vues | Partager sur : |
Tag: "roc'h"
► 1/11. Castelsarrasin. Chez tati. Jeu 7/10/2011. 9 h 22.
C'est la fin du grand voyage d'automne entamé le jeudi 15 septembre.
Pendant ces trois semaines je me suis posé en Alsace, sur la Côte d'Azur et en région Midi-Pyrénées. J'ai quitté Castelsarrasin hier, après le repas de midi. Le matin j'ai fait quelques photos des lieux qui ont enchanté mes vacances jadis et où je me sens toujours aussi bien. J'ai immortalisé la scène quotidienne du retour des courses de tati. Et Roc'h a clos la séquence en grimpant dans son fourgon, avec l'air blasé de celui qui en a assez vu.
Vers 19 h, je me suis arrêté sur l'aire des camping-cars de Mauléon (Deux-Sèvres), bien connue de mes lecteurs les plus assidus. La jeunesse mauléonaise s'entrainait ferme sur le terrain de foot contigu. J'étais aux premières loges. Aujourd'hui, le chien et moi-même avons retrouvé « notre » Kéradennec.
vues | Partager sur : |
1/4. Cagnes-sur-mer. Camping La Rivière. 08:39.
La journée d'aujourd'hui m'en rappelle une autre, sur la côte basque cette fois (voir l'article). C'était en août 2009. Et bien, en septembre 2011, sur la Côte d'Azur, les camping-cars et fourgons aménagés ne sont pas davantage à la fête. J'ai fait Cagnes-Nice-Monaco et retour sans quitter le volant des mains et par voie de conséquence anatomique sans mettre pied à terre. À la faveur d'un des nombreux bouchons rencontrés, j'ai quand même pu prendre une photo de la Promenade des Anglais, depuis mon poste de pilotage, en me disant qu'ils avaient bien de la chance, les Anglais, de pouvoir se promener. Autre désagrément : j'avais choisi l'option sans autoroute, ignorant qu'elle me ferait passer par Eze, ce village qui me donnait déjà le vertige vu d'en bas du temps où, ne confiant pas nos itinéraires à des GPS stupides, on longeait la côte tout simplement !
Les ruelles encombrées de voitures et de policiers des hauteurs de Monaco m'ont décidé à prendre, pour un retour illico presto, l'option avec autoroute. Mon bonjour au couple princier en son palais, aperçu de loin, sera pour une autre fois.
vues | Partager sur : |
01/12. Camping La Marjorie (Lons-le-Saunier)
Hier vendredi, j'ai quitté Pfastatt, après un séjour d'une semaine chez ma belle-maman. Merci à toute ma famille alsacienne pour son accueil toujours aussi chaleureux.
À la sortie de l'autoroute pour l'étape de Besançon, mon GPS m'a présenté un écran noir, le cordon qui l'alimentait en 12 volts étant tombé en panne sans prévenir. De sorte qu'il m'a été impossible de retrouver la maison de Michèle. Nous nous sommes contactés par téléphone et mon amie a tenté en vain de jouer les tours de contrôle. Peu doué dans les manœuvres d'atterrissage, j'allais abandonner l'affaire quand Michèle, qui ne l'entendait pas ainsi, est venue me retrouver sur un parking d'une commune voisine pour me convoyer à bon port. J'arrive en général ici pour me faire inviter à déjeuner. Ainsi fut fait. Et ce fut encore pour moi un bon moment.
Ce matin, réveil au camping La Marjorie de Lons-le-Saunier. Cherché quatre croissants commandés hier soir.
Sur les coups de midi, j'ai fait halte à Seyssel, au fond du département de l'Ain, côté montagnes. J'avais envie de revoir l'hôtel où notre petite équipe de vendeurs au porte à porte de Beamscopes (lentilles de Fresnel japonaises pour agrandir l'image des téléviseurs) avait séjourné en 1966. La patronne nous avait choyés comme ses enfants. L'établissement est maintenant fermé. J'apprends par une conversation saisie dans la rue qu'il a été racheté par la mairie qui n'a pas encore décidé de son sort.
A Yenne (Savoie) j'ai retrouvé presque inchangée l'aire de pique-nique au bord du Rhône que la famille lyonnaise a fréquentée à plusieurs reprises dans les années 50. Nous y avions même une fois dressé la tente pour une nuit ou deux. Ils avaient trouvé cet endroit hors des sentiers battus, à une centaine de kilomètres de Lyon, en se rendant chez la nourrice de mon cousin Bernard, en surplomb du lac du Bourget.
vues | Partager sur : |
CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE.. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture. |
Je rentre de mon voyage annuel à Castelsarrasin. Ce fut une semaine paisible et agréable. Les lecteurs assidus de mon blog savent combien j'aime cette ville, ses habitants en général et les gens de ma famille en particulier. Ma plus grande sortie a été pour Moissac, à 7 km ! J'ai revu son célèbre cloître et je me suis attardé dans son abbatiale.
À Castel, je n'ai pas manqué le marché du jeudi et la visite du port de plaisance.
Lun 11.10.2010. Kéradennec-Castelsarrasin d'une traite
Voyage sans encombre. À la sortie du péage de Castelsarrasin, une patrouille des douanes arrête tout le monde. « D’où venez-vous et où allez-vous », me demande une accorte (mais indiscrète) douanière. Je suis tenté de répondre : « de Colombie ». Mais je pense qu’elle pourrait mal le prendre. « Je viens de Bretagne et je vais ici, où j’ai de la famille ». « Allez-y » me dit-elle. Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de chouchen.
Mar 12.10.2010. Sous les platanes (restants) de la Promenade
Mer 13.10.2010. Panne de gaz et incursion dans le moyen-âge
À Moissac, j'ai visité l'abbatiale Saint-Pierre, que je ne connaissais pas et le cloître, que j'avais vu il y a une petite cinquantaine d'années. Et puis j'ai promené Roc'h le long du Tarn.
► Abbaye Saint-Pierre de Moissac 🛈Sur wikipédia
L'abbaye Saint-Pierre de Moissac est une ancienne abbaye des VIIe – XVe siècles. Depuis 1998 elle est inscrite par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.
Jeu 14.10.2010. L'incontournable marché de Castel
De novembre à avril, un marché au gras réputé dans la région Midi-Pyrénées se tient aussi le jeudi sous la halle occitane. En cette mi-octobre, volaillers et clients étaient encore rares.
► Jeu 09.10.2008. Du marché de Castel à l'ex-ferme de Montauban 🛈Sur jfsaby.com/blogs/
Le marché du jeudi est une institution à Castel. Dans ma jeunesse, il continuait l’après-midi. Mémé (Germaine, seconde épouse de mon grand-père) y tenait un stand de fruits et légumes et Serge…
Sam 16.10.2010. Castelsarrasin. Flânerie au port de plaisance
Le Marius de Marcel Pagnol, devant le Vieux port de Marseille, rêvait des îles Sous-le-Vent.
Et moi, je rêve de voyages lointains sur le Canal du Midi à bord de ces merveilleuses résidences flottantes.
► Castelsarrasin. Le port canal à guichet fermé 🛈Sur ladepeche.fr
Publié le 09/02/2010 à 15:36. Les places sont rares sur le port-canal de Castelsarrasin. 52 bateaux y sont en ce moment installés, le port-canal affiche donc complet. Depuis sa création en 1998, il suscite toujours un engouement de la part des plaisanciers qui y accostent…
Dim 17.10.2010. Castel 2010 : dernière journée
Angélique a rejoint Toulouse aussitôt après. Fabien gagnera Valence d’Agen demain matin. Nous passerons, Roc’h et moi, la journée sur le chemin du retour. 810 km à avaler.
Au revoir tati et merci pour ton accueil.
Lun 18.10.2010. Castel 2010 : le retour
« D'où venez-vous ? Où allez-vous ? », auxquelles je réponds du mieux que je peux : « Je viens de Castelsarrasin, dans le Tarn-et-Garonne et je rentre chez moi ».
Air soupçonneux : « Vous n'êtes pas allé en Espagne ? Vous ne ramenez pas de tabac et d'alcool ? »
Air surpris de la question : « Non, non ».
Air bon enfant : « Allez-y ! ».
Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de cassoulet.
vues |
Ma famille chazéenne, mon chien et moi avons séjourné au camping de La Grée-Penvins, dans la presqu’île de Rhuys (Morbihan) du 31 juillet au 14 août.
Sam 31.07.10. Cap sur la presqu’île de Rhuys
Top départ des vacances dans la presqu’île de Rhuys. L’Eurocamp et la C4 quittent Kéradennec à 10 h 30 pour le camping de La Grée-Penvins. Arrivée à Penvins vers 13 h. Nous déjeunons à La Pergola. Cuisine sophistiquée, aux mélanges un peu déroutants. Sortie de table à 15 h 35. Le mobilhome est disponible à partir de 15 h 30. On est dans les temps.
Sur le trajet Monestiés-Castelsarrasin, à peu près à mi-chemin, se dresse Bruniquel. Ce village, lui aussi classé parmi les plus beaux de France, s'agrippe à une colline. Un château rendu célèbre par le film « Le Vieux fusil » le domine. Mais ce n'est pas en tant que cinéphile que je suis attaché à Bruniquel. C'est parce que se trouve à proximité une grotte préhistorique chère à mon cœur. Aujourd'hui, pour le repas de midi, j'ai fait étape juste en dessous d'elle, au pied de l'escarpement rocheux où elle est aménagée.
J'ai bien envie d'en tirer prétexte pour raconter comment est née ma passion pour nos lointains ancêtres et comment cette grotte, témoin de leur existence, a fait irruption dans la mienne un beau jour d'été. Si vous êtes pressés, ne lisez pas la suite : je crains d'avoir été un peu long !
Nuit blanche
Mon amour pour la préhistoire naquit très précisément à Castelsarrasin, au milieu des années 50, le soir que Costa, un ami de la famille, m'apporta deux livres sur le sujet en me disant sobrement : « Demain matin, on va chercher des pierres. On t'emmène ». Les pierres en question n'étaient rien moins que des outils préhistoriques. Leur récolte dans les champs n'était pas encore interdite. Piètre lecteur d'ordinaire, hors bandes dessinées, je dévorais les deux bouquins d'un trait, m'offrant une de mes premières nuits blanches. Quand la voiture arriva, au petit jour, j'étais prêt.
Bizarrement, moi qui pourrais marcher sur un parterre de champignons sans les voir, j'étais assez bon dans l'identification des haches, racloirs, poids de filet, coups-de-poing (aujourd'hui appelés bifaces) et autres ustensiles. De sorte qu'au fil de nos expéditions, à un endroit pour le paléolithique (pierre taillée), à un autre endroit pour le néolithique (pierre polie), je m'en constituais vite une belle collection, disparue depuis dans les aléas de l'existence. Je me remémore le sourire narquois du pépé de Castel quand nous lui montrions nos « cailloux ». Il y voyait davantage l'œuvre du soc des charrues que de la main de l'homme.
Une journée dans la préhistoire
À peu près dans les mêmes années, mon père, Étienne, et un de ses copains, Michel, décidèrent pour préparer un concours de s'isoler une semaine dans une… grotte préhistorique mise à leur disposition par son propriétaire, un certain M. Brousse, de Montauban. Ma joie quand ils me proposèrent d'y passer la première journée avec eux et mon excitation dans la voiture qui nous emmenait à Bruniquel, je m'en souviens comme si c'était hier. J'imaginais un tunnel obscur sous la montagne et je ne comprenais pas comment on pouvait y vivre, de nos jours. Ma surprise en fut d'autant plus grande. Nous avons traversé l'Aveyron dans la barque du passeur puis emprunté le chemin de terre longeant la rivière à sa gauche et la montagne à sa droite. Au bout de 200 ou 300 mètres, nous étions sous l'objectif, qui me parut situé à une hauteur himalayenne, du haut de mes 11, 12 ans.
En réalité, la grotte Brousse s'ouvre au flanc d'une paroi rocheuse, à 6 ou 7 mètres au dessus du sol. On y accède par un « escalier » à la pente proche de la verticale, fait de grosses pierres sommairement posées. Elle se compose d'un porche, d'une chambrette qui donne sur une terrasse à ciel ouvert où débouche une autre petite cavité, la cuisine. La terrasse est dotée d'un parapet de pierres sèches, d'un évier, d'un four, d'une table, le tout en pierre et maçonnerie et de construction plus récente. Je n'oublierai jamais cette expérience singulière d'avoir été un jour un garçon préhistorique.
J'ai retrouvé « ma » grotte
Le jeudi 16 juillet 1998, lors d'une énième balade dans ce Tarn-et-Garonne montagnard qui offre, à quelques kilomètres de Montauban, un surprenant dépaysement, je me suis mis à la recherche de ma grotte. Je l'ai trouvée, malgré les changements intervenus dans son environnement. Le chemin de terre est devenu une route dûment goudronnée que l'on atteint en franchissant un pont, à quelques centaines de mètres en aval de l'endroit où traversait la barque du passeur de ma jeunesse.
J'ai parlé de ma découverte à mon cousin Alain. Il connaissait, lui aussi, la grotte Brousse, mais contrairement à moi il ne l'avait jamais perdue de vue. Une expédition en famille fut décidée pour le surlendemain.
Près de quarante ans après…
Le samedi 18 juillet 1998, vers midi, Alain, ses enfants Angélique et Fabien et moi-même, gravissions l'« escalier ».
Nos femmes, Nicole et Maryse, avaient préféré rester en bas.
En se payant le culot de pousser la porte sous le porche, ce que je n'aurais peut-être pas pensé ou osé tenter, Alain m'a fait un beau cadeau. Elle n'était pas fermée à clé. Plus de 40 ans après ma première visite, je retrouvais la chambre, la terrasse, la cuisine. Seuls manquaient dans la chambre les deux lits et sur la terrasse la poulie qui servait à hisser le panier de victuailles au retour des courses au village. La vue plongeante sur l'Aveyron était maintenant en partie masquée par les arbres mais le spectacle restait magique.
Courrier à la mairie de Bruniquel
Rentré en Bretagne, j'ai écrit au service du cadastre de la mairie de Bruniquel pour essayer de savoir si l'abri sous roche appartenait toujours à la fille de M. Brousse. Il ne me fut pas répondu. Alain me dira par la suite qu'il est possible que la grotte soit sur le territoire d'une commune voisine. J'ai laissé tomber. Mais je dois avouer avoir caressé un moment le rêve insensé, voire déraisonnable à nos âges, au cas où elle aurait été à vendre à un prix acceptable, d'en faire notre résidence estivale.
Ma visite suivante, en 2001, me réserva une déception. Un parasol déployé sur la terrasse était visible d'en bas. Une barrière confectionnée avec des branches fermait l'accès à l'« escalier ». De « ma » grotte, quelqu'un s'en servait, y avait pas d'doute ! Les occupants s'étant momentanément absentés, semblait-il, je quittais les lieux sans attendre.
Tous les adultes qui m'ont un jour ou l'autre accompagné à Bruniquel ont quitté ce monde. Étienne, Nicole, Maryse, Alain, je vous revois au pied de cette roche très ancienne. J'aimerais tant qu'elle soit un indice de votre éternité.
vues |
Le Musée pyrénéen 🛈Sur fr.wikipedia.org
Max et Denise Déjean ont construit le Musée Pyrénéen de Niaux de leurs mains, dans les années « 1980 ». Dès les années « 1970 », ils commencent les recherches ethnographiques pour constituer les collections du Musée. n'était pas au programme. Je le découvre en arrivant dans le village de Niaux. Il est très intéressant et m'aide à patienter avant mon rendez-vous avec la préhistoire.
Dans sa partie finale, la route étroite qui monte à la grotte ne permet pas le croisement de voitures et est bordée à gauche par un précipice que je vais retrouver, je le crains, à droite en descendant. L'Eurocamp lui-même me semble angoissé.
La grotte de Niaux 🛈Sur fr.wikipedia.org
Les visites se font par petits groupes de 20 personnes au maximum et sont conduites par un guide. Il n'y a pas de système d'éclairage permanent. Chaque groupe s'éclaire donc à l'aide de lampes électriques portatives, sur un parcours de 800 mètres, jusqu'au « Salon noir ». La visite emprunte des passages étroits et s'effectue sur le même sol que les magdaléniens parcouraient., en Ariège, était le prochain objectif que je m'étais fixé après avoir écumé la Dordogne rupestre, en 1998. Onze ans plus tard, me voici dans le célèbre Salon Noir. L'émotion est forte. Bien plus forte que dans le fac-similé de Lascaux, pourtant très réussi. Il y a 13.000 ans, des pieds comme les miens ont foulé ce sol, des mains comme les miennes ont tracé des lignes sur ces parois.
J'apprends que les artistes de Niaux habitaient probablement la grotte de la Vache, sur la montagne d'en face. Je m'y précipite.
Je n'ai décidément pas de chance avec les grottes ariégeoises. Après avoir dû reporter au lendemain la visite du Mas d'Azil, puis de Niaux, voilà qu'au bout du long chemin de chèvre qui grimpe… à la Vache, je trouve grille fermée. Cela en dépit des horaires indiqués en bas, sur le parking. Nous sommes dans la commune d'Alliat, où le Camping des Grottes m'accueille pour la nuit. Les grottes, je vais en rêver, c'est sûr.
vues | Partager sur : |
Cette étape en famille dans la montagne vosgienne fut agréable et reposante. Pour la première fois depuis le début du voyage, Roc'h a pu vaquer un moment en totale liberté. En raison de son caractère de chien, on a fait en sorte qu'il ne rencontre pas l'habitant canin du lieu.
Maxou n'a pas eu une enfance très heureuse chez ses anciens propriétaires. Afin de parfaire son éducation, Crik l'a inscrit à l'Entente Cynophile de la Vallée de Munster. Ce matin, il avait école à Wihr-au-Val. Romain et moi avons dû échapper à sa vue pour ne pas le distraire.
Après le repas de midi, l'Eurocamp a fait route vers Pfastatt. Romain était à son bord, ravi de l'expérience. Ses vacances se terminent. Ses parents sont venus le récupérer dans l'après-midi chez mamie.
Ce matin, mes pas me conduisent d'abord au Courgain, l'ancien quartier de pêcheurs de Calais, qui mena une existence autonome, avec ses traditions, jusqu'à sa destruction en 1940. A voir : le Bassin du Paradis, creusé au XIIe s, situé face à l'immeuble dit de « la Matelote » dont l'architecture est conçue pour résister aux tempêtes. En retrait, le phare a été érigé en 1848 pour remplacer la lanterne de la tour du Guet.
La matinée se poursuit avec la visite de l'excellent Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle. De dentelle, point. La salle est en travaux. Je n'en ferai pas une maladie. Des beaux-arts, oui. Et de très bons. Une des gardiennes du musée me rejoint. Nous conversons fort agréablement. Vers 11 h 30, je suis de retour au camping municipal de Calais, où nous avons passé, Roc'h et moi, la septième nuit du voyage.
Malo-les-Bains est maintenant un quartier de Dunkerque. C'est là que se trouve la plage de la ville. Et c'est au début de cette plage que se trouve une aire de stationnement pour camping-cars, avec vue sur la mer du Nord. Pour rejoindre le centre-ville, cet après-midi, il a fallu marcher (quand on n'a pas de vélo !). Au passage, arrêt devant la chapelle Notre-Dame des Dunes et au pied de la tour bourguignonne de Leughenaer (vers 1405).
À quai devant le Musée portuaire (maquettes de bateaux anciens et objets de marine), sont amarrés la Duchesse Anne, le plus grand voilier conservé en France, le Sandettie, qui fut le dernier bateau-feu (ou bateau-phare) et l'Entreprenant, vieux remorqueur à la retraite.
L'église Saint-Eloi est maintenant séparée de son beffroi, qui dans les temps anciens lui servait de clocher. Ne pas le confondre avec le beffroi de l'Hôtel de Ville, bien joli lui aussi.
Retour à l'Eurocamp peu après 18 h. Je trouve un bus mais je ne descends pas au bon arrêt et me perds un peu dans Malo-les-Bains. Marchons, marchons... Nous passons ici la huitième nuit du voyage.
vues | Partager sur : |
J’adore Castelsarrasin. Le Castelsarrasin d’hier, parce que j’y ai passé des vacances heureuses dans ma jeunesse et le Castelsarrasin d’aujourd’hui parce que je m’y sens bien, à chacune de mes visites. Est-ce la qualité de l’air, la qualité des gens, l’impression d’y retrouver mes racines ? On n’explique pas une alchimie.
Aujourd’hui, Alain et Fabien ont déjeuné avec nous. Angélique a préféré partir avec son copain. C’est l’âge !
vues | Partager sur : |
Tonton et tata, dans leur Citroën C4, et moi-même, dans mon Fiat Trigano Eurocamp, avons fait ce matin les 132 km du trajet Kéradennec-Domaine de la Joie, à Saint-Guénolé.
C'est à Penmarc'hPenmarc'h, commune la plus au sud-ouest du Pays Bigouden,
à l'extrémité sud de la Baie d'Audierne (Bretagne) est la plus
peuplée du canton du Guilvinec. Penmarc'h est un composé du
breton penn, tête et marc'h, cheval, d'où sa signification de
« tête de cheval ». Ce nom pourrait faire référence à la forme
de sa côte.
L'article de wikipedia : cliquez sur le lien. (Sud-Finistère). Cette année, je n'ai pas emmené Roc'h, laissé en chenil près de Morlaix, et je me promets, de ce fait, des vacances reposantes. A peine arrivés, nous sommes allés à l'excellent restaurant Les Ondines, tout proche du camping, où nous avons nos habitudes.
CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE.. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture. |
vues | Partager sur : |