A woman demonstrator offers a rose to a French police officer during a demonstration in Paris on February 9, 2019 as the « Yellow Vests » (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The Yellow Vests movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 10 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre les « gilets jaunes » et les policiers, l’ambiance n’est pas toujours tendue. En témoigne cette photo prise le 9 février 2019 sur les Champs-Élysées, à Paris, lors de la 13e séquence de manifestations des gilets jaunes. Une femme offre une rose rouge à un policier qui lui barre le chemin, et qui conserve la fleur. Une ambiance bon enfant qui tranche avec les scènes de tension vues ou racontées ces derniers jours.
A Sentinelle security operation car burns in front of the Eiffel Tower, on the sidelines of a demonstration in Paris on February 9, 2019, as the "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 16 h 54. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 168 mots. Chaque samedi depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, des voitures sont régulièrement incendiées un peu partout en France, et plus particulièrement à Paris. Mais cette fois-ci, c’est un véhicule de l’opération Sentinelle qui a été attaqué. L’opération sentinelle est une opération de l’armée française qui a été déclenchée après les attentats de janvier 2015 sur le territoire français. Elle a notamment pour mission de protéger des monuments ou des lieux sensibles. Les vitres de protection installées autour de la tour Eiffel pour prévenir des risques d’attentats ont également été fortement endommagées par les manifestants. Des projectiles ont été jetés sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes. Plus tôt dans la journée, les Gilets jaunes s’étaient rassemblés devant l’Assemblée nationale. Des incidents ont éclaté avec les CRS à l’arrivée du cortège devant le bâtiment, où un manifestant, âgé d’une trentaine d’années selon les pompiers, a eu une main arrachée.
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Demonstrators walk in the rue de Rivoli during a 'Day of strikes' called by the France's General Confederation of Labour (CGT) French worker's union in the French capital Paris on February 5, 2019.
Prise de vue: Mardi 5 février 2019, à 15 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 245 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ». « À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical. En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics. À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
Pensioners hold a banner during a rally on January 31, 2019, in Paris, as part of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier2019, à 14 h 59. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 155 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 255 mots. Le froid hivernal n’a pas découragé les retraités, bien au contraire. Ce jeudi 31 janvier 2019, nos aînés sont à nouveau descendus dans la rue pour une sixième journée d’action depuis septembre 2017 afin de défendre leur pouvoir d’achat. À l’appel de neuf syndicats et associations, les retraités se sont mobilisé partout en France pour réclamer en outre l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une revalorisation de leurs pensions à la hauteur de l’inflation. À Paris, des milliers de retraités ont manifesté pacifiquement au départ de la place d’Italie et en direction du ministère des Finances à Bercy. Dans le cortège, les représentants syndicaux appelant à la démission du président Macron, et les retraités qui se présentent comme les grands oubliés de la politique des mesures fiscales du gouvernement. Comme la majorité des retraités présents place d’Italie à Paris, Agnès dénonce la politique fiscale du gouvernement, qu’elle qualifie de « cercle infernal » : « On prend à Paul pour donner à Jean. Mais au final, aucun citoyen n’est gagnant », s’exclame-t-elle. Dans le cortège, seuls quelques retraités gilets jaunes. « Cela fait neuf ans que je suis à la retraite, avant je pouvais mettre de côté quelques économies alors que maintenant j’ai même quelques restrictions sur mes dépenses alimentaires », s’inquiète Jacques, ancien salarié dans la restauration. Pour Yves, retraité depuis près de cinq ans, c’est le « droit à la retraite qui est remis en cause lentement, mais sûrement ».
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
A police vehicle sprays water cannon at protesters during an anti-government demonstration in Paris on January 26, 2019 called by the Yellow Vests "Gilets Jaunes" movement. 'Yellow vest' anti-government protesters have taken to the streets in France for the 11th consecutive Saturday on January 26, despite recent divisions in their ranks, and with a displayed tenacity facing an executive which is regaining popularity ten days after the opening of the "great national debate", the French president's bid to prove he will take on board the fierce criticism of "yellow vest" protesters who have upended his reform agenda.
Prise de vue: Samedi 26 janvier 2019, à 16 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Ce samedi 26 janvier 2019, lors de l’acte 11 du mouvement des gilets jaunes, la mobilisation a été en baisse par rapport à la semaine passée. Au total, le ministère de l’Intérieur a recensé 69 000 manifestants partout en France, et 4 000 à Paris. La « Nuit jaune », voulue par Éric Drouet et déclaré en préfecture n’a finalement pas eu lieu. Après plusieurs heurts place de la République, les forces de l’ordre ont évacué les gilets jaunes, malgré l’autorisation de manifester jusqu’à 22 heures. Dans Paris, cinq manifestations différentes ont été déclarées. Autre fait marquant : Jérôme Rodrigues, un proche d’Éric Drouet, a été blessé à l’œil alors qu’il était sur la place de la Bastille. L’IGPN a été saisie pour en déterminer les causes.
Éric Drouet appelle à « un soulèvement sans précédent »
RÉSUMÉ : 217 mots. « La France en colère » déclare « l’état d’urgence du peuple ». Dans un communiqué publié ce samedi 26 janvier 2019 en fin de journée, le groupe créé par Éric Drouet, l’une des figures des gilets jaunes, réagit à la blessure d’une autre figure médiatique du mouvement, Jérôme Rodrigues, touché à l’œil plus tôt dans la journée, au moment même où il était en train de filmer le cortège parisien de « l’acte XI » en direct sur son compte Facebook. « Il ne peut donc pas s’agir d’une erreur », affirme le communiqué. Munition d’un lanceur de balles de défense, éclat de grenade ou autre projectile, l’origine de sa blessure était inconnue en fin de journée, a de son côté indiqué la préfecture de police de Paris. Le communiqué du groupe sous-entend par ailleurs que le ministre de l’Intérieur aurait laissé faire les casseurs pour ternir l’image du mouvement : « Monsieur Castaner, prenez vos responsabilités, nous ne jouons pas. Les Black block étaient présents et avaient annoncé leur présence ce samedi, vous les avez laissé prendre la tête de plusieurs cortèges en attendant naïvement qu’ils passent à l’action. L’inaction des pouvoirs publics est inacceptable ». Le groupe d’Éric Drouet appelle enfin à un regain de mobilisation « par tous les moyens utiles et nécessaire ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
LBD : le ministère n’oblige pas vraiment les policiers à filmer leurs tirs
RÉSUMÉ : 253 mots. Pour calmer l’émoi suscité par les blessures infligées à des manifestants, depuis le début du mouvement des gilets jaunes, par les lanceurs de balles de défense (LBD), le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé mardi 22 janvier 2019, devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, que les forces de l’ordre enregistreraient désormais leurs tirs en vidéo. Et ce, dès « l’acte 11 » de la mobilisation prévu le samedi suivant. Sauf que RTL révèlait mercredi 23 janvier que le télégramme du ministère de l’Intérieur adressé en ce sens aux policiers leur explique que ces enregistrements… n’ont pas de valeur absolument contraignante. « Je mets comme seul réserve un moment de réaction où ils seraient bousculés, à terre, etc., où évidemment je ne leur en voudrais pas d’utiliser une arme de défense pour garantir leur propre défense », a précisé le patron de Beauvau. Seulement, le télégramme envoyé aux pandores, semble aller plus loin que cette objection puisque les consignes du ministère spécifient qu'« en aucun cas, l’absence d’enregistrement ne peut constituer un motif invalidant le recours aux lanceurs de balles de défense ». Le ministre de l’Intérieur a dénombré quatre pertes de vision – 15 selon Libération –, indiquant des tirs à la tête, contraires aux consignes d’emploi des LBD. Le 15 janvier, le directeur général de la police nationale, Eric Morvan, rappelait ainsi à ses troupes que « le tireur ne doit viser exclusivement que le torse ainsi que les membres supérieurs ou inférieurs ».
Source : www.marianne.net, lien à la fin de l'article complet.
Protesters walk in the streets of Versailles, outside Paris, on January 21, 2019, during a rally called by the General Confederation of Labour (Confederation generale du travail - CGT) trade union, near the Palace of Versailles where French President Emmanuel Macron is hosting 150 international business leaders in hopes of producing support for his agenda as yellow vest protesters keep up their demonstrations to his government's economic policies. The CEOs or top executives of Microsoft, Uber, General Electric, Procter & Gamble and Coca-Cola are among those expected at the evening event, where Macron wants to promote tax changes and other measures intended to attract foreign investors.
Prise de vue: Lundi 21 janvier 2019, à 10 h 51 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale:16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/7.1, ISO 200, Compensation: +2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 183 mots. Pas de forum de Davos pour Emmanuel Macron cette année. En revanche, le chef de l"État réunissait 150 patrons à Versailles ce 21 janvier 2019 à partir de 13 h pour le sommet « Choose France », consacré à l’attractivité française. Cette édition diffère quelque peu de celle de l’an dernier, lors de laquelle 140 dirieants de grands groupes internationaux étaient venus dîner dans les salons de Versailles, apportant quelques annonces d’investissements en France. Cette fois, l’objectif était de montrer en exemple des entreprises ayant bénéficié d’investissements étrangers, souligne la présidence. Selon le programme de la journée, les patrons sont arrivés à Versailles à 13 h et les rencontres bilatérales ont eu lieu de 15 h à 18 h, avant un dîner dans l’ancien château royal en présence du président français à partir de 20 h. Dans la lignée du mouvement des Gilets jaunes et du mal-être social qui traverse le territoire français, la Confédération générale du travail d’Ile-de-France a pour sa part lancé un appel à manifester à partir de 10 h, à la gare RER de Versailles Chantier. Source : francais.rt.com, lien à la fin de l'article complet.
Protesters march in the streets of Paris during the 13th "March for Life" (Marche pour la vie) against abortion and medically assisted reproduction on January 20, 2019. The protesters claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Dimanche 20 janvier 2019, 15:05:27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 265 mots. Plusieurs milliers de personnes, 50 000 selon les organisateurs, 7 400 selon la police, dont beaucoup de jeunes, ont défilé à Paris pour la 13e « Marche pour la vie », le dimanche 20 janvier 2019. « Témoigner sans se lasser des valeurs inaliénables de la dignité humaine et de la vie », c’était le but de cette Marche pour la vie qui, avec une organisation rajeunie, est plus que jamais mobilisée en cette période de révision de la loi de bioéthique, de crise sociale et de convergence des détresses , ont précisé les organisateurs dans un communiqué. « Nous sommes cette année la Marche des exclus du grand débat, les sujets bioéthiques et sociétaux ayant été sciemment exclus du grand débat national organisé par le gouvernement ! » martèlent-ils encore dans cette déclaration. Convaincu de réunir « cette année beaucoup de monde », dans le « contexte » du mouvement des Gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu’ « au-delà de la détresse sociale », c’est « aussi une souffrance immatérielle » qui s’exprime. La PMA pour toutes, « c’est l’arbre qui cache la forêt ». Des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision, a abondé Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Lejeune. Il fait ainsi référence au rapport parlementaire sur les questions bioéthiques paru cette semaine et qui a fait polémique. Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Châlons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée « très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie ». Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article complet.
Members of the "Witch Bloc" feminist group demonstrate behind riot police as they came to disturb the pro-life movement 13th "March for Life" (Marche pour la vie) anti-abortion rally in Paris on January 20, 2019. Particpants in the march claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 16:38:09 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1//500 sec, f/8, ISO 16000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. Face à la « marche pour la vie » qui cherche à « susciter une prise de conscience générale sur la question de l’avortement », organisée dimanche 20 janvier 2019 à Paris, les membres du Witch Bloc Paname comptaient bien faire entendre leur voix. Le collectif militant féministe et révolutionnaire – qui reprend la figure de la sorcière et s’inspire dans sa lutte du groupe W.I.T.C.H, né à Portland contre Donald Trump – s’est donc réuni le même jour, à la même heure, place du Trocadéro, lieu d’arrivée de la Marche pour la vie. Le but ? Défendre le droit à l’IVG, alors que la treizième édition de la Marche pour la vie entend cette année défendre particulièrement la clause de conscience des médecins. Cette disposition en vigueur permet aux praticiens de refuser de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en raison de leurs convictions personnelles. Les membres du Witch Bloc – comme on a déjà pu le constater lors des manifestations contre la loi Travail – indiquent par ailleurs se réunir masquées, afin de conserver leur anonymat, et en non-mixité (ici entre femmes et personnes queer). Toutefois, toutes les personnes souhaitant se joindre au rassemblement d’une manière générale sont les bienvenues, précise l’organisation. Source : www.lci.fr, lien à la fin de l'article complet.
People walk in a street of Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 11:55:57. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
« Injustice fiscale, colère sociale » : des milliers de « gilets jaunes » manifestaient samedi 19 janvier 2019 pour leur dixième journée d’action, une mobilisation en léger recul et sans heurts majeurs, quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron d’un « débat national » censé canaliser cette colère inédite. Le ministère de l’intérieur a recensé 84 000 manifestants en France en fin de journée, comme samedi dernier. Des chiffres qui sont habituellement critiqués par les « gilets jaunes », qui communiquent eux-mêmes leur comptage via plusieurs pages Facebook.
People wearing a yellow vest gather in front the Hotel national voice over Invalides in Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 111h55m57. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. A Paris, pour la première fois depuis le début du mouvement social il y a deux mois, la manifestation, qui a rassemblé 7 000 personnes le samedi 19 janvier 2019, s’est déroulée de manière classique, suivant un parcours pré-établi et sans débordements. Le défilé est parti de l’esplanade des Invalides vers midi. La manifestation a rallié la place d’Italie, dans l’est de Paris, avant de revenir aux Invalides. Un aller-retour de 15 kilomètres le long de la rive gauche, qui abrite de nombreux ministères et lieux de pouvoirs, et avait jusqu’ici échappé aux grands rassemblements. La traversée s’est effectuée dans le calme, mais une fois le cortège disloqué, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène et de canon à eau contre les manifestants qui jetaient des bouteilles et pavés, dans le 7e arrondissement parisien. Les organisateurs avaient invité les participants à apporter «&;nbspune fleur ou une bougie en hommage » aux personnes tuées ou blessées « pour [leur] cause » depuis le début du mouvement le 17 novembre. Dix personnes sont mortes, pour la plupart lors d’accidents à des barrages, et plus de 2 000 ont été blessées, du côté des manifestants comme des forces de l’ordre.
French riot police holding a protective shield are covered in green paint during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement in Paris, on January 12, 2019. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests on January 12, 2019 across the country with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 15:08:43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 221 mots. À trois jours du début du grand débat national censé apaiser leur colère, environ 84.000 Gilets jaunes étaient de nouveau dans les rues samedi 12 janvier 2019 partout en France pour l’acte 9 de la contestation, notamment à Paris et à Bourges, mais également en région. Le gouvernement avait durci le ton en annonçant qu’à « l’ultra-violence » il opposerait « l’ultra-fermeté » et le préfet de police de Paris redoutait « plus de radicalité ». Partis du ministère des Finances, à Bercy, en fin de matinée, ils commençaient à se disperser vers 17 h place de l’Étoile, en haut des Champs-Elysées. Sous le mot d’ordre « On va faire les soldes à Paris ! », cette manifestation a été relayée notamment par Eric Drouet, l’une des figures du mouvement. Des heurts ont eu lieu près de l’Arc de Triomphe et sur l’avenue de Friedland. Au total, 156 personnes ont été interpellées à Paris depuis samedi matin, notamment pour port d’arme prohibée ou participation à un groupement en vue de commettre des violences. Un fort dispositif policier était en outre déployé place de l’Etoile avec la présence de quatre véhicules blindés à roues de la gendarmerie. La préfecture de police de Paris précise toutefois qu’aucune dégradation n’a été commise sur le parcours du cortège. Source : www.lejdd.fr, lien à la fin de l’article complet.
A man and a woman wearing the Phrygian cap of the French Republic are kissing in front of anti-riot gendarmes in Paris, on January 12, 2019 during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests across the country on with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 12:41:33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -2/3. Flash: non
Alors que les Gilets jaunes partis de Bercy ralliaient les Champs-Élysées en passant par la rue de Rivoli, un homme et une femme portant un bonnet phygien ont échangé un baiser devant les forces de l’ordre qui barraient la rue aux manifestants, rééditant la célèbre photo de Robert Doisneau prise devant l’Hôtel de Ville de Paris, presque au même endroit, 68 ans auparavant.
Demonstrators face riot police officers during a demonstration called by several trade unions to disrup the inauguration by the French President Emmanuel Macron of a new handball stadium in Creteil, on the outskirts of Paris on January 9, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/9, ISO 3200, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 157 mots. Le chef de l’État a vu sa première sortie de l’année 2019 quelque peu mouvementée. Emmanuel Macron devait inaugurer la Maison du Handball à Créteil, dans le Val-de-Marne ce mercredi 9 janvier 2019. Sa visite a été marquée par la présence de manifestants hostiles à sa venue, entraînant des heurts avec les forces de l’ordre. Un vaste périmètre de sécurité avait été mis en place autour de la Maison du handball, et la centaine de manifestants était cantonnée à environ 900 mètres. « Police nationale, milice du capital » ou « Macron t’es foutu, les travailleurs sont dans la rue », ont scandé les manifestants. Cette visite intervient à trois jours de l' « acte IX » des gilets jaunes et alors que le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé lundi une nouvelle loi « anticasseurs » avec un fichier s’inspirant des lois anti-hooligans et un durcissement des sanctions contre les casseurs et les manifestations non déclarées ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Economy Minister Bruno Le Maire delivers a speech during a symposium titled "Growth and the greening of the economy" at the the Minister of the Economy, Finances and Industry on January 8, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/4, ISO 800, Compensation: -5/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 183 mots. Après avoir laissé entendre que le gouvernement pourrait maintenir la taxe d’habitation pour les 20 % de ménages les plus riches, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a finalement pris ses distances, ce mardi 8 janvier 2018, alors qu’il ouvrait à Bercy un colloque sur le thème « Croissance et verdissement de l’Économie ». Après les nombreuses critiques du mouvement des « gilets jaunes » contre la politique fiscale du gouvernement, qu’ils jugent inégalitaire, le sujet de la taxe d’habitation est revenu dans le débat fiscal. « Il est essentiel que cette suppression soit aboutie mais nous pouvons très bien demander aux Français « est-ce que vous estimez que pour les 20 % les plus riches il est légitime ou non de supprimer la taxe d’habitation ? », avait alors affirmé le locataire de Bercy. « Si nous répondons non à chaque demande des Français, que nous ne sommes pas capables d’écouter la demande de justice, nous ne réussirons pas le grand débat, qui doit s’ouvrir dans les prochaines semaines », avait-il ajouté.
Maxime Nicolle (C), one of the eight representatives of the yellow vest (Gilet jaune) protestor movement, reads a letter to the President Macron during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" in front of the Town Hall of Paris on January 5, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/7.1, ISO 2000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 125 mots. « Comprenez-vous que vous appelez à une véritable lutte des classes néfaste à l’unité et à la cohésion de la France ?! », s’est insurgé le 5 janvier Maxime Nicolle en s’adressant à Emmanuel Macron, sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris, pour l’acte 8 de la mobilisation des Gilets jaunes. « Les propos que vous tenez à l’ensemble du peuple de France sont de véritables appels à la révolte citoyenne voire à la guerre civile pour ceux qui n’ont plus rien », avertit-il par ailleurs, faisant certainement référence aux allocutions du président des 10 et 31 décembre. Peu avant, un autre Gilet jaune s’était emparé du mégaphone avant d’affirmer que le président était « bien en panique ».
(Source : francais.rt.com, lien dans l'article complet)
Demonstrators wearing a yellow vest walk by a burning trash container during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" on January 5, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 135 mots. L’acte 8 des gilets jaunes marque une hausse de la mobilisation. 50 000 manifestants ont été recensés à travers le pays, contre 32 000 la semaine dernière au pic de la mobilisation. Après une matinée plutôt pacifiste, des heurts ont éclaté un peu partout en France et notamment à Paris, où la préfecture de police a recensé 3 500 gilets jaunes. Des incidents ont ensuite éclaté sur une passerelle reliant les deux rives de la Seine au niveau du Jardin des Tuileries. Des scooters et une voiture ont aussi été incendiés sur le boulevard Saint-Germain où des barricades de fortune ont été érigées. Autre évènement marquant du jour : Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement a dû être évacué de son bureau après l’intrusion de plusieurs individus au sein de ses locaux. (Source : linternaute.com, lien dans l'article complet)
A man wearing a yellow vest speaks to the press during a gathering of the "Yellow Vests" (Gilets jaunes) place de la Republique, in Paris, on January 3, 2019, in tribute to the dead since the beginning of the yellow vest movement and in support of Eric Drouet, a leader of this movement who was arrested in the evening of January 2, 2019 in Paris, for taking part in a non-declared gathering.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/1.8, ISO 12800, Compensation: -1. Flash: non
L’interpellation d’Éric Drouet mercredi 2 janvier a provoqué un tollé chez les gilets jaunes, ainsi que dans les rangs du Rassemblement National et de la France Insoumise. Ce jeudi 3 janvier 2019, des rassemblements ont donc été organisés un peu partout en France. Dans la journée, plusieurs appels à se réunir « en soutien à Éric Drouet » avaient émergé sur les pages Facebook des gilets jaunes. Celui qui s’est imposé comme l’une des figures emblématiques du mouvement est sorti de garde à vue en fin d’après-midi, dénonçant une interpellation « politique ». Mais les manifestants se sont malgré tout retrouvés sur la place de la République à Paris. Comme sur la place de la Concorde la veille, des bougies ont été allumées en hommage aux personnes blessées et décédées depuis le début du mouvement de contestation. Certains dénonçaient également l’interpellation jugée infondée d’Éric Drouet, ainsi que le rôle de la police. (Source : www.huffingtonpost.fr)
Protestors wearing "Yellow vests" (gilets jaunes) gather in front of the Arc de Triomphe in the Champs-Elysees as the French capital Paris gears up for New Year's Celebrations on December 31, 2018. A fireworks display and sound and light show under the theme "fraternity" is set to go ahead on the Champs-Elysees despite plans for further "yellow vest" anti-government protests at the famed avenue.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 8000, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 226 mots On attendait une vague jaune fluo sur les Champs-Elysées ce lundi 31 décembre 2018 au soir. Les Gilets jaunes étaient finalement moins que prévu. Ils étaient une centaine sur l’avenue parisienne. Les touristes, eux, étaient nombreux à profiter du spectacle projeté sur la façade de l’arc de Triomphe. Ils se sont mêlés aux Gilets jaunes qui commençaient à réveillonner, comme annoncé, de manière « festive » et « pacifique ». Les manifestants ont-ils été échaudés par le dispositif policier ? Peut-être. Il faut dire que la préfecture de police de Paris avait vu les choses en grand. (…) Entre 8000 et 10000 policiers ont donc été déployés, dont une vingtaine de compagnies de sécurité et de gendarmes sur les seuls Champs-Elysées. Interrogé plus tôt dans la journée (…), Christophe Castaner avait estimé que l’on pouvait s’attendre « au désordre ». Il n’en était rien en début de soirée. Plusieurs dizaines de Gilets jaunes se massaient en haut de l’avenue des Champs-Elysées, quasiment au niveau de la place de l’Étoile. Mais les policiers les repoussaient en avançant en ligne, pour les cantonner sur l’avenue. Les forces de l’ordre récoltaient en retour des sifflets nourris et une Marseillaise entonnée. Tout cela sous les regards ébahis des touristes qui, venus fêter la Saint-Sylvestre à Paris, s’arrêtaient pour les filmer avec leurs smartphones. (source : www.leparisien.fr)