Artistic platforms designed by contemporary artists circulate rue de Rivoli, in front the Louvre Museum in Paris, on October 5, 2019, during the « Nuit Blanche » night-time art festival. Each first Saturday in October, this event invites to see the city in a different way, at night, lit by neons and other lights. In all parts of the city, artists propose installations, exhibitions, concerts performances, trails, staged scene sets and creations that explore all facets of contemporary art and offer a new view of the city. The Nuit Blanche was first organized in 2002, and, like the « Fête de la Musique », it has spread around the world to other cities in France and other European capitals.
Prise de vue: Samedi 5 octobre 2019, à 18 h 57. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2, ISO 6400, Compensation: -4/3. Flash: non
Sur roulette ou sur plateau, gonflables ou encore tirées par des chevaux, douze œuvres monumentales inédites ont été imaginées par des artistes contemporains et ont défilé dans Paris dans une atmosphère de fête, à l’occasion de l’édition 2019 de la « Nuit Blanche », le 5 octobre 2019 en soirée. Animées par des musiciens, danseurs, performers ou encore DJ, elles ont circulé en musique de la place de la Concorde à la Bastille puis ont rejoint plusieurs points dans la métropole où il était possible d’admirer à l’arrêt leurs décors
At the call of the National Police unions, several thousand police officers demonstrated in Place de la Bastille on 2 October 2019 in Paris. For the first time in 20 years, all unions have called for a "March of Wrath" while 50 police officers have killed themselves since the beginning of the year.
Prise de vue: Mercredi 2 octobre 2019, à 11 h 52. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 160, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 241 mots. Des milliers de policiers ont défilé dans les rues de Paris, mercredi 2 octobre 2019, à l’appel d’une intersyndicale, pour dénoncer un grand malaise dans la profession et demander de meilleures conditions de travail. Le cortège, parti de Bastille aux alentours de 13 h 30, a rejoint la place de la République aux sons des pétards et des sirènes entrecoupés de Marseillaise. La démonstration de force des syndicats a réuni 27 000 personnes, selon les organisateurs, soit près de 18 % des quelque 150 000 fonctionnaires que compte la police nationale. « On attend maintenant des réponses et des actes concrets », a déclaré Fabien Vanhemelryck, secrétaire général d’Alliance, qui marchait en tête du cortège aux côtés de ses homologues des autres organisations – une image d’unité rare dans un univers syndical marqué par les rivalités. « Il faut redonner du sens au métier de policier. Il y en marre de la stigmatisation des policiers », a dit Philippe Capon, secrétaire général d’UNSA Police. De mémoire de syndicalistes policiers, on n’avait pas vu un tel appel unitaire depuis 2001. À l’époque, la mobilisation avait été provoquée par le meurtre de deux policiers au Plessis-Trévise par un braqueur récidiviste. Cette fois, pas d’élément déclencheur, mais une usure opérationnelle liée au mouvement social des « gilets jaunes », pour lequel la police a été accusée de violences, et une très forte augmentation du nombre de suicides au sein de la police nationale.