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Données techniques de cette photo. Prise de vue: Vendredi 1er décembre 2017, à 11 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
Les différents syndicats de l’enseigne de bricolage Castorama organisaient ce vendredi 1er décembre 2017 dans toute la France des manifestations pour protester contre la délocalisation de leurs activités comptables et administratives en Pologne, soit la suppression de 500 emplois. Les employés grévistes des magasins
du sud de l’agglomération parisienne se sont ainsi réunis devant le magasin de Créteil. Selon les syndicats, le groupe Kingfisher, propriétaire de Castorama ainsi que de Brico Dépôts, prévoit de confier la comptabilité et la gestion administrative à un prestataire en Pologne, pour rester compétitif…
Members of unions gather in front of a French tools and supplies retailer Castorama store in Creteil, East of Paris, on December 1, 2017, to protest against the announce of around 500 job cuts in accounting and administrative services in Castorama and Bricot Depot.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 20 novembre 2017, à 14 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X, 1//250 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
L’Assemblée générale du travail social en Île-de-France a lancé un appel à la grève et à la mobilisation dans la rue pour le 20 novembre 2017 afin de « refuser la marchandisation du secteur et le développement des politiques d’austérité ». Ce jour-là, les travailleurs des secteurs hospitaliers et médico-sociaux du service social étaient en grève et manifestaient à Paris, devant le
musée d’Orsay, pour dénoncer les réformes en cours dont ils redoutent les conséquences sur leurs métiers mais également « la casse des acquis sociaux facilitée par la loi Travail, la généralisation des appels à projets et le démantèlement des conventions collectives », ou encore les renforcements des mesures d’enfermement des mineurs, dont ils estiment…
Protesters hold banner reading ‘Who has the right to make it to children who really believe what say the politicians ?’ during a march in Paris, in front of the Orsay Museum, on November 20, 2017 to protect the rights of social workers of the specialized prevention, the integration, the asylum, the hospital, the medical and social, the handicap.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 15 h 29. Appareil: Canon EOS-1D Mark III, 1/800 s, f/8, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x, 240 mm.
EXTRAIT Des soignants aux enseignants, des ministères aux collectivités, les 5,4 millions d’agents du service public se mobilisaient en faisant grève et manifestant ce mardi 10 octobre 2017, pour protester contre des mesures « inacceptables » du gouvernement, à l’appel de tous leurs syndicats, une première depuis dix ans. Selon les premières estimations de la CGT, le mouve-
ment a rassemblé 400.000 manifestants dans toute la France, dont 45.000 à Paris. D’après la préfecture de police, il y en aurait eu 26.000 à Paris.
Suppressions de 120.000 postes d’ici à la fin du quinquennat, gel des rémunérations, rétablissement du jour de carence, remise en cause de leur statut…
Thousands of public sector workers march through Paris on October 10, 2017, as part of a nationwide strike organized by the country's nine major labor unions against the flagship labor reforms of French President Emmanuel Macron which plans to freeze pay, tighten rules for sick days and to cut 120,000 jobs in the public sector by 2022.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 14 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 22 mm.
EXTRAIT C’est à un appel commun à toutes les centrales syndicales qu’ont défilé, ce mercredi, les fonctionnaires. Une première depuis dix ans, qui n’a pas manqué d’inspirer quelques instants l’opposition de gauche à Emmanuel Macron. France insoumise, Parti communiste, Mouvement du 1er juillet, et même – fur-
tivement – le Parti socialiste étaient dans la rue. Chacun sur leur trottoir, ils ont préféré ne pas traverser la chaussée pour se saluer. Ambiguë sur son soutien aux dernières manifestations contre les ordonnances à l’appel de la CGT, le PS avait, cette fois-ci, clairement relayé l’appel à se mobiliser…
La France Insoumise (LFI) leftist party's members of Parliament Eric Coquerel (R) meets former French presidential election candidate for the far-left New Anticapitalist Party (NPA) Philippe Poutou (L) during a demonstration in Paris, France, on October 10
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 9 octobre 2017, à 14 h 29. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 320, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Les syndicats de policiers avaient de nouveau rendez-vous avec leur ministre, Gérard Collomb, le lundi 9 octobre 2017, place Beauvau, à Paris. Il s’agissait de tenter de sortir du conflit qui oppose les CRS au ministre de l’Intérieur. Les policiers des Compagnies républicaines de sécurité sont en effet colère depuis
plusieurs semaines contre le projet du gouvernement de fiscaliser leurs indemnités de déplacement, baptisée Indemnité journalière d’absence temporaire (IJAT). À défaut de faire grève, ce qui leur est interdit, plus de 2 000 CRS se sont mis simultanément en arrêt maladie le 21 septembre dernier en signe de protestation…
Secretary General of police's union Alliance Jean-Claude Delage (C), Johann Cavallero (R) and Frédéric Lagache (L) arrive to meet with the Minister of Interior Gérard Collomb on October 09, 2017, place Beauvau, in Paris. French police protests over their working conditions and the loss of bonuses for anti-riot police CRS (Compagnies Républicaines de Sécurité) Officers say they’re frustrated with the increasing number of violent protests they have to cope with.
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées le 8 avril 2017 place Joffre, à Paris, avant d’entamer une marche en direction de la Place Vauban devant les Invalides, en soutien au mouvement social en Guyane. Un territoire d’outre-mer où la colère ne cesse de monter.
Après plusieurs semaines de grève et de blocage, le mouvement social d’une ampleur inégalée est amené à se poursuivre après le
refus, le 3 avril 2017, du gouvernement de débloquer la somme de 2,5 milliards d’euros.
Une manifestation importante a eu lieu sans issue favorable et des manifestants sont allés occuper le centre spatial pour affirmer leur « détermination » à obtenir les moyens financiers réclamés à l’État pour rattraper des décennies de sous-investissements, selon leur porte-parole.
Protesters rally in Paris on April 8, 2017 to demonstrate their solidarity toward French Guiana.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (20 photos).
A Fnac employee stands outside a Fnac store on the Champs Elysees in Paris on January 21, 2017 as employees went on strike to demand better wages.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.
© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 7 novembre 2013, à 15 h 18. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM ; focale: 168 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250e de s, ƒ/6.3, ISO 640. Flash: non
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Plusieurs dizaines de salariés du Virgin Megastore de l’avenue des Champs-Élysées à Paris étaient en grève le 29 décembre 2012 et se sont rassemblés à l’entrée du magasin pour dénoncer le projet de la direction de résilier le bail, synonyme selon eux de fermeture de « la vitrine » de l’enseigne.
Le 19 décembre 2012, la direction de Virgin Megastore avait présenté aux élus du comité d’entreprise un projet de résiliation du bail du magasin des Champs-Elysées qui représente 20% du chiffre d’affaires de l’entreprise, pour un montant de 20 millions d’euros, selon des élus qui avaient alors refusé de se prononcer sur cette question, bloquant momentanément le processus.
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