French police clash with firefighters protesting against French government's plan to overhaul the country's retirement system in Paris, on January 28, 2020.
Prise de vue: Mardi 28 janvier 2020, à 14 h 38. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 193 mots. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déploré ce mercredi 29 janvier 2020 l’attitude « très agressive » de certains pompiers lors de leur manifestation de la veille à Paris. Le haut fonctionnaire a salué dans un communiqué le « professionnalisme » des policiers et gendarmes mobilisés mardi 28 janvier « malgré les violences dont ils ont fait l’objet ». La manifestation a rassemblé 3.900 soldats du feu, selon la préfecture. Elle a été émaillée de heurts, notamment après l’arrivée du cortège place de la Nation. La Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, qui chapeaute la profession, a également condamné l’attitude de ces manifestants. « Utiliser la violence pour se faire entendre est totalement contraire aux valeurs qui unissent les sapeurs-pompiers de France », a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Ces heurts étaient, selon elle, « d’autant plus injustifiés » qu’une rencontre avait lieu au même moment entre l’intersyndicale de la profession et le ministère de l’Intérieur. Ce dernier y a annoncé des mesures, en matière de salaires et retraites notamment, qui ont conduit les syndicats à mettre fin à leur mouvement de protestation entamé l’été dernier. Source.
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Clashes between demonstrators and riot police in front of the Arc de Triomphe during a protest of Yellow vests (Gilets jaunes) against rising oil prices and living costs, in Paris, on December 1, 2018. Thousands of anti-government protesters are expected on December 1, 2018 on the Champs-Elysees in Paris, a week after a violent demonstration on the famed avenue was marked by burning barricades and rampant vandalism that French President compared to "war scenes".
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 297 mots. L’Arc de Triomphe plongé sous un nuage de lacrymogène, au milieu des jets de projectiles : à Paris, des centaines de « gilets jaunes » étaient aux prises samedi 1er décembre 2018 avec les forces de l’ordre, à la peine pour les canaliser. C’est en haut des Champs-Élysées, sur le rond-point de l’Étoile, que les premiers heurts ont d’ailleurs éclaté vers 8H45 quand des manifestants ont, selon une source policière, tenté de forcer un barrage. Les forces de l’ordre ont alors répliqué par des tirs de lacrymogène et des camions à eau. Quelques heures plus tard, c’est toujours autour de l’Arc de Triomphe que les échauffourées étaient les plus violentes.(…) Autour de la flamme du soldat inconnu, qui repose sous l’arc de Triomphe, des manifestants casqués et encagoulés ont entonné la Marseillaise, dans un climat extrêmement tendu. (…) Une banderole « Gaulois réfractaires » a été tendue près du monument, en référence à l’expression utilisée par le chef de l’État Emmanuel Macron pour évoquer la supposée réticence des Français face aux réformes. Un tag « les gilets jaunes triompheront » a également été peint au pied de l’Arc de triomphe. Autour du monument, des manifestants ont lancé des pavés sur des camions de gendarmes mobiles lancés à pleine vitesse avenue de la Grande armée où presque tous les commerces étaient fermés. Aux alentours de midi, le rondpoint de l’Étoile avait été évacué et était bloqué par un double cordon policier, repoussant les manifestants les plus virulents vers les avenues adjacentes où des barricades de fortune étaient dressées, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ces heurts ont également repoussé au loin les manifestants qui avaient choisi de se rassembler pacifiquement pour faire entendre leur colère sur le pouvoir d’achat. (…)
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III: 165 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 250, Compensation: -1. Flash: non
L’Arc de Triomphe, monument emblématique de Paris, dont la construction a débuté sous Napoléon et qui abrite la tombe du Soldat inconnu a été tagué ce samedi 1er décembre 2018, en marge du rassemblement des Gilets jaunes. « Les Gilets jaunes triompheront », est-il inscrit. Le Premier ministre Édouard Philippe s’est dit « choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France. […] Par le fait que l’Arc de Triomphe ait été tagué. Le fait qu’autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu ».
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The face of a demonstrator is injured during a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/5.6, ISO 800. Flash: non
Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
La Brigade de recherche et d’intervention (BRI) arrive au Parc des Princes, à Paris, le 12 juin 2016, afin d’assurer la sécurité de la rencontre organisée entre les équipes nationales de Turquie et de Croatie, dans le cadre de l’Euro 2016. Pour les forces d’assaut spécialisées dans le contre-terrorisme, l’Euro 2016 est un rendez-vous de première importance. Pendant plus de quatre semaines, les policiers du RAID (Recherche, assistance, intervention, dissuasion), de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) ainsi que les gendarmes du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) seront lourdement mobilisés. Tous seront prêts à intervenir en cas d’attaque majeure et ils seront aussi au contact des sélections nationales dont ils assureront la protection rapprochée. Le principe était déjà à l’œuvre lors des deux grandes dernières compétitions sportives organisées dans l’Hexagone, la Coupe du monde de football en 1998 et celle de rugby en 2007. Mais « la problématique terroriste n’avait pas alors la même acuité », rappelait le colonel Hubert Bonneau, commandant du GIGN.
The Brigade of Research and Intervention (BRI) arrives at the Parc des Princes June 12, 2016, during the UEFA EURO 2016 match between Turquey and Croatia.
Vingt-deux personnes ont été interpellées, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, en marge de la « Nuit debout », après des violences contre les forces de l’ordre et des dégradations commises dans le nord-est de Paris, a annoncé la préfecture de police. Quelques manifestants ont été incommodés par des gaz lacrymogènes, et quatre policiers et gendarmes ont été blessés légèrement. Alors que 3 000 personnes ont participé, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, à la manifestation de la « Nuit debout », place de la République, « une centaine d’individus déterminés » ont rassemblé, vers 1 h 30, poubelles et autres panneaux de chantiers puis ont brûlé des palettes et des détritus, avant de jeter « à de nombreuses reprises » des projectiles (bouteilles, canettes, pavés) sur les forces de l’ordre, expliquait la préfecture de police dans un communiqué. Celles-ci ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène puis ont repoussé hors de la place de la République « le groupe de casseurs », qui s’est dispersé dans le secteur des Buttes-Chaumont, dans le nord-est de la capitale, en commettant « un certain nombre de dégradations ». Deux agences bancaires et un chantier ont notamment été vandalisés sur son passage. Vingt-deux personnes ont au total été interpellées pour « jets de projectiles, violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, recel de vol », a indiqué la préfecture.
A newspaper stand is covered by graffitis reading ‘No advertising, no regret’ and ‘Objectified woman, citizen republic’ on Place de la République in Paris on April 16, 2016, outside the Nuit Debout (Night Rising) movement.
Plus de 100 000 gendarmes et policiers étaient sur le pont en France pour la nuit du nouvel an, une sécurité renforcée face à une menace djihadiste toujours très élevée, un mois et demi après les attentats de Paris. « Une mobilisation exceptionnelle », a expliqué le 31 décembre 2015 le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve lors d’un déplacement à Domont (Val-d’Oise) pour faire le point sur le dispositif de sécurité. À Paris et en petite couronne, les moyens ont été musclés avec la mobilisation de 11 000 policiers, gendarmes et pompiers, contre 9 000 en 2014. Il ne s’agit pas seulement de répondre au « risque terroriste » mais aussi à « tous les actes d’incivilité qui peuvent se produire pendant la nuit de la Saint-Sylvestre » comme les incendies de voitures, a souligné Bernard Cazeneuve.
« Aucun débordement ne sera toléré », à la veille de la Manif pour tous organisée dimanche 2 février 2014 à Paris, les forces de l’ordre avaient reçu des consignes de « grande fermeté » pour éviter que ne se reproduisent les débordements survenus une semaine auparavant lors du « Jour de colère » et qui s’étaient soldés par un bilan de 19 policiers blessés et 226 gardes à vue. Pour faire face à une éventuelle nouvelle démonstration de force, pas moins de 1.500 policiers et gendarmes ont encadré le cortège du 2 février. Le dispositif pouvait monter au maximum à 1.900 hommes, sachant que les organisateurs eux-mêmes avaient fait appel à des centaines de bénévoles pour assurer le bon déroulement de cet événement qui se voulait « familial ». La manifestation s’est finalement achevée sans grands débordements.
À la fin de la manifestation « Manif pour Tous » organisée avenue de la Grande Armée, à Paris, le 24 mars 2013, plusieurs centaines de personnes ont descendu l’avenue des Champs-Élysées, où elles ont été stoppées par les forces de l’ordre au niveau du Rond-Point. Les manifestants, dont certains s’étaient agenouillés devant les policiers en criant « Démocratie ! » ou en chantant La Marseillaise dans un air rendu irrespirable par les gaz, ont été pris en tenaille par des gendarmes mobiles et des CRS. Les forces de l’ordre les ont poussés sans ménagement, usant parfois de leurs matraques, dans une grande cohue. Peu après 21 heures, l’avenue était totalement évacuée, les derniers récalcitrants ayant été raccompagnés jusqu’au métro par les forces de l’ordre. À la suite de ces débordements, le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a estimé dimanche 24 mars que la « Manif pour tous » contre le mariage des homosexuels avait « incontestablement » échappé à ses organisateurs. « La manif leur a parfois échappé, ils ont été débordés par des groupes extrémistes », a-t-il déclaré.