Protesters clash with riot police officers during a demonstration in Paris, on January 11, 2020, as part of a nationwide multi-sector strike against the French government's pensions overhaul. The country has been hit by 37 days of crippling train and metro stoppages as unions battle the proposals, one of President Emmanuel Macron's signature reforms.
Prise de vue: Samedi 11 janvier 2020, à 15 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
De nouvelles manifestations ont eu lieu en France ce samedi 11 janvier 2020. Selon le ministère de l’Intérieur, elles ont rassemblé 149 000 personnes alors qu’Edouard Philippe a annoncé le retrait provisoire de l’âge pivot dans la réforme. À Paris, le cortège s’est élancé peu après 14 heures de la place de la Nation en direction de celle de la République, cortège syndical en tête. Il avait été rejoint par plusieurs centaines de Gilets jaunes, partis en fin de matinée du pont François-Mitterrand, banderoles et couronnes de fleurs, en hommage au livreur, mort après avoir été interpellé par les forces de l’ordre, Cédric Chouviat. Peu après le lancement du cortège, dans lequel un black bloc avait pris place, de premiers incidents ont éclaté. Les manifestants, dont certains masqués ou cagoulés, ont brisé des vitrines sur le trajet et jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène. Plusieurs magasins ont été saccagés sur le parcours. La situation était tendue sur la place où se terminait le cortège. Des heurts ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants, dans le brouillard des gaz lacrymogènes. De petits incendies étaient visibles par-ci par là. Le nombre de blessés n’a pas été communiqué. Source.
French Prime Minister Édouard Philippe (3L), flanked by co-presidents of the Coordination Council of Armenian organisations of France (CCAF), Mourad Franck Papazian (R) and Ara Toranian (L) and Mayor of Paris Anne Hidalgo (2L), attends a ceremony to commemorate the anniversary of the Armenian genocide, on April 24, 2019, Place du Canada in Paris. Troops from the Ottoman Empire -- which preceded modern-day Turkey -- were responsible for massacres and forced deportations of Armenians from 1915, but Turkey has always denied that the killings amounted to genocide. France was the first major European country to recognise the massacres as genocide in 2001 and French President Emmanuel Macron announced the national day of remembrance in February this year, saying that his country "knows how to look history in the face."
Prise de vue: Mercredi 24 avril 2019, à 18 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 222 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 400, Compensation: +1. Flash: non
Le premier ministre, Édouard Philippe, a défendu ce mercredi 24 avril 2019 la décision de la France de faire du 24 avril la journée de commémoration annuelle du génocide arménien de 1915, un sujet à la source de tensions diplomatiques avec la Turquie qui conteste le terme de « génocide ». « Plus d’un siècle après, regarder l’horreur en face est un préalable pour rendre justice », a dit le chef du gouvernement français lors d’une cérémonie à Paris. « Mener un travail de mémoire et d’histoire, courageux et rigoureux, est l’unique manière d’emprunter un chemin de résilience ». « En rendant hommage aux victimes du génocide arménien, la France est fidèle à elle-même, fidèle à ses valeurs, c’est son honneur que de l’assumer », a-t-il ajouté. « Elle ne se laissera impressionner par aucune pression ni par aucun mensonge. Ce que nous recherchons, c’est l’exactitude historique, et la réconciliation ». Selon Erevan, 1,5 million d’Arméniens ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. La Turquie reconnaît qu’un grand nombre d’Arméniens ont été tués par les Turcs durant cette période mais conteste l’idée qu’il y ait eu une volonté systématique de les exterminer, rejetant de ce fait le terme de « génocide ». Le génocide arménien, qui est reconnu officiellement en France depuis 2001, est commémoré chaque année le 24 avril en Arménie et dans le Haut-Karabagh, région séparatiste d’Azerbaïdjan peuplée majoritairement d’Arméniens. Cette date, qui correspond à la rafle et la déportation de plusieurs centaines d’intellectuels arméniens le 24 avril 1915 à Constantinople, a été reprise par Emmanuel Macron qui a annoncé son intention début février dernier d’en faire la journée de commémoration annuelle du génocide, en France. Cette décision a suscité l’ire de la Turquie qui a prévenu, mi-avril que ce geste aurait « inévitablement un impact négatif » sur les relations entre Paris et Ankara. « En instaurant cette journée de commémoration, la France entend contribuer à faire reconnaître le génocide arménien comme un crime contre l’humanité, contre la civilisation », a souligné Édouard Philippe ce mercredi. « La position de la France est constante contre toutes les formes d’oubli, d’indifférence ou de négation qui sont au fond une nouvelle tentative d’anéantissement, car tout génocide porte avec lui, en lui, la tentative de nier le crime commis et d’en camoufler les traces ». Source : www.lefigaro.fr.
Head of the list for the La Republique En Marche (LREM) party, former minister Nathalie Loiseau (C, in red), waves during the launch of the LREM campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 30. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 185 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Pour les Français, pour les Européens, le compte n’y est pas » : Nathalie Loiseau, tête de la liste de la majorité pour les Européennes, a appelé l’Europe à prendre son envol, samedi 30 mars 2019, lors de son premier grand meeting à moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Veste rouge, chemisier noir et lunettes écaillés, phrases courtes et parfois sèches, Nathalie Loiseau s’est d’abord attardée sur l’écologie, véritable fil rouge du meeting. « Mes enfants sont là. Je veux pouvoir leur dire que nous avons tout fait pour stopper cette course folle à la destruction de notre planète. Nous ne voulons plus que l’écologie se limite à un entre-soi militant, encore moins à une rente politique ». La tête de liste s’est autorisée des haussements de ton lorsqu’elle s’en est pris à ses adversaires. « Certains veulent revenir aux nationalismes, au temps du sang et de la haine. Ce qu’ils annoncent, c’est l’Europe en marche arrière. Ne les laissons pas gagner ! »
French prime minister Edouard Philippe (C), French National Assembly Richard Ferrand (L) and Leader of Mouvement Democrate (Democratic Movement - MoDem) Francois Bayrou (R) take part in the launch of the La Republique En Marche (LREM) party campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/2.8, ISO 2000, Compensation: -1. Flash: non
Si Emmanuel Macron n’a pas fait le déplacement, ses mots ont fait l’ouverture du premier grand meeting de LaREM, avec une vidéo d’extraits de grands discours européens, devant 3 000 sympathisants réunis aux Docks d’Aubervilliers, le 30 mars 2019, moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Le Premier ministre, Édouard Philippe, était pour sa part bien présent. « On doit, sur les idées que nous portons, construire sur un rassemblement pour faire prévaloir une Europe forte, puissante par rapport à des acteurs internationaux qui nous regardent et qui parfois nous testent », a déclaré le chef du gouvernement lors de son arrivée. S’il n’a pas pris la parole durant le meeting, la salle l’a longuement salué, ainsi que plusieurs membres de son gouvernement.
French Minister attached to the Foreign Affairs Minister Nathalie Loiseau (C) poses during a press conference in Paris on March 26, 2019, during which the La Republique en Marche (LREM) party reveals the names of its 30 European election candidates. Nathalie Loiseau resign from the government to head up President Emmanuel Macron's party list for the European election.
Prise de vue: Mardi 26 mars 2019, à 16 h 43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 65 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 139 mots La bataille des européennes est lancée. LREM dévoilait ce mardi 26 mars 2019 les 30 premiers noms de sa liste pour les élections européennes. Sans surprise, la ministre des Affaires européennes Nathalie Loiseau est investie en tête de la liste LREM , avec l’écologiste Pascal Canfin en deuxième position. Parmi les suivants figurent la directrice de la Maison de l’Europe à Rennes, Marie-Pierre Vedrenne, le président des Jeunes Agriculteurs Jérémy Decerle , la navigatrice Catherine Chabaud , la sénatrice Agir Fabienne Keller et le journaliste Bernard Guetta. Le directeur de campagne, Stéphane Séjourné, est en 7e position, et Gilles Boyer, le conseiller politique du Premier ministre Édouard Philippe, est en 12e position. Les sondages accordent actuellement à la liste LREM-MoDem autour de 23 % d’intentions de vote, ce qui correspondrait peu ou prou au même nombre d’élus. Source : www.lexpress.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Prime Minister Édouard Philippe (C, with a beard visits the 56th International Agriculture Fair (Salon international de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris on February 27, 2019.
Prise de vue: Mercredi 27 février 2019, à 17 h 53. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 59 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
Le premier ministre Édouard Philippe est passé pour la troisième fois au Salon international de l’Agriculture le 27 février 2019 après midi, accompagné du Ministre de l’agriculture Didier Guillaume. Après la visite marathon d’Emmanuel Macron au Salon le samedi 23 février, c’est en effet au tour d’Édouard Philippe d’arpenter les allées de la plus grande ferme de France. Le Premier ministre a notamment souligné l’importance de la recherche et de la formation dans le secteur agricole, soulignant les besoins importants de recrutement.
Demonstrators face riot police officers during a demonstration called by several trade unions to disrup the inauguration by the French President Emmanuel Macron of a new handball stadium in Creteil, on the outskirts of Paris on January 9, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/9, ISO 3200, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 157 mots. Le chef de l’État a vu sa première sortie de l’année 2019 quelque peu mouvementée. Emmanuel Macron devait inaugurer la Maison du Handball à Créteil, dans le Val-de-Marne ce mercredi 9 janvier 2019. Sa visite a été marquée par la présence de manifestants hostiles à sa venue, entraînant des heurts avec les forces de l’ordre. Un vaste périmètre de sécurité avait été mis en place autour de la Maison du handball, et la centaine de manifestants était cantonnée à environ 900 mètres. « Police nationale, milice du capital » ou « Macron t’es foutu, les travailleurs sont dans la rue », ont scandé les manifestants. Cette visite intervient à trois jours de l' « acte IX » des gilets jaunes et alors que le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé lundi une nouvelle loi « anticasseurs » avec un fichier s’inspirant des lois anti-hooligans et un durcissement des sanctions contre les casseurs et les manifestations non déclarées ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Culture Minister Franck Riester (C) at the Docks-City of Fashion and Design in Paris on January 08, 2019 during a signing ceremony between French Cuture minister, French Economy Minister Bruno Le Maire and the chief executive officer of the French luxury brand Hermes, Guillaume de Seynes.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 85 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 1000, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 237 mots. Franck Riester, 44 ans, Ministre de la Culture depuis octobre 2018, s’engage en politique dès ses 21 ans, en étant élu au conseil municipal de Coulommiers sous l’étiquette RPR, avant de devenir maire en 2008. Porte-parole du candidat Sarkozy en 2012, le parlementaire s’illustre l’année suivante en étant l’un des deux seuls de son groupe, avec Benoist Apparu, à voter la loi sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Franck Riester soutient Bruno Le Maire lors de la primaire de la droite en 2016, avant de rallier Alain Juppé au second tour. Entre les deux tours de la présidentielle, il se démarque à nouveau de la position du parti, jugeant « irresponsable et dangereux de cautionner le vote blanc » et appelle à voter Macron. « Tout sauf une surprise », tranche Julien Aubert, député LR. « Ça fait bien longtemps qu’il s’est éloigné de la droite et qu’il désire entrer au gouvernement ». Viré des Républicains, le député lance en novembre 2017 son propre parti, Agir, avec une poignée d’anciens LR pour mieux s’opposer à la ligne de Laurent Wauquiez jugée « identitaire, eurosceptique, ultra-conservatrice ». L’ancien maire de Coulommiers ne sera pas perdu au gouvernement. « Il rejoint des personnes qu’il connaît bien, Édouard Philippe, ou Bruno Le Maire avec qui il a fait campagne lors de la primaire », souligne Fabienne Keller, sénatrice Agir du Bas-Rhin. Source : www.20minutes.fr, lien à la fin de l'article complet.
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Clashes between demonstrators and riot police in front of the Arc de Triomphe during a protest of Yellow vests (Gilets jaunes) against rising oil prices and living costs, in Paris, on December 1, 2018. Thousands of anti-government protesters are expected on December 1, 2018 on the Champs-Elysees in Paris, a week after a violent demonstration on the famed avenue was marked by burning barricades and rampant vandalism that French President compared to "war scenes".
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 297 mots. L’Arc de Triomphe plongé sous un nuage de lacrymogène, au milieu des jets de projectiles : à Paris, des centaines de « gilets jaunes » étaient aux prises samedi 1er décembre 2018 avec les forces de l’ordre, à la peine pour les canaliser. C’est en haut des Champs-Élysées, sur le rond-point de l’Étoile, que les premiers heurts ont d’ailleurs éclaté vers 8H45 quand des manifestants ont, selon une source policière, tenté de forcer un barrage. Les forces de l’ordre ont alors répliqué par des tirs de lacrymogène et des camions à eau. Quelques heures plus tard, c’est toujours autour de l’Arc de Triomphe que les échauffourées étaient les plus violentes.(…) Autour de la flamme du soldat inconnu, qui repose sous l’arc de Triomphe, des manifestants casqués et encagoulés ont entonné la Marseillaise, dans un climat extrêmement tendu. (…) Une banderole « Gaulois réfractaires » a été tendue près du monument, en référence à l’expression utilisée par le chef de l’État Emmanuel Macron pour évoquer la supposée réticence des Français face aux réformes. Un tag « les gilets jaunes triompheront » a également été peint au pied de l’Arc de triomphe. Autour du monument, des manifestants ont lancé des pavés sur des camions de gendarmes mobiles lancés à pleine vitesse avenue de la Grande armée où presque tous les commerces étaient fermés. Aux alentours de midi, le rondpoint de l’Étoile avait été évacué et était bloqué par un double cordon policier, repoussant les manifestants les plus virulents vers les avenues adjacentes où des barricades de fortune étaient dressées, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ces heurts ont également repoussé au loin les manifestants qui avaient choisi de se rassembler pacifiquement pour faire entendre leur colère sur le pouvoir d’achat. (…)
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III: 165 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 250, Compensation: -1. Flash: non
L’Arc de Triomphe, monument emblématique de Paris, dont la construction a débuté sous Napoléon et qui abrite la tombe du Soldat inconnu a été tagué ce samedi 1er décembre 2018, en marge du rassemblement des Gilets jaunes. « Les Gilets jaunes triompheront », est-il inscrit. Le Premier ministre Édouard Philippe s’est dit « choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France. […] Par le fait que l’Arc de Triomphe ait été tagué. Le fait qu’autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu ».
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Jason Herbert (C), member of the Yellow Vests (Gilets Jaunes) movement, leaves after French Prime Minister refused to broadcast a meeting at the Hotel Matignon in Paris on November 30, 2018. Following Yellow Vests (Gilets Jaunes) protests against high fuel prices and living costs, the French government has announced several measures to try end the unrest, which triggered riots on the famous Champs-Elysees avenue in Paris last weekend.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/5.6, ISO 1000, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 247 mots. Le rendez-vous des Gilets jaunes avec Edouard Philippe a tourné court vendredi 30 novembre 2018 après-midi. Deux membres du mouvement seulement ont accepté de se rendre à Matignon et l’un d’entre eux a presque aussitôt quitté la réunion. « Je souhaitais et j’ai demandé à plusieurs reprises à ce que cet entretien soit filmé et retransmis en direct à la télévision, cela a été refusé », a déclaré à la presse Jason Herbert, l’un des huit représentants désignés – mais contestés – pour justifier son départ rapide. Le jeune homme était arrivé à Matignon vers 14 h 30, une demi-heure après l’horaire prévu, dans une cour restée longtemps vide du moindre Gilet jaune.(…) « Aujourd’hui, nous ne sommes que deux, nous avons tous reçu d’énormes pressions. Je parle de menaces d’agression, verbales ou physiques, notre vie est en jeu », a affirmé Jason Herbert, l’un des meneurs du mouvement en Charente. Le second Gilet jaune reçu par Edouard Philippe et le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, est arrivé par une porte dérobée, sans passer devant la presse. Ni Matignon ni Jason Herbert n’ont voulu révéler son identité. Les pressions « ont été à 99% de la part d’autres Gilets jaunes […] pas des personnes pacifiques, des personnes radicales », a indiqué Jason Herbert.
General Secretary of French workers' union CGT rail federation Laurent Brun (center), with French CFDT trade union leader Didier Aubert (left) and representative of the SUD Rail union Bruno Poncet (right), adresses protesters during a gathering of employees of the state-owned rail operator SNCF called by CGT, Unsa, SUD, and CFDT unions on May 3, 2018 in front of the Ecole Militaire (Military Academy) in Paris, near Eiffel Tower. French rail workers will begin on May 3 and May 4, 2018, their two-day strike over planned reforms.
EXTRAIT : 170 mots. Plusieurs centaines de cheminots étaient réunis jeudi 3 mai 2018 après-midi à Paris pour montrer au Premier ministre Édouard Philippe qu’ils « ne faiblissent pas », quatre jours avant d’être reçus à Matignon. Les fédérations CGT, Unsa, SUD, CFDT et FO avaient en effet appelé à des rassemblements devant l’École militaire à Paris et devant les préfectures en régions. Plusieurs centaines de manifestants — cheminots, étudiants, enseignants, électriciens, gaziers, postiers… — étaient présents au rendez-vous parisien, animé par des pétards, des fumigènes et de la musique. Un faux chèque d’un million d’euros a été remis symboliquement aux fédérations de cheminots par Jean-Marc Salmon, sociologue à l’origine de la cagnotte de soutien lancée par une trentaine d’artistes et intellectuels. « Votre grève soulève de grands espoirs dans le pays », a-t-il assuré au micro face aux manifestants qui l’ont applaudi. La cagnotte, dont le montant avoisinait les 975.000 euros jeudi, a été « prolongée jusqu’au 7 juin », a-t-il précisé l’AFP.
Anti-riot policemen in front of protestors during a demonstration on the sidelines of a march for the annual May Day workers’ rally in Paris on May 1, 2018. Police in Paris have used water cannons to break up a tumultuous rally amid May Day demonstrations as masked protesters have been throwing smoke bombs and setting vehicles on fire in the French capital.
EXTRAIT : 178 mots. En ce 1er-Mai 2018, les syndicats ont défilé en ordre dispersé. Les manifestations ont réuni 143 500 personnes en France selon le ministère de l’Intérieur et 210 000 personnes, selon la CGT. Partie vers 15 h, la manifestation parisienne a très rapidement changé de tournure, bloquée par quelque « 1 200 black blocs » recensés par la préfecture de police, sur les 14 500 personnes venues hors cortège syndical, une configuration inédite selon une source proche du dossier. Face aux affrontements et dégradations, les forces de l’ordre ont riposté par des tirs de gaz lacrymogènes et deux lanceurs d’eau. De nombreuses dégradations ont été commises par les militants encagoulés. (…) Près de 200 « black blocs » ont été interpellés, selon la préfecture de police, qui a également mentionné six autres interpellations, pour port d’arme prohibé ou jets de projectiles. Le président de la République Emmanuel Macron a condamné, sur Twitter, « avec une absolue fermeté les violences » qui ont « dévoyé les cortèges du 1er mai ». (…) Le Premier ministre, Édouard Philippe, a également condamné dans un communiqué ces violences…
Members of associations rally to protest against a French bill relating to the right of asylum and immigration outside the Council of State, in Paris, on February 21, 2018. French President Emmanuel Macron's government is presenting its first big immigration bill, which human rights organizations criticize as repressive toward asylum-seekers. The plan will reduce the period of application for asylum to six months maximum, down from about one year including appeal.
Alors qu’une manifestation a été organisée dès le mercredi 21 février 2018 devant le conseil d’Etat, Gérard Collomb a présenté son projet de loi sur l’asile et l’immigration, «totalement équilibré» selon le ministre de l’Intérieur. Ce texte vise à réduire à six mois les délais d’instruction de la demande d’asile et à faciliter la reconduite à la frontière pour les déboutés. Le Premier ministre Édouard Philippe disait ce mardi que le texte s’inscrivait dans le cadre plus large de « notre politique d’immigration et d’asile » qui « repose sur deux principes, humanité et efficacité ». Le projet est très critiqué par les associations et fait des vagues jusque dans la majorité pour sa logique de fermeté. Plusieurs acteurs de l’asile se sont mis en grève aujourd’hui : l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), mais aussi la Cour nationale du droit d’asile qui entame son neuvième jour de grève.
Former French president Francois Hollande (C) takes part in the gathering organized by the Representative Council of France's Jewish Associations (CRIF) outside the Hyper Casher supermarket in Paris on January 9, 2018 on the third anniversary of the attack on January 9, 2015 by a jihadist gunman, who killed three customers and a Jewish employee.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 9 janvier 2018, à 19 h 27. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/125 s, f/2.8, ISO 8000, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM, 200 mm.
EXTRAIT : 111 mots. Édouard Philippe, Gérard Collomb, Benjamin Griveaux… Par la présence de plusieurs membres du gouvernement, dont le Premier ministre, l’État a rendu un hommage sobre aux victimes de l’attentat contre l’épicerie Hyper Cacher à Paris, mardi 9 janvier 2018 dans la soirée, trois ans après le drame. François Hollande, Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, tous les trois en poste lors de l’attentat, ont également participé à la cérémonie, tout comme plusieurs représentants d’institutions juives de France : Francis Kalifat, président du Crif, Joël Mergui, président du Consistoire et le grand rabbin de France, Haïm Korsia. Le dessinateur Riss, directeur de Charlie Hebdo, s’est également rendu sur place…
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mercredi 12 décembre 2017, à 13 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/8, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 135 mots L’ex-Premier ministre et ex-maire de Nantes était devant l’Assemblée nationale le mercredi 13 décembre 2017 pour soutenir la délégation venue défendre le projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes, le jour de la remise du rapport des médiateurs à Édouard Philippe. Interrogé sur les premiers extraits de ce rapport publiés par la presse, celui qui était encore ministre des
Affaires étrangères en mai dernier estime que le bilan comparé d’un aménagement de Nantes Atlantique avec un transfert à Notre-Dame-des-Landes est favorable à la seconde solution : « Si on veut être honnête sur le coût, c’est à peu près la même chose. Si on veut être honnête sur le bilan carbone, à la fin, il sera plus favorable avec un transfert à Notre-Dame-des-Landes. »…
L’image devait être belle, et forte. Ce samedi 20 mai 2017 après-midi, Les Républicains ont donné rendez-vous à un peu plus de 2000 militants au parc floral du bois de Vincennes pour afficher leur unité et tenter de faire oublier les désertions au profit d’Emmanuel Macron. Plusieurs figures du parti se sont ainsi affichées souriantes, au premier rang et sur la scène de ce grand meeting. Leur chef de file pour les législatives, François Baroin, a poursuivi son argumentaire sur la nécessité d’« offrir une alternance » malgré la participation au gouvernement d’Édouard Philippe de deux autres
ministres LR, Bruno Le Maire et Gérald Darmanin. Des « girouettes », a-t-il accusé, très applaudi. « La démocratie, ce n’est pas le mercato gouvernemental ! » a pour sa part tancé François Baroin, après avoir longuement remercié tous les poids lourds présents. Outre le sénateur de l’Aube, Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et Maud Fontenoy, vice-présidente de la région Paca, se sont appliquées à motiver les troupes à la tribune. Ainsi que Philippe Vigier, président du groupe UDI à l’Assemblée, LR et UDI étant liés par un accord pour le scrutin de juin.
French right-wing Les Republicains (LR) party senator and head of the campaign committee of the right and the center for the upcoming legislative elections Francois Baroin speaks during a meeting concerning LR-UDI (Union of Democrats and Independents) candidates in the upcoming French legislative election on May 20, 2017 in Paris.