The familly of Estelle Mouzin, including Eric Mouzin (C), the father, hold a banner reading ‘help us find Estelle ’ during a silent march in Guermantes, near Paris, fifteen years after the disappearance of the nine-year old girl. Estelle Mouzin disappeared on January 9, 2003 in Guermantes village some 26 kilometers from Paris.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 13 janvier 2018, à 16 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/7.1, ISO 640, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 181 mots. 15 ans après la disparition d’Estelle Mouzin, une centaine de personnes, dont des proches de la famille de la petite fille, se sont rassemblées ce samedi 13 janvier 2018 après-midi à Guermantes, en Seine-et-Marne. Le trajet du cortège est resté le même que les années précédentes, partant de la place du Temps perdu, l’endroit où la fillette a été vue pour la dernière fois. Mais ce 15e anniversaire avait aussi une teneur particulière. Au recueillement s’ajoute désormais la colère et même « la rage », celle d’Eric Mouzin. Le père d’Estelle a annoncé il y a quelques jours qu’il allait attaquer l’État. « Je n’ai plus d’autres alternatives que cette plainte », explique-t-il ce samedi au micro de LCI. « Je considère que l’État a été défaillant ». Estelle Mouzin a disparu le 9 janvier 2003 sur le chemin entre son école et son domicile, à Guermantes, en Seine-et-Marne. Malgré plusieurs opérations de police de grande envergure et une mobilisation massive de sa famille, l’enfant est restée introuvable…
Plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées, dimanche 2 avril à Paris, pour exiger « justice » et « vérité » après la mort de Liu Shaoyao, un père de famille chinois de 56 ans, tué le dimanche 26 mars à son domicile du 19e arrondissement par le tir d’un policier. Au milieu de banderoles « Vérité justice, dignité » et d’affiches « J’aime la France », « Pour la paix, la justice ! Contre la violence », les manifestants, roses blanches à la main, se sont retrouvés sur la place de la République pour « un rassemblement de recueillement » à l’appel de plusieurs associations de la com-
munauté chinoise. Les manifestants ont observé une minute de silence au pied de la statue au centre de la place, où avait été tendue une banderole avec la mention « Police assassin, on veut la justice » et la photo de la victime. « Nous voulons faire pression et soutenir la famille pour rétablir la vérité et lutter contre les violences policières », a expliqué Sacha Lin Jung, de l’association Chinois résidant en France, qui a co-organisé le rassemblement.
A memorial for Shaoyao Liu, a 56-year-old father killed by police last week, turns into a violent clash between Chinese protesters and police on April 2, 2017 near Place de la Republique.
C’est à l’Equinoxe, dans le XVe arrondissement de Paris que La Manif pour tous avait choisi d’organiser son dernier meeting de campagne, samedi 28 novembre 2015. Sous le hashtag #QPPR, (Questions pour un président de région), les candidats à la présidence de la région étaient invités à expliquer leurs positions sur la famille. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France, DLF), Valérie Pécresse (Les Républicains) et Wallerand de Saint-Just (Front national) ont répondu présents pour la région Ile-de-France, les autres candidats ayant décliné l’invitation. Face à ses adversaires du Front national et de Debout la France, Valérie Pécresse a pu faire valoir son expérience : quatre années au ministère de l’Enseignement supérieur et de nombreux engagements sur le thème du harcèlement, du mariage forcé ou de la maltraitance des enfants ont fait d’elle une candidate crédible pour défendre les droits de l’enfant. « Ma politique régionale sera une politique familiale », a-t-elle déclaré avant de présenter les principales mesures de son programme à destination des jeunes : égalité des subventions dans l’enseignement public et l’enseignement privé, « lycée sans drogue », renforcement du système d’orientation, facilités d’accès au stage en entreprise, gratuité du code de la route, rétablissement de la bourse au mérite. Et, par-dessus tout, son cheval de bataille: la lutte contre le gaspillage des financements octroyés aux associations n’ayant pas vocation à agir directement sur la région. Pas de subventions, donc, pour les organismes luttant pour « l’indifférenciation des sexes » et promouvant la théorie du genre. L’argument saura convaincre l’assemblée.
Ile-de-France opposition chief candidate Valérie Pécresse gives a speech during a political meeting with Manif pour tous group on November 28, 2015 in Paris.
À l’appel de la famille de Rémi Fraisse, tué par une grenade offensive tirée par un Gendarme Mobile sur le site du barrage de Sivens dans la nuit du 25 au 26 octobre 2014, un moment de recueillement a été observé dimanche 25 octobre 2015 devant le Mur de la Paix, à Paris.
Relatives and supporters gathered close to the Mur pour la paix (Wall for Peace) in Champ de Mars, in Paris, on October 25, 2015, to pay tribute to Rémi Fraisse, environment activist killed one year ago by a grenade during a protest agains the dam project in Sivens, southern France.
Plus de dix mois après l’adoption de la loi sur le mariage pour tous, la « Manif pour Tous » rendait publique la synthèse de son « Grenelle de la famille », mené dans plusieurs villes de France entre octobre et décembre 2013. Ce « manifeste pour la famille et pour l’enfant » a été présenté à la Maison de la Mutualité, à Paris, le samedi 8 mars 2014 après-midi devant plus d’un millier de personnes. Un rassemblement qui était placé sous la présidence de Ludovine Dutheil de la Rochère, et en présence notamment de Charles Beigbeder, candidat dissident de la droite à la mairie de Paris.
Plusieurs milliers de personnes ont défilé, dimanche 15 décembre 2013 après-midi, dans les rues de Versailles (Yvelines) à l’appel de La Manif pour tous pour dénoncer « la familiphobie du gouvernement ». Selon la police, la manifestation a mobilisé environ six mille personnes, les organisateurs avançant quant à eux le chiffre de trente mille participants. Le cortège, garni de ballons et de drapeaux bleus et roses, ainsi que de bonnets roses, s’est ébranlé peu après 15 h 30 derrière une banderole portant l’inscription « Familles attaquées = société en danger ». Quelques responsables politiques yvelinois ont participé au défilé, dont les députés UMP Valérie Pécresse et Jean-Frédéric Poisson, ainsi que les maires de Versailles et du Chesnay.
Quelques centaines de lycéens ont manifesté samedi 19 octobre 2013 après-midi à Paris pour réclamer le retour en France de Leonarda Dibrani, collégienne expulsée le 9 octobre vers le Kosovo, mais aussi de sa famille. Estimés à 600 selon la Préfecture de Police, les manifestants ont défilé entre Bastille et place de la Nation, après en avoir obtenu l’autorisation. Deux cents d’entre eux ont fini par un rassemblement assis d’une trentaine de minutes à Nation, avant de se disperser, après quelques bousculades avec les forces de l’ordre.
De 450 selon la police à 1.000 personnes d’après les organisateurs ont manifesté samedi 25 mai 2013 après-midi à Paris pour demander au gouvernement de modifier sa politique vis-à-vis des Roms, déplorant des « expulsions qui se succèdent ». Les manifestants, en majorité des familles roms, mais aussi des représentants d’associations et d’organisations politiques, ont marché de la place Saint-Michel jusqu’aux environs de l’hôtel Matignon derrière une banderole portant l’inscription « Aujourd’hui les Roms et demain qui ? Halte au racisme ! Égalité des droits ». « En France, il y a écrit Liberté, égalité, fraternité. Mais j’ai du mal à y croire. Je ne suis pas un voleur, je ne crée pas de problème. Je veux juste pouvoir vivre tranquillement ici et travailler. Au lieu de ça, on casse ma baraque, on m’insulte », a affirmé à l’AFP Boti Sorin, un Rom de 38 ans, qui vit dans un bidonville de Saint-Denis, près de Paris. Rotaru Constantin, 38 ans aussi et Roumain, est arrivé en région parisienne il y a 4 ans. Il a expliqué faire les poubelles et vendre ce qu’il y trouve pour nourrir sa femme et ses quatre enfants. « Comme vous, comme n’importe qui, je veux travailler et payer des taxes ici », a affirmé à l’AFP cet homme sous le coup d’un arrêté d’expulsion.
Plusieurs milliers de pèlerins catholiques ont quitté à pied Chartres samedi 18 mai 2013 au matin pour Paris et célébrer la fête de la Pentecôte, à l’occasion du pèlerinage organisé par l’association « Pèlerinages de tradition », dont la majeure partie de l’aumônerie est confiée à la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, fondée en 1970 par Monseigneur Marcel Lefebvre. Sous un ciel bas automnal et une pluie quasi continue, les pèlerins, principalement des jeunes et des familles, sont partis de la cathédrale de Chartres, à l’issue d’une messe, avant de rejoindre la capitale le lundi 20 mai 2013, après une centaine de kilomètres. Une dernière étape qui les a conduits de la pelouse du bois de Boulogne aux Invalides, en passant par le très chic 16e arrondissement, le Trocadéro et la Tour Eiffel.
Les sept Français de la famille Moulin-Fournier, dont quatre enfants, libérés vendredi 19 avril 2013 sains et saufs après deux mois de captivité aux mains du groupe islamiste Boko Haram au Nigeria, sont arrivés samedi 20 avril 2013. Ils ont atterri en provenance de Yaoundé à l’aéroport d’Orly, au sud de Paris, où le président François Hollande est venu les accueillir. La famille Moulin-Fournier a voyagé à bord du Falcon du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius qui a fait un aller et retour au Cameroun pour aller les chercher. L’appareil s’est posé à 6 heures sur le tarmac où attendaient aussi une dizaine de membres de la famille des ex-otages et une soixantaine de journalistes. Les sept anciens otages, souriants, des couvertures sur les épaules pour se protéger du froid vif du petit matin, sont descendus de l’avion et sont tombés immédiatement dans les bras de leurs proches, avant de s’acheminer vers le pavillon d’honneur. Très peu d’informations ont filtré sur les conditions de cette libération, annoncée dès vendredi matin par la présidence camerounaise. François Hollande, qui avait remercié vendredi les autorités camerounaises et nigérianes ayant « travaillé à cette issue heureuse », avait fait valoir que « c’est en étant le plus discret possible que nous pouvons être les plus efficaces ».
La grande famille du cinéma, en smoking et robes longues, était réunie vendredi soir au théâtre du Châtelet pour la 38e cérémonie des César avec cette année l’acteur-humoriste Jamel Debbouze en « président espiègle et jovial », « de tous les nommés et des pas nommés comme le marsupilami ». La cérémonie, ouverte à 21h dans l’humour par Jamel, était dédiée à la mémoire de Daniel Toscan du Plantier et Maurice Pialat. Peu avant le début de la cérémonie, retransmise en direct et en clair sur Canal+, les rumeurs souvent contradictoires donnaient l’avantage à « Amour » de Michael Haneke plutôt que « Camille redouble », de Noémie Lvovsky, qui avait obtenu le plus de nominations (13 contre 10). Et c’est finalement bien le film « Amour » qui a raflé les prix et c’est Emmanuelle Riva – 86 ans – et son partenaire Jean-Louis Trintignant qui se sont vu tenir entre leurs mains les Césars de la meilleure actrice et celui du meilleur acteur. En début de soirée, les professionnels étaient accueillis sous les sifflets de quelque 250 techniciens du spectacle qui manifestaient sur le parvis de la place du Châtelet, bien tenus à l’écart, réclamant notamment de meilleurs salaires et une extension de leur convention collective. De quoi provoquer, peut-être, des prises de paroles d’acteurs ou de producteurs sur scène, sur fond de polémique depuis décembre sur les gros cachets des vedettes et le financement du cinéma français.
Frédérique Bel descend du taxi pour les César 2013
Frédérique Bel, tout de cuir vêtue et brushing ondulé, s’est présentée en taxi à l’arrivée des stars de la 38e édition des César, le 22 février 2013. Débutant par de la figuration à la TV pour la série Le commissaire Moulin et l’émission Groland, elle fait sa première apparition au cinéma en 2000 en donnant une réplique dans le film de Patrick Braoudé : « Deuxième Vie ». Elle enchaînera ensuite des petits rôles dans des comédies comme La Beuze, Laisse tes mains sur mes hanches, L’Incruste… En 2004, elle va intégrer l’équipe du Grand Journal de Canal+ et y créer le personnage de Dorothy Doll dans une chronique intitulée La minute Blonde. Elle y incarne l’archétype de la blonde écervelée, le succès est immédiat. L’aventure durera deux ans, jusqu’au jour ou lasse de l’image que l’on se fait d’elle, elle souhaite franchir une étape. Cédric Klapisch lui offre un rôle dans « Les poupées russes », on la voit également dans « Camping » de Fabien Onteniente. Emmanuel Mouret lui donne deux rôles importants dans ses films « Changement d’adresse » en 2006 puis « Un baiser s’il vous plaît » en 2007. On peut également la voir à l’affiche de trois films : « Les dents de la nuit » de Vincent Lobelle, « Mes stars et moi » de Laetitia Colombani et « Vilaine » de Jean-Patrick Benes.
Cyril Mennegun, César du meilleur premier film pour « Louise Wimmer »
Le César du meilleur premier film a été attribué à «&bsp;Louise Wimmer » du réalisateur belfortain Cyril Mennegun, le 22 février 2013, lors de la 38e cérémonie des Césars au Châtelet. Cyril Mennegun est un autodidacte. Il a commencé par réaliser des documentaires dont le portrait de son ami Tahar Rahim, autre Belfortain devenu comédien en vue depuis sa performance dans « Un prophète » de Jacques Audiard. En 2004, le réalisateur tourne le 52 minutes « Jours précaires », un documentaire basé sur les témoignages de travailleurs pauvres. Son premier long métrage a été plébiscité par la critique Ce film a reçu le Prix Louis Delluc du premier film et le syndicat français de la critique de cinéma l’a choisi comme meilleur premier film.
Jamel Debbouze préside la cérémonie des César 2013
Jamel Debbouze était le président de la 38e cérémonie des César, au théatre du Châtelet, à Paris. Arrivé accompagné de sa femme, la journaliste Mélissa Theuriau, il a présidé la soirée au second degré, épaulé de son premier ministre Antoine de Caunes, maître de cérémonie.
« Les Adieux à la reine », le film de Benoît Jacquot sur les amours au féminin de Marie-Antoinette, était nominé le 22 février 2013 aux César dans les catégories meilleur film, meilleur réalisateur et meilleure actrice pour Léa Seydoux. C’était la troisième nomination de l’actrice, après le César du meilleur espoir féminin, en 2009 et 2011.
Kevin Costner était présent place du Châtelet, à Paris, le vendredi 22 février 2013, pour la 38e cérémonie des César, où il s’est vu décerner un César d’honneur, pour l’ensemble de sa carrière. Un César qui vient honorer l’acteur notamment pour ses rôles dans « Danse avec les loups », qui lui avait valu un Oscar en 1990, « Les Incorruptibles », « JFK » ou encore « Bodyguard ». « Des films qui nous ont fait rêver » a déclaré le président de l’Académie des Arts et Techniques, Alain Terzian, dans un communiqué avant la cérémonie.
Marion Cotillard, sublime et souriante mais bredouille !
On attendait beaucoup pour Marion Cotillard le 22 février 2013 au soir, lors de la 38e cérémonie des César… Mais l’institution du cinéma français n’a pas récompensé l’actrice de 37 ans, qui est une fois de plus repartie bredouille, alors qu’elle a fait chou blanc aux cérémonies américaines. Malgré ce relatif échec, l’héroïne de « De Rouille et d’Os » faisait bonne figure, affichant un sourire constant tout le long de la soirée, qui se déroulait au Théâtre du Châtelet. Teint de porcelaine, coiffure façon années folles, grands yeux bleus maquillés avec goût : l’actrice était très en beauté. Si Marion Cotillard s’est fait doubler par Emmanuelle Riva dans la course au César de la Meilleure Actrice, « De Rouille et d’Os » a tout de même remporté les prix de Meilleur Montage, Meilleure Adaptation et Meilleur Espoir Masculin, grâce à la performance de Matthias Schoenaerts. On attendait beaucoup pour Marion Cotillard le 22 février 2013 au soir, lors de la 38e cérémonie des César… Mais l’institution du cinéma français n’a pas récompensé l’actrice de 37 ans, qui est une fois de plus repartie bredouille, alors qu’elle a fait chou blanc aux cérémonies américaines. Malgré ce relatif échec, l’héroïne de « De Rouille et d’Os » faisait bonne figure, affichant un sourire constant tout le long de la soirée, qui se déroulait au Théâtre du Châtelet. Teint de porcelaine, coiffure façon années folles, grands yeux bleus maquillés avec goût : l’actrice était très en beauté. Si Marion Cotillard s’est fait doubler par Emmanuelle Riva dans la course au César de la Meilleure Actrice, « De Rouille et d’Os » a tout de même remporté les prix de Meilleur Montage, Meilleure Adaptation et Meilleur Espoir Masculin, grâce à la performance de Matthias Schoenaerts.
Izia Higelin, « Mauvaise fille » et meilleur espoir féminin
Pour son premier film, la chanteuse de 22 ans Izia Higelin s’est vu remettre, vendredi 22 février 2013, le prix du meilleur espoir féminin pour son rôle dans le film de Patrick Mille « Mauvaise fille », inspiré du roman de Justine Levy. Fille de Jacques Higelin, Izia remporte en 2010 deux Victoires de la musique pour l’album pop/rock de l’année et la révélation scène de l’année. Ce soir-là, elle se lâche sur scène. Une performance qui retient l’attention de Patrick Mille et Justine Lévy. C’est en la voyant recevoir ce prix que le couple a l’idée de lui confier le rôle de Louise dans « Mauvaise fille », une jeune femme qui apprend simultanément qu’elle est enceinte et que sa mère, interprétée par Carole Bouquet, est gravement malade.