(from R) Portugal's Prime Minister Antonio Costa, Paris' mayor and candidate for the presidential election Anne Hidalgo and Spain's Prime Minister Pedro Sanchez attend a debate gathering European socialist leaders on the "Great Shift" at the Maison de la Mutualite venue in Paris on November 12, 2021.
Prise de vue: Vendredi 12 novembre 2021, à 17 h 33. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 130 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 1000, Compensation: -1. Flash: non
La candidate socialiste à la présidentielle Anne Hidalgo a vanté la « méthode moderne » que représente à ses yeux la social-démocratie, vendredi 12 novembre 2021 lors d’une table ronde à la maison de la Mutualité à Paris sur le thème du « bien-être », au centre d’un rapport des sociaux-démocrates européens publié cette semaine, à laquelle participaient les Premiers ministres socialistes espagnol, Pedro Sanchez, et portugais, Antonio Costa. « Les solutions sont du côté de la social-démocratie », a affirmé Anne Hidalgo. Sur le fond, « elle apporte d’abord la conviction que face à la crise, il faut toujours mettre l’accent sur l’accompagnement social et la protection » des plus fragiles, a-t-elle expliqué… suite »
Former French President Nicolas Sarkozy (C) leaves court after testifying in the trail of his aides' on November 02, 2021 in Paris, France. Sarkozy was ordered by a judge to testify in the case of former aides accused of misusing public money to finance contracts for opinion polls. Sarkozy has immunity is this case, but was separately convicted on corruption charges in March.
Prise de vue: Mardi 2 novembre 2021, à 14 h 29. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 192 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 5000. Flash: non
Convoqué le 2 novembre 2021 comme témoin au procès des sondages de l’Élysée, Nicolas Sarkozy a dénoncé à la barre une décision « parfaitement anticonstitutionnelle » et « totalement disproportionnée ». Protégé par son immunité présidentielle, l’ex-chef de l’État n’a jamais été poursuivi ni entendu dans ce dossier. Il a quitté le tribunal un peu avant 14 h 30, après moins d’une heure à la barre. Il a opposé le silence aux premières questions du tribunal correctionnel de Paris… suite »
Prise de vue: Mardi 12 octobre 2021, à 15 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 31 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/4, ISO 1000, Compensation: -1. Flash: non
Cédric O, le Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, s'est rendu le 12 octobre 2021 auprès de la société Wandercraft, à Paris, afin de se faire présenter et même d'essayer l'exosquelette « Atalante » mis au point par cette société…
Members and supporters of far right group Generation Identitaire (GI) hold banners and placards during a protest against its potential dissolution in Place Denfert Rochereau, Paris on February 20, 2021. The dissolution of Generation identitaire was evoked for the first time on January 26, 2021 by Interior Minister, as a reaction to the group's recent anti-migrant operation in the Pyrenees, which led to a preliminary investigation for provocation to racial hatred.
Prise de vue: Dimanche 20 février 2021, à 14 h 16. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Extrait : 169 mots. Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées samedi 20 février 2021 en début d’après-midi à Paris pour protester contre l’éventuelle dissolution du mouvement d’extrême droite radicale Génération identitaire, mesure réclamée de longue date par plusieurs associations mais dénoncée par le RN. « La décision de dissoudre Génération identitaire ne tient pas la route ». Autour de lui, des manifestants scandaient « On est chez nous ! », d’autres brandissaient des pancartes « Dissous car identitaire », alors que certains arboraient des casquettes avec le slogan « Make America Great Again », semblables à celles portées lors de la campagne de Donald Trump aux États-Unis. Plus tard, quelques dizaines de militants « antifacistes » ont tenté d’aller au contact du défilé de Génération identitaire, en criant « Paris, Paris antifa » et « siamo tutti antifascisti » et « La police protège les fachos ». Créé en 2012, Génération identitaire, dont le siège historique est installé à Lyon, revendique 2800 adhérents mais le nombre de ses militants et sympathisants est plutôt estimé par les spécialistes à 800 tout au plus. Source.
French CGT trade union General Secretary Philippe Martinez (C) joins a protest during a day of action to highlight the current economic and cultural difficulties being experienced across France as the coronavirus (Covid-19) pandemic continues on February 4, 2021, in Paris.
Prise de vue: Jeudi 4 février 2021, à 13 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -2/3. Flash: non
« Ce jeudi, nous affirmons, aux niveaux national et interprofessionnel, qu’il est impossible de mettre de côté les luttes actuelles pour l’emploi et l’amélioration des conditions de travail au nom d’une pseudo-unité nationale contre le Covid-19 », résumait dans L’Humanité le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez le 4 février 2021. « Bruno Le Maire nous dit que ce n’est pas le moment de faire un printemps social. Au contraire », ajoutait-il. Étudiants, énergéticiens, enseignants, soignants, intermittents du spectacle, de nombreuses professions se sont retrouvées jeudi sur ce mot d’ordre. La manifestation parisienne, forte de 20.000 participants selon la CGT, s’est ébranlée vers 14 h 30 de la place de la République en direction de celle de la Nation, derrière une banderole proclamant « emplois, salaires, temps de travail, retraites… relançons le social ». En tête du cortège, alors que 165 initiatives étaient recensées dans toute la France, M. Martinez a expliqué que des salariés craignaient de descendre dans la rue « parce qu’il y a le contexte sanitaire », mais « ce n’est pas pour ça que la colère et les mobilisations ne sont pas à la hauteur ». Source.
A protester wears a hat reading the slogan “I’m sick” on December 14, 2020 in Paris during a demonstration of hotel and restaurant owners as well as tourism professionals to demand their businesses to reopen amidst the Covid-19 pandemic, caused by the novel coronavirus.
Prise de vue: Lundi 14 décembre 2020, à 12 h 52. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 281 mots. Ce lundi 14 décembre 2020, les gérants de restaurants, cafés, brasseries, traiteurs, hôtels, discothèques mais aussi établissements de nuit, bowlings et thalassos, venus de toute la France, ont manifesté à Paris pour réclamer la réouverture « le plus rapidement possible » de leurs établissements. Ce rassemblement, initié par l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie ainsi que le Groupement national des indépendants , a débuté vers 13 heures, sur l’esplanade des Invalides. L’Organisation du personnel de la restauration en événementiel a également décidé de se joindre à l’appel de l’Umih et du GNI. Un peu plus loin sur l’esplanade des Invalides, les représentants des syndicats se sont exprimés tour à tour devant une foule de manifestants. « Aujourd’hui nous sommes réunis et nous parlons au nom de 300.000 entreprises et de 2 millions d’emplois », a déclaré Roland Heguy, président confédéral de l’Umih. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, conditionne la réouverture de ces établissements, le 20 janvier prochain, à l’amélioration de la situation épidémique. C’est justement cette incertitude qui alimente la colère de l’Umih et du GNI. « Nous serons les derniers commerces à pouvoir rouvrir alors que la date de réouverture le 20 janvier 2021 n’est même pas acquise ». L’Umih a tenté de contester devant le Conseil d’État le décret du 29 octobre imposant la fermeture des bars et restaurants dans le cadre du reconfinement. « Il est absolument essentiel que le gouvernement s’engage à des modalités de réouverture en concertation avec nos organisations. Nous incarnons l’Art de vivre à la française et nous refusons de disparaître ! », s’alarment l’Umih et le GNI. Source (ℹ)Sur lefigaro.fr Venus de toute la France, les professionnels du tourisme, qui comprennent aussi gérants de bowlings et de thalassos, réclament la réouverture « le plus rapidement possible » de leurs établissements.
French Junior Minister of Small and Medium Entreprises Alain Griset (L) visits the Culinary Professions Centre of Excellence (Centre d’excellence des professions culinaires – CEPROC) for the awards ceremony of the Grand Prix of France for artisanal charcuterie
Prise de vue: Lundi 5 octobre 2020, à 16 h 39. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 61 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 1600. Flash: non
Extrait : 55 mots. Alain Griset, ministre délégué auprès du Ministre de l’Économie, des finances et de la relance, chargé des petites et moyennes entreprises, s’est rendu au Centre d’excellence des professions culinaires (Ceproc), à Paris, le 5 octobre 2020, à l‘occasion de la remise des prix du Grand Prix de France de la charcuterie artisanale.
French Ecological Transition Minister Barbara Pompili (5L), French Junior Minister for Digital Transition and Electronic Communication Cedric O (3L) and member of the Parliament Mounir Mahjoubi (6L) visit the Parisian offices of the French e-commerce company Back Market on October 5, 2020. Founded in 2014 in Paris, Back Market is the world's first online marketplace dedicated exclusively to second-hand devices. Back Market connects certified professionals specializing in the refurbishing and resale of used electronics with consumers looking for a more affordable, reliable, and environmentally-friendly alternative to buying new.
Prise de vue: Lundi 5 octobre 2020, à 10 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 1600, Compensation: -2/3. Flash: non
Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, et Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, ont visité le 5 octobre 2020 les locaux parisiens de l’entreprise Back Market spécialisée dans le reconditionnement d’appareils électriques et électroniques. Imposer une manière un peu plus raisonnable de consommer des produits tech, en faisant mieux avec moins. Telle est la ligne de conduite des fondateurs de Back Market, start-up française du Next 40 fondée en 2014, qui vient de lever 110 millions d'euros auprès de fonds d'investissement et qui compte 280 salariés dans huit pays.
Paris Mayor and candidate for re-election Anne Hidalgo gestures as she delivers a speech during a campaign meeting at the Elysee Montmartre venue in Paris, on February 26, 2020, ahead of March 2020 mayoral elections in France.
Prise de vue: Mercredi 26 février 2020, à 21 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 200, Compensation: -2. Flash: non
Résumé: 278 mots. À dix-huit jours du premier tour des élections municipales, Anne Hidalgo, qui fait toujours la course en tête dans les sondages devant Rachida Dati et Agnès Buzyn a donné son premier meeting ce mercredi soir. Près d'un millier de sympathisants et de militants se sont déplacés à l'Élysée-Montmartre pour soutenir la maire sortante de Paris. Pour cet unique meeting avant le premier tour des élections municipales à Paris le 15 mars, de nombreuses personnalités ont été réunies. L'humoriste Christophe Alévêque, connu pour son engagement à gauche, qui est monté sur scène pour parodier les programmes des principales adversaires d'Anne Hidalgo sous les rires de la salle chauffée à bloc par l'ex-journaliste Audrey Pulvar, porte-parole de la candidate. Veste noire sur chemisier blanc, affichant un large sourire et une détermination sans faille, Anne Hidalgo a fait son entrée sous les acclamations de la salle. Elle a rappelé l'accord de Paris sur le climat de la COP 21 qui a réuni 1000 maires à l'Hôtel de Ville, la victoire de la candidature de Paris pour les Jeux olympiques de 2024, son bras de fer avec « les lobbys » qui lui disaient qu'ils lui « feraient payer l'interdiction du diesel », la piétonnisation des berges de Seine. Elle a fait allusion aussi aux « moments où Paris a souffert ». Elle a évoqué les mesures pour favoriser la nature en ville avec la création de quatre nouveaux grands parcs, la transformation du périphérique ou encore la création d'un Paris 100% cyclable. Anne Hidalgo a aussi rappelé les valeurs qui « font l'identité » de Paris et tout particulièrement la lutte contre les discriminations. Source.
For several days, the effects of the garbage strike have been visible in the streets of Paris, as can be seen in these pictures taken on February 2, 2020, and in some cities of the suburbs, especially in the east of the île-de-France region. The truck garages of the city of Paris are regularly blocked by support, often outside the cleanliness sector, allowing to prevent the first pickup of the garbage and to slow down the entire circuit for the day. As part of the strike, the waste incinerators are almost all at stop or operate very slowly. A few blocks have taken place. According to the CGT union (General Confederation of Labour), the streets of Paris are covered with more than 1000 tons of waste and the numbers are likely to increase very quickly.
Prise de vue: Dimanche 2 février 2020, à 16 h 01. Appareil: Leica Camera AG M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ASPH; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -0.332. Flash: non
Résumé : 270 mots. Le ramassage des poubelles est perturbé dans « quelques arrondissements parisiens et quelques villes du Grand Paris », après l’arrêt depuis huit jours des trois incinérateurs d’Ile-de-France à l’appel de la CGT Energie, opposée au projet de réforme des retraites, a indiqué vendredi 31 février 2020 le Syctom, qui gère les déchets de 6 millions de Franciliens. La CGT Energie a voté jeudi dernier l’arrêt des 3 unités d’incinérations de Saint-Ouen, Isséane-Issy-Les-Moulineaux et Ivry-sur-Seine, qui traitent 6.000 tonnes par jour. Six des sept fours sont éteints et seul un des fours de Saint-Ouen fonctionne au ralenti. Le syndicat a aussi mis en place un filtrage des bennes entrantes à Saint-Ouen et un arrêt de la gestion des fosses à Isséane et Ivry-sur-Seine. La réquisition devrait permettre de gérer les contenus des bennes et de les rediriger vers des centres d’enfouissement. Les fours restent à l’arrêt au moins jusqu’à ce lundi. Même si la grève n’était pas reconduite, il faut environ deux jours pour redémarrer les fours. La CGT Energie ne compte pas s’opposer à la réquisition « pour ne pas mettre en difficulté les salariés réquisitionnés », selon Julien Lambert, membre du bureau de la Fédération Mines et Energie de la CGT. Le Syctom estime à 700.000 euros par jour, soit « déjà 5 millions d’euros » le coût de la grève depuis une semaine et souligne l’impact environnemental, puisque les déchets ne sont plus brûlés et valorisés et doivent être enfouis, soit « la pire solution en terme d’environnement ». Source.
Paris' city councillor, French left-wing Parti de Gauche (PG) Secretary General and La France Insoumise (LFI) leftist party's speaker and candidate for the upcoming municipal elections in Paris Danielle Simonnet (2L), French mathematician and Paris city hall candidate Cedric Villani (3L) and Mayor of Paris Anne Hidlago (4L) and candidate for re-election take part in a debate following a report of the Abbe Pierre Foundation on poor quality housing conditions, on January 31, 2020 in La Defense, near Paris.
Prise de vue: Vendredi 31 janvier 2020, à 14 h 42. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/2.8, ISO 320, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 669 mots. À six semaines du premier tour des élections municipales, la fondation Abbé Pierre interpelle les candidats à la mairie de Paris sur la question cruciale du mal logement. Anne Hidalgo, la maire sortante, Benjamin Griveaux, Cédric Villani, Danielle Simonnet et David Belliard ont présenté leurs propositions devant près de 2000 personnes – selon les organisateurs – rassemblées ce vendredi 31 janvier 2020 dans la Grande Arche de La Défense. Rachida Dati, la maire du VIIe, et prétendante LR à l’hôtel de Ville, a annulé sa venue. Anne Hidalgo, la maire PS de Paris, s’est engagée à atteindre « 25% de logements sociaux en 2025 », un objectif atteignable puisque le taux est de 23,6 aujourd’hui contre 13% en 2001. « Pour casser la spéculation immobilière », la maire de Paris a également promis de maintenir l’encadrement des loyers et de mettre en place un service public d’accompagnement des locataires « pour qu’ils puissent faire valoir leurs droits ». Cet objectif passe aussi par une régulation du marché des plate-formes de location saisonnière avec un abaissement du seuil autorisé à 30 jours au lieu de 120 jours. « 60 000 logements échappent ainsi aux Parisiens et je veux leur proposer un référendum sur les règles du jeu », a-t-elle indiqué. « Il ne faut pas figer la ville et il faut accepter qu’elle se transforme », a-t-elle lancé. Danielle Simonnet , pour faire baisser les loyers, souhaite que la mairie de Paris puisse récupérer la compétence permettant de fixer le loyer de référence. La candidate Insoumise promet de créer 60 000 logements sociaux pour atteindre le seuil de 30% d’ici à la fin de la mandature. Pour lutter contre Airbnb, elle veut doubler le nombre d’agents de la ville chargés de contrôler la légalité des meublés touristiques. Cédric Villani veut s’attaquer à « l’immense réservoir » des 240 000 logements vides ou occupés épisodiquement. Il propose de créer pour les logements vacants « une fiscalité renforcée » en faisant passer le coefficient de 1,6% à 2%. Il promet d’atteindre 25% de logements sociaux en 2025, en créant notamment plus 25 000 logements sociaux dans les Xe, XIe, XIIe et XVe, essentiellement par le biais de la préemption et 5000 logements en accession grâce à un office foncier solidaire créé à l’échelle métropolitaine. Le député de l’Essonne propose aussi de réserver 20% des nouveaux logements sociaux aux SDF pour leur offrir durablement un toit. Hostile à la densification de la ville, il propose de créer ces nouveaux logements par le biais de la préemption et de la régulation des plateformes saisonnières, grâce à l’abaissement du nombre légal de nuitées. Benjamin Griveaux, le candidat de la République en Marche, a fait une proposition en faveur des SDF. « Aujourd’hui, les hôtels sociaux sont une honte et il est indécent d’héberger les gens dans ces conditions », a critiqué l’ancien porte-parole du gouvernement. S’il promet de respecter l’objectif des 25% de logements sociaux, il refuse d’aller au-delà comme la plupart de ses adversaires politiques. Quant à Airbnb, il ne souhaite pas abaisser le seuil de nuitées autorisées pour les propriétaires qui louent leur résidence principale, mais promet de faire la guerre à ceux qui font de la location touristique un commerce. David Belliard, le candidat écologiste, promet d’atteindre 25% de logements sociaux en 2025 et vise 30% en 2030. Plutôt que de construire, il propose de préempter en ciblant en priorité les passoires thermiques et les immeubles occupés par des habitants modestes et en transformant les bureaux vides ou obsolètes en logements. Critique sur « la politique de densification menée par la majorité municipale » dont il fait partie, il a promis d’«accroître les espaces de nature en ville pour lutter contre les pics de pollution que connaît la capitale». Pour renforcer la lutte contre les meublés touristiques illégaux, il propose de porter les effectifs de la brigade chargée des contrôles à une centaine d’agents et de baisser le seuil légal à 30 jours. Source
La Republique en Marche (LREM) candidate for the Paris 2020 mayoral election Benjamin Griveaux addresses at the Bobino theater, in Paris, on January 27, 2020. Benjamin Griveaux is the official LREM candidate for the Paris 2020 mayoral election but the mathematician Cédric Villani, who is an LREM MP, is running an independent rival campaign. With the first round of the local and regional elections due in March, the French President Emmanuel Macron summoned Villani on Sunday to try to persuade him to team up with Griveaux but the maverick Villani refused.
Prise de vue: Lundi 27 janvier 2020, à 21 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 320, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 191 mots. Le parti hausse le ton, lui joue la carte de la bienveillance. Alors que le patron de La République en marche, Stanislas Guerini, a exprimé lundi sa volonté d’exclure le candidat dissident Cédric Villani, Benjamin Griveaux, le candidat officiel à la Mairie de Paris tend la main aux soutiens de son rival. Lundi 27 janvier 2020 au soir, lors d’une réunion publique au Théâtre Bobino, devant plusieurs centaines de sympathisants et une grande partie du gouvernement, Griveaux a rendu hommage de façon appuyée à son concurrent, qui maintient sa candidature contre l’avis du président de la République. L’ex-secrétaire d’État, qui pâtit d’une image de candidat arrogant depuis le début de la campagne, a même fendu l’armure pour afficher un nouveau visage. « Je sais qu’ils ont aimé chez lui, sans doute ce qu’ils ne retrouvaient pas chez moi. Davantage de naturel, une part de fantaisie et peut-être aussi d’émotivité. Alors, je veux leur dire que derrière mon assurance et mes bons mots se cachent aussi mes angoisses et mes échecs », a poursuivi Griveaux, évoquant des « épreuves » et des « drames familiaux ». Source.
CGT union leader Philippe Martinez (C) takes part in a demonstration in Paris on January 24, 2020 against the government pensions reform, which will be officially unveiled after weeks of strikes by unions warning that millions of people will have to work longer. It will be the seventh day of mass rallies since a crippling transport strike was launched on December 5 by unions hoping to force French President to back down on his push for a "universal" pension system. The reform would sweep away 42 separate regimes, some dating back hundreds of years, that offer early retirement and other benefits to public-sector workers as well as lawyers, physiotherapists and even Paris Opera employees.
Prise de vue: Vendredi 24 janvier 2020, à 13 h 07. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 244 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté ce vendredi 24 janvier 2020 en France contre le projet de réforme du système des retraites le jour même où ce texte, objet d’une contestation sociale sans précédent depuis près de deux mois, a été adopté en Conseil des ministres. Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre. À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT. « Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ». Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
People wave flags during a demonstration against "medically-assisted procreation without a father" (PMA - Procreation Medicalement Assistee) in front of the Senat in Paris on January 22, 2020, as the debate on the Bioethics Bill began. The Senate began on January 21 the first reading of the bioethics bill, defended as a text of "progress" by the government, but which emblematic measure, the opening of the medically-assisted procreation to all women, divides the right-wing Senate majority.
Prise de vue: Mercredi 22 janvier 2020, à 19 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/60 sec, f/4, ISO 5000. Flash: non
Résumé : 120 mots. Le Sénat, à majorité de droite, a voté mercredi 22 janvier 2020 en soirée l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, mesure emblématique du projet de loi bioéthique, mais veut limiter son remboursement par la Sécurité sociale aux PMA à caractère « médical ». Portée par la droite, la limitation du remboursement aux PMA fondées sur « critère médical », après constatation d’une infertilité, modifie toutefois significativement le projet de loi voté à l’Assemblée mi-octobre. Devant le Sénat, comme la veille au soir, quelques centaines d’opposants à la PMA étaient rassemblés autour d’une puissante sono en début de soirée, avec des drapeaux, quelques fumigènes et en criant « le progrès, c’est le retrait » du texte.
Protesters take part in a demonstration in front the Tour Eiffel in Paris on January 14, 2020, as part of a nationwide multi-sector strike against the French government's pensions overhaul. A transport strike dragged on into its 41st day on January 14, with both the French government and hardline unions digging in on the pension reforms that sparked the standoff.
Prise de vue: Mardi 14 janvier 2020, à 14 h 08. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 251 mots. Plusieurs milliers de personnes ont défilé ce mardi 14 janvier 2020 à Paris à l’appel de la CGT, FO, Solidaires et la FSU, au 41e jour de la mobilisation c par points. Les manifestants marchaient derrière une banderole de tête : « Retraite par points : tous perdants ! retraite à 60 ans, tous gagnants ! Macron, retire ton plan ». Ils se sont élancés dans une atmosphère bon enfant de la place de l’École militaire peu avant 14 h 30. « On veut aller au bout, jusqu’au retrait. On est encore fortement en grève. À la SNCF, il y a encore un beau bazar, avec beaucoup de trains supprimés. Les copains de la RATP tiennent bon, et il y a d’autres secteurs qui se mettent en grève, il y a des AG tous les jours », a déclaré Mathieu Bolle-Reddat, conducteur de train de la ligne C du RER, de la CGT-Cheminot. « On attend surtout jeudi où la manifestation sera beaucoup plus puissante et appuiera encore plus les copains qui sont en train de s’engager dans des mouvements de blocage particulièrement dans les raffineries », a expliqué de son côté Gabriel Gaudy, secrétaire régional de FO Ile-de-France. Le gouvernement a fait un pas ce week-end en direction des syndicats réformistes, CFDT et Unsa, qui réclamaient le retrait de la mise en place d’un âge pivot à court terme. Mais il l’a assorti de l’obligation pour les partenaires sociaux de trouver des solutions alternatives pour équilibrer le régime financièrement. Source.