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Tag: "tracteur"
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C'est la première fois que je me rends au Festival des Belles mécaniques de Plouigneau, qui en est pourtant à sa septième édition.
Cette manifestation attire chaque année un public plus nombreux. Nous étions 13.000 aujourd'hui. Je crois que l'on peut attribuer une large part de son succès à la diversité des animations qu'elle propose. Il y a de quoi s'occuper toute la journée, à condition tout de même d'aimer les bruits de moteur.
Ce matin, j'ai assisté au défilé des 350 véhicules anciens et tracteurs dans les rues du bourg. Cet après-midi, dans l'enceinte de la fête, j'ai vu le ballet des ensileuses qui ont ratiboisé un vaste champ de maïs en deux temps trois mouvements. L'énorme Jaguar 960, vu pour la première fois dans la région, s'est taillé la part du lion : il traite dix rangs à la fois ! C'est impressionnant. On pouvait assister en direct live à un battage à l'ancienne avec une batteuse animée par une splendide locomobile à vapeur, toute de cuivre vêtue. Des cercles se formaient autour de moteurs en fonctionnement, parfois très anciens, parfois très rouillés, dont on aurait aimé savoir quelles machines ils entraînaient. Leurs propriétaires les choyaient, ajoutant une goutte d'huile par ci, réglant une mollette par là. C'était attendrissant. Les véhicules anciens du défilé du matin s'offraient à la curiosité des visiteurs. Et puis il y avait le coin des danseurs, des animaux, de la fête foraine, le tout parsemé de buvettes et de points de restauration.
C'était varié, vous dis-je.
Cette manifestation attire chaque année un public plus nombreux. Nous étions 13.000 aujourd'hui. Je crois que l'on peut attribuer une large part de son succès à la diversité des animations qu'elle propose. Il y a de quoi s'occuper toute la journée, à condition tout de même d'aimer les bruits de moteur.
Ce matin, j'ai assisté au défilé des 350 véhicules anciens et tracteurs dans les rues du bourg. Cet après-midi, dans l'enceinte de la fête, j'ai vu le ballet des ensileuses qui ont ratiboisé un vaste champ de maïs en deux temps trois mouvements. L'énorme Jaguar 960, vu pour la première fois dans la région, s'est taillé la part du lion : il traite dix rangs à la fois ! C'est impressionnant. On pouvait assister en direct live à un battage à l'ancienne avec une batteuse animée par une splendide locomobile à vapeur, toute de cuivre vêtue. Des cercles se formaient autour de moteurs en fonctionnement, parfois très anciens, parfois très rouillés, dont on aurait aimé savoir quelles machines ils entraînaient. Leurs propriétaires les choyaient, ajoutant une goutte d'huile par ci, réglant une mollette par là. C'était attendrissant. Les véhicules anciens du défilé du matin s'offraient à la curiosité des visiteurs. Et puis il y avait le coin des danseurs, des animaux, de la fête foraine, le tout parsemé de buvettes et de points de restauration.
C'était varié, vous dis-je.
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Me souvenir de chausser des bottes, si je reviens au motocross de Plourin. Jamais je n’avais vu le remarquable circuit de Quélern et ses alentours aussi boueux. Le temps incertain et l’instauration pour la première fois d’entrées payantes (5 €) faisaient craindre aux organisateurs que le public ne vienne pas. Ils sont soulagés : 1.500 personnes ont assisté à cette 30e édition. Avec des pointes à près de 100 km/h, des sauts à 5 m de haut, les 198 concurrents ont fait le show. Il y a eu quelques chutes, mais sans gravité.