People gather near the Eiffel Tower at the Place du Trocadero in Paris, on March 4, 2024, during the broadcasting of the convocation of both houses of parliament to anchor the right of abortion in the country's constitution. If congress approves the move, France will become the only country in the world to clearly protect the right to terminate a pregnancy in its basic law.
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À Paris, face à la Dame de fer, place du Trocadéro, plusieurs centaines de manifestants sont venus assister ce lundi 4 mars 2024 à un événement d’ores et déjà historique : l’inscription dans la Constitution française du droit à l’interruption volontaire de grossesse. Des jeunes, des anciens, des parents venus avec leurs enfants se sont réunis pour célébrer cette nouvelle page dans l’histoire de la France face à un écran géant installé par la mairie sur l’initiative de la Fondation des femmes et qui retransmettait en direct le vote du Congrès. Réunis au château de Versailles, les parlementaires ont adopté la révision constitutionnelle prévoyant ainsi que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».
Face au recul de ce droit fondamental à avorter dans certains pays de l’Est et aux États-Unis, la France est le premier pays à inscrire l’IVG dans son texte fondateur.
Demonstrators pro-aborption attend a silent gathering at Place de la Sorbonne organised by 'Abortion in Europe' movement, within a vote of a bill to enshrine the guaranteed freedom of abortion for women in the constitution, in Paris on February 28, 2024. France's lower-house National Assembly overwhelmingly voted in favour of the measure as a "guaranteed freedom" in late January, with almost all members of Macron's centrist minority coalition as well as left-wing opposition parties approving.
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À l’appel du collectif Avortement en Europe, Les femmes décident, plusieurs dizaines de militants se sont rassemblés place de la Sorbonne ce mercredi 28 février 2024, alors que le Sénat s’apprêtait à voter l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Pendant ce temps, d’autres manifestant du mouvement Marche pour la vie se sont rassemblés à proximité de la station de RER Port Royal pour marque leur opposition à cette modification de la Constitution. Après d’âpres débats, le Sénat a finalement largement voté le texte du gouvernement qui inscrit l’IVG dans la Constitution. Un pas gigantesque étant donné la majorité de LR et centristes qui siègent à la chambre haute. Prochain et dernier rendez-vous législatif: le Congrès du Parlement.
Protesters march in the streets of Paris during the 13th "March for Life" (Marche pour la vie) against abortion and medically assisted reproduction on January 20, 2019. The protesters claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Dimanche 20 janvier 2019, 15:05:27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 265 mots. Plusieurs milliers de personnes, 50 000 selon les organisateurs, 7 400 selon la police, dont beaucoup de jeunes, ont défilé à Paris pour la 13e « Marche pour la vie », le dimanche 20 janvier 2019. « Témoigner sans se lasser des valeurs inaliénables de la dignité humaine et de la vie », c’était le but de cette Marche pour la vie qui, avec une organisation rajeunie, est plus que jamais mobilisée en cette période de révision de la loi de bioéthique, de crise sociale et de convergence des détresses , ont précisé les organisateurs dans un communiqué. « Nous sommes cette année la Marche des exclus du grand débat, les sujets bioéthiques et sociétaux ayant été sciemment exclus du grand débat national organisé par le gouvernement ! » martèlent-ils encore dans cette déclaration. Convaincu de réunir « cette année beaucoup de monde », dans le « contexte » du mouvement des Gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu’ « au-delà de la détresse sociale », c’est « aussi une souffrance immatérielle » qui s’exprime. La PMA pour toutes, « c’est l’arbre qui cache la forêt ». Des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision, a abondé Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Lejeune. Il fait ainsi référence au rapport parlementaire sur les questions bioéthiques paru cette semaine et qui a fait polémique. Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Châlons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée « très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie ». Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article complet.
Members of the "Witch Bloc" feminist group demonstrate behind riot police as they came to disturb the pro-life movement 13th "March for Life" (Marche pour la vie) anti-abortion rally in Paris on January 20, 2019. Particpants in the march claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 16:38:09 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1//500 sec, f/8, ISO 16000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. Face à la « marche pour la vie » qui cherche à « susciter une prise de conscience générale sur la question de l’avortement », organisée dimanche 20 janvier 2019 à Paris, les membres du Witch Bloc Paname comptaient bien faire entendre leur voix. Le collectif militant féministe et révolutionnaire – qui reprend la figure de la sorcière et s’inspire dans sa lutte du groupe W.I.T.C.H, né à Portland contre Donald Trump – s’est donc réuni le même jour, à la même heure, place du Trocadéro, lieu d’arrivée de la Marche pour la vie. Le but ? Défendre le droit à l’IVG, alors que la treizième édition de la Marche pour la vie entend cette année défendre particulièrement la clause de conscience des médecins. Cette disposition en vigueur permet aux praticiens de refuser de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en raison de leurs convictions personnelles. Les membres du Witch Bloc – comme on a déjà pu le constater lors des manifestations contre la loi Travail – indiquent par ailleurs se réunir masquées, afin de conserver leur anonymat, et en non-mixité (ici entre femmes et personnes queer). Toutefois, toutes les personnes souhaitant se joindre au rassemblement d’une manière générale sont les bienvenues, précise l’organisation. Source : www.lci.fr, lien à la fin de l'article complet.
Pro-life demonstrators take part in a ‘March for life’ demonstration in Paris on January 21, 2018 against abortion, assisted reproduction and euthanasia. As the government prepares a consultation on the 2011 bioethics law that could see assisted reproduction permitted for lesbian couples and single women, the protesters called for it to be made stricter. Prise de vue: Dimanche 21 janvier 2018, à 14 h 35. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/9, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 100 mots. Ce dimanche 21 janvier 2018, trois jours après l’ouverture des États généraux de la bioéthique, les participants de la Marche pour la vie ont réaffirmé leur opposition à la PMA et à toute forme d’euthanasie, dénonçant la « banalisation » de l’IVG et prônant « une politique de santé digne de ce nom visant à diminuer les 220.000 avortements annuels » en France. Initiée par un collectif d’associations « En marche pour la vie », qui réunit notamment « Choisir la vie », la fondation Jérôme Lejeune, « Renaissance catholique » ou les « Survivants », la « Marche pour la vie » dénonce la « banalisation » de l’IVG.
Des milliers de manifestants munis de ballons noirs et d’affichettes « Je suis Vincent Lambert » ont défilé dimanche, à Paris, pour dénoncer, lors d’une « Marche pour la vie », « la menace de l’euthanasie à l’Assemblée nationale ». Le défilé entre les places Denfert-Rochereau et Vauban a réuni entre 11 000 selon la police et 45 000 personnes d’après les organisateurs, venues de toute la France. Le mouvement, qui dit avoir reçu le soutien du pape François, a réuni l’an dernier à Paris plusieurs dizaines de milliers de personnes contre l’interruption volontaire de grossesse.
Afin de défendre le droit « fondamental » à l’avortement en Espagne alors que le gouvernement conservateur a approuvé un projet de loi restreignant très fortement l’IVG, plusieurs milliers de femmes et d’hommes ont manifesté à Paris et dans plusieurs villes de France, le samedi 1er février 2014, en soutien au défilé organisé à Madrid. A cette occasion, les Femen, dont la militante Inna Schevchenko, sont venues montrer leur solidarité avec les femmes espagnoles.
Afin de défendre le droit « fondamental » à l’avortement en Espagne alors que le gouvernement conservateur a approuvé un projet de loi restreignant très fortement l’IVG, plusieurs milliers de femmes et d’hommes ont manifesté à Paris et dans plusieurs villes de France, le samedi 1er février 2014, en soutien au défilé organisé à Madrid. La candidate PS à la mairie de Paris, Anne Hidalgo, accompagnée de Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France, était venue montrer sa solidarité avec les femmes espagnoles.
Afin de défendre le droit « fondamental » à l’avortement en Espagne alors que le gouvernement conservateur a approuvé un projet de loi restreignant très fortement l’IVG, plusieurs milliers de femmes et d’hommes ont manifesté à Paris et dans plusieurs villes de France, le samedi 1er février 2014, en soutien au défilé organisé à Madrid. Les participants étaient 40.000 en France, dont 30.000 à Paris, selon le Planning Familial, une des associations organisatrices. A Paris, ils ont défilé de la Place Joffre dans le VIe vers l’ambassade d’Espagne, de l’autre côté de la Seine, en scandant « avorter, c’est mon choix, avorter, c’est mon droit ». Le gouvernement conservateur espagnol de Mariano Rajoy a approuvé un projet de loi qui supprime l’avortement en Espagne, sauf en cas de danger prouvé pour la vie ou la santé physique ou psychologique de la femme, ou après un viol ayant fait l’objet d’une plainte préalable.
Prise de vue: Dim 19 janvier 2014, à 14 h 29. App.: Canon EOS-1D X, 1/400 sec, f/3.5, ISO 100, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/2.8L II USM, 16 mm.
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Des milliers d’opposants au droit à l’avortement, dopés par l’exemple espagnol, défilaient ce dimanche 19 janvier 2014 à Paris, à l’appel d’organisations catholiques. La plupart portaient un foulard rouge autour du cou pour rappeler les couleurs de l’Espagne, où l’avortement redevient un délit passible de la prison, sauf en cas de « danger psychique et physique » pour la mère ou de viol. A la veille de l’examen du projet de loi pour l’égalité hommes-femmes, où figurent plusieurs dispositions sur l’IVG, les manifestants ont ainsi marché de la Place Denfert-Rochereau jusqu’aux Invalides pour dénoncer une «banalisation totale» de l’interruption volontaire de grossesse.