse – 1.9 Julot casse-croûte.
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► Page 1 : Chapitre 9 – Julot casse-croûte : Le plus vieux métier du monde
► Page 2 : Chapitre 10 – On the road again !
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Ma bible au premier degré – Saison 1 – La Genèse
7 – Une mufflée qui fera date !
Résumé de l’épisode précédent :
Avant de mettre son projet de génocide à exécution, Dieu se dit qu’il serait dommage de jeter le bébé avec l’eau du bain. Il charge Noé, le dernier descendant adulte d’Adam et Ève, de sauvegarder des couples de tous ses Play-Mobil en les entassant dans un gros bateau de sauvetage qu’on immatricule « ADN » et vogue la galère, sur une inondation purificatrice. Après plusieurs mois de dérive, Dieu décrète la marée basse. Noé fayote à coup de barbecues géants cramés et Dieu décide de se montrer un peu plus câlin désormais. (Tu parles ! Attends la suite !)
« Vous voilà donc parés pour un nouveau départ. Une mission : Faîtes des gosses à tire-larigot et remplissez-moi cette planète ! Et vous embêtez pas avec la sauvegarde des espèces : vous pouvez becqueter tout ce qui bouge, tout est à votre disposition, je vous le donne ».
Et comme preuve de sa bonne foi, Dieu leur peint un chouette arc-en-ciel qui lui servira de pense-bête si l’envie lui reprenait de jouer à nouveau au déluge.
C’est donc Noé et ses trois fils : Sem, Cham et Japhet, avec le concours de Canaan, fils de Cham, qui ont la lourde charge de repeupler la planète et de la rendre habitable.
Grand papa Noë commence par le principal : il plante une vigne, obtient du vin… Et bien sûr, invente la première cuite. Mais une sévère ! L’avait pas l’habitude, y tenait pas la bouteille. C’est Cham qui le trouve, à poil, ivre mort dans sa tente. Il appelle ses frangins et ils remettent gentiment papa en état de marche.
Et l’autre pochetron, quand il émerge, tu crois qu’il dirait merci ? Que tchi ! Vexé comme un pou que le cadet l’ait vu tout nu dans son vomi, il te lui fait une scène d’enfer, le maudit et le met carrément sous tutelle des deux frères, lui et Canaan son fils.
L’avait le vin mauvais, Noé ! C’est Japhet qui gèrera la maison !
Cette biture mémorable n’a pas empêché Noé de vivre jusqu’à neuf cent cinquante ans, pendant lesquels, selon la recommandation divine, ses fils et descendants se sont adonnés sans retenue à de très fructueuses copulations !
C’était la Génèse – 9 – 10
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dans ►1 La Génèse – 1.7 Une mufflée qui fera date !.
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► Page 1 : Chapitre 7 – Une mufflée qui fera date !
► Page 2 : Chapitre 8 – Mauvais joueur !
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Le Mot du Jour a toujours mauvais genre
Merci Rachel !
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