Lors de mes « grandes vacances » à Castelsarrasin, mon église, qui était aussi celle de notre famille, était l'église Saint-Jean (XVIe siècle), la plus proche de l'ex-ferme Saby. Chaque dimanche, je devais faire signer par le prêtre un carton à cases (une par semaine), à l'intention de mon catéchisme lyonnais, pour attester de ma présence à la messe. Ça ne rigolait pas, à l'époque. Je me souviens même d'un trajet Lyon-Genève avec mes grands-parents maternels où on s'était arrêté dans un village de l'Ain pour assister à l'office dominical et faire signer ce foutu carton. L'église Saint-Sauveur, reconstruite en 1254 mais apparaissant dans des textes dès 961, fut le prieuré de l'abbaye de Moissac jusqu'en 1626 et de ce fait devint l'église la plus importante du diocèse de Bas-Montauban. Elle abrite les reliques de Saint-Alpinien, patron de la ville. Sur certaines cartes ont voit un square devant l'édifice. Je ne l'ai pas connu. Certes, je ne suis pas de la dernière pluie bretonne, mais faut pas exagérer quand même.
Bruges est d'une incroyable richesse patrimoniale. C'est sûr, je ne verrai pas tout, mais j'ai bien suivi mon programme. Ne reste plus à visiter ce matin que la cathédrale Saint-Sauveur, le musée Memling et le musée de la pharmacie de l'ancien hôpital Saint-Jean.
MUSEE MEMLING, PHARMACIE SAINT-JEAN. Le musée Memling🛈La chapelle et l’infirmerie de l'ancien hôpital Saint-Jean (Johannishospital) abritent le musée Memling qui contient six œuvres majeures du dernier des grands Primitifs flamands. ne contient pas seulement les œuvres maîtresses de Hans Memling🛈Sur fr.wikipedia.org Hans Memling est un peintre allemand, puis flamand, né à Seligenstadt vers 1435-1440 et mort à Bruges en 1494.. Situé dans l'ancien hôpital Saint-Jean, il restitue l’atmosphère des salles des malades et de la vie hospitalière de l’ancien temps. Les meubles, les toiles, les statues et les objets d’argenterie et d’étain qui y sont exposés, illustrent comment on prenait soin des corps et des âmes tout au long des siècles. L'ancienne pharmacie🛈L’ancienne pharmacie du XVIIe, est une vénérable officine aux meubles sombres, lourds et riches qui portent encore les pots, mortiers, balances et autres accessoires traditionnels de la profession. de l'hôpital est située dans un autre bâtiment. Prises sans flash, mes photos sont ratées de chez Flou. À côté, la chambre des titulaires restitue l'atmosphère d'un intérieur bourgeois du XIIe siècle. Elle doit son nom (attribué à la fin du XIXe siècle) aux titulaires ici portraiturés, magistrats qui au cours des siècles ont représenté les autorités de la cité au sein de l'hôpital dont ils venaient chaque année vérifier les comptes.
Retour à l'aire des campings-car vers midi et quart. Surprise : l'horodateur me compte deux nuits (45 €) parce que j'ai dépassé l'heure de mon arrivée hier. À vélo, je serais rentré plus tôt. Na ! L'après-midi est occupé par le voyage vers Lille avec une halte au Carrefour d'Armentières pour acheter des victuailles.
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La semaine dernière, je me suis rendu à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) pour assister, le jeudi 15 mars en l'église Saint-Sauveur, aux obsèques d'André Bardagie, un ami de mon père qui était devenu le mien. Avec sa femme, Jackie, et leurs filles, Nadine, Sergine et Géraldine, j'ai passé de bons moments, dans les années 60, notamment au bord de la Garonne où j'ai fait un tour en pèlerinage, le samedi 17 mars, avant de me promener vers le bassin, la gare et le cinéma Vox, autres lieux chargés de souvenirs. Parti mardi 13 mars à 21 h 34, j'étais de retour en Bretagne le lundi 19 à 9 h 56. Cela a été l'occasion de revoir tatie (la sœur de mon père), chez qui j'avais garé l'Eurocamp, l'un de ses deux fils, Alain, qui m'a fait connaître, le vendredi 16 mars, l'étonnante pente d'eau de Montech, et les enfants d'Alain, Angélique et Fabien.