Students opposed to the implementation of the baccalaureate reform (E3C) organize a blockade at the Lycee Jean Macé in front of their establishment, located in Vitry-sur-Seine, in the southern suburbs of Paris, on 6 February 6, 2020. The demonstration took place in a ninth inter-professional day of strikes and demonstrations since early December 2019 against the French government's pensions overhaul.
Prise de vue: Jeudi 6 février 2020, à 8 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM; focale: 17 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 232 mots. Alors que les députés ont commencé à examiner le texte sur la réforme des retraites en commission à l’Assemblée nationale, quelques centaines de milliers de personnes ont battu le pavé partout en France, jeudi 6 février 2020, pour la neuvième journée interprofessionnelle de manifestations contre la réforme des retraites, à l’appel de la CGT, FO, Solidaires, de la FSU et d’organisation de jeunesse. Pour protester contre la tenue des épreuves continues du baccalauréat, des dizaines de lycéens bloquaient également, dès l’aube, l’entrée de plusieurs lycées de la région parisienne, accompagnés d’enseignants et de parents d’élèves. La suite du mouvement doit être décidée lors d’une réunion au siège de la CGT en fin de journée. « Le 17 février, premier jour de passage du texte dans l’hémicycle, est une bonne date pour un nouvel appel », a suggéré Eric Beynel, porte-parole chez Solidaires. Le syndicat Unsa-RATP, premier syndicat de la régie des transports parisiens, a lui appelé à un « lundi noir » dans les transports ce 17 février. Interrogé jeudi matin sur CNews, le secrétaire général de FO, Yves Veyrier, a de nouveau dénoncé la réforme comme « une erreur historique ». Quant à la poursuite du mouvement, « évidemment c’est compliqué, le mouvement a été très long, le gouvernement est obstiné », mais « nous allons essayer de trouver des moyens » pour maintenir la mobilisation, a-t-il lancé.
Youth take part in a demonstration against climate change on March 15, 2019 near the Pantheon in Paris. The worldwide youth protests were inspired by a Swedish teen activist who camped out in front of parliament in Stockholm last year to demand action from world leaders on global warming.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 13 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 146 mots. Quelque 29.000 personnes, selon la préfecture de police, 40.000 selon le collectif Youth for Climate, organisateur, ont participé dans le calme vendredi à Paris à la marche des jeunes pour le climat. La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique. (Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
High school students demonstrate on their knees on December 11, 2018 in Paris, France, to protest against the different education reforms including the overhauls and stricter university entrance requirements. Images of dozens of high-school pupils kneeling with their hands behind their heads during mass round-ups sparked an outcry on December 7, 2018. Protests at some 280 schools have added to a sense of general revolt in France.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/9, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
À Paris, une manifestation de lycéens et d’étudiants s’est formée le 11 décembre 2018 dans le Quartier Latin pour protester notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU). À coups de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue », le cortège s’est dirigé vers sa destination : le Ministère de l’Éducation Nationale. Sur la place Saint-Michel et à plusieurs autres reprises, les jeunes se sont tous agenouillés en solidarité avec les lycéens de Mantes-la-Jolie, dont les images à genoux, les mains liées ou derrière la tête, et parfois contre un mur. ont beaucoup circulé depuis leur interpellation. Après la vidéo polémique, deux tiers des jeunes interpellés ont écopé d’un rappel à la loi. Depuis, ces images sont devenues un symbole et beaucoup s’agenouillent lors des manifestations, pour marquer leur solidarité avec ces lycéens.
Blocage des lycées à Paris : un millier de manifestants dans la capitale
Lycéens et étudiants étaient dans la rue ce 11 décembre 2018 pour un « mardi noir ». Quelque 170 établissements étaient perturbés dans la matinée selon l’Éducation nationale, et des rassemblements forts de centaines de jeunes étaient prévus dans plusieurs villes de France. Ce mouvement, qui proteste notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU), est né la semaine dernière dans le sillage de la colère protéiforme des « gilets jaunes ». La veille, 450 établissements avaient été touchés, soit 10% des lycées en France, avec des blocages, barrages filtrants ou rassemblements devant leurs portes, selon les chiffres du ministère de l’Éducation. Cinq sites universitaires sont toujours fermés, avec un grief supplémentaire: la hausse des frais de scolarité pour les étudiants étrangers. Source.
Riot police face high school students demonstrating in Place de la République, in Paris, on December 7, 2018, against educational reforms including university selection, pathways and the increase in registration fees at the request of High school union (Union nationale Lycéenne - UNL).
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Une semaine après son lancement, le mouvement lycéen est désormais ancré dans une vive et profonde contestation comme le prouvent les nouveaux blocages enregistrés ce vendredi 7 décembre 2018 matin à travers toute la France. Ces rassemblements visent à protester contre des réformes en cours dans l’Éducation nationale et parfois s’inscrivent en soutien aux Gilets jaunes. À Paris, des centaines de lycéens ont défilé dans les rues de la capitale et ont convergé vers la place de la République. Les syndicats lycéens avaient appelé jeudi à maintenir la pression et intensifier le mouvement par une « mobilisation générale » ce vendredi. Environ 280 lycées et collèges en France avaient été perturbés jeudi, dont 45 bloqués, par des élèves et plusieurs incidents ont été recensés, conduisant à plus de 700 interpellations au total.
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The face of a demonstrator is injured during a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/5.6, ISO 800. Flash: non
Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
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French union Force Ouvriere (FO) Confederal Secretary Pascal Pavageau (C) takes part in a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -4/3. Flash: non
Lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, pour la première fois depuis la rentrée, afin de protester contre la « destruction du modèle social » du gouvernement et avec l’espoir d’organiser d’autres mobilisations par la suite. Pascal Pavageau, le secrétaire général de Force ouvrière, qui manifestait à Paris, a expliqué qu’il serait dans la rue « pas contre Emmanuel Macron » mais contre « la vision d’individualisation, de casse de notre modèle social, portée par le chef de l’Etat et son gouvernement ». « Il ne faut jamais se réjouir du fait qu’une manifestation soit un pseudo-échec quantitatif », a ajouté M. Pavageau, comme s’il anticipait une faible mobilisation.
Students and high school students march along the Seine river behind a banner reading « The selection, it’s pixie dust » as they take part in a rally to protest against a proposed reform of the Baccalaureat (France's high school diploma) and against Parcoursup in Paris, on March 15, 2018. Parcoursup is an online system for high school graduates to guide them towards trainings which are available in the higher education system.
La manifestation contre Parcoursup et la réforme du bac lancée à l’appel des syndicats lycéens, a réuni quelques centaines de personnes, ce jeudi 15 mars 2018 en fin de matinée, place Saint-Michel, dans le Ve arrondissement, à Paris. Sur les coups de onze heures, au pied de la fontaine, une jeune fille tentait tant bien que mal de scotcher une pancarte fabriquée à la va-vite sur un carton : « L’éducation, pas la sélection ». Pendant ce temps, un autre s’affairait à graffer « loi Vidal, sélection déguisée » sur une barrière de travaux. Et un petit groupe donnait de la voix : « La fac, la fac, elle est ouverte. On s’est battu pour qu’elle le soit, on se battra pour qu’elle le reste ».
Protesters shout slogans and hold banners as they take part in a demonstration against a French government's proposed reform of university applications and a project to reform the French baccalaureate high school exit exam on February 6, 2018, in Paris.
Des syndicats lycéens, étudiants et enseignants ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation, mardi 6 février 2018, pour demander le retrait de la réforme de l’accès à l’université et du projet d’un nouveau baccalauréat. L’objectif était d’« amplifier » la mobilisation commune lancée jeudi 1er février, avec un faible succès. Vingt mille manifestants y avaient pris part, selon les organisateurs, dont dix mille à Paris. Mais la préfecture n’avait dénombré que deux mille quatre cents personnes défilant dans la capitale.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 16 novembre 2017, à 16 h 59. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 12800, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 110 mm.
EXTRAIT Jeunes, déçus de la politique, activistes, nostalgiques : depuis le printemps 2016, ils se retrouvent dans le « cortège de tête » pour défiler hors du cadre des syndicats qu’ils jugent dépassés, mais ne sont aujourd’hui pas épargnés par les interrogations face à une mobilisation qui s’essouffle. Apparu au printemps 2016 à l’initiative des lycéens qui, après
leurs blocus matinaux, s’emparaient – avec l’accord tacite des syndicats – de la tête des manifestations contre la loi El Khomri, ce « cortège de tête » réunit, à Paris, Rennes, Nantes ou Toulouse, plusieurs milliers de personnes contestant un « système » allant de la loi travail aux violences policières…
Demonstrator of ultra-left writes on a wall 'Macron, lackey of capital' during a demonstration as part of a nationwide protest day against the government's economic and social reforms, on November 16, 2017 in Paris.
Il y a cinq ans, il avait marqué la campagne à la présidentielle par ses discours au grand air. Pour 2017, le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, remet ça. Devant des milliers de personnes réunies place Stalingrad à Paris, le dimanche 5 juin 2017 après-midi, il a appelé à une campagne présidentielle « victorieuse », et non « pas simplement pour témoigner ». « Je vous appelle à une campagne qui n’est pas simplement faite pour témoigner, je vous appelle à une campagne pour conquérir le pouvoir ! » a harangué l’ancien candidat de 2012, qui organisait son premier meeting là même où il avait lancé sa précédente campagne en 2011. « Pour qu’elle soit victorieuse, il faut qu’on s’y implique tous, que chacun d’entre vous, à son poste de travail, dans son rôle dans la société, vous soyez les révolutionnaires pour changer la société de fond en comble », a-t-il poursuivi. Auparavant, un « défilé des insoumis » s’était tenu, réunissant intermittents, taxis, profs, chômeurs, agriculteurs bio, écologistes, cheminots ou encore lycéens.
French politician Jean-Luc Melenchon, leader of Left Party (Parti de Gauche) candidate for the upcoming French presidential election in 2017 during a meeting on June 5, 2016 in Paris, France.
Ouverture: ƒ/8, Canon EOS-1D X, 8 novembre 2014, correction: +1/3EV, flash: non, focale: 33 mm, ISO: 4000, localisation: 48° 51.8912′ 0″ N 2° 22.6539′ 0″ E, 1/160 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Plus d’un millier de personnes ont commencé à défiler le samedi 8 novembre 2014 à Paris, dénonçant les « violences policières » après la mort de Rémi Fraisse sur le site du projet de barrage contesté de Sivens dans le Tarn. Une manifestation parisienne autorisée par la préfecture, à l’appel de plusieurs partis et organisations, dont le Front de Gauche, les Amis de la terre, Ensemble, Europe Écologie Les verts Île De France, Europe Écologie Les Verts (EELV), l’Unef, l’UNL et la Fédération anarchiste. Le cortège, dans lequel se trouvaient de nombreux jeunes, lycéens et étudiants brandissant la photo de Rémi Fraisse, a quitté la place de la Bastille vers 14 h, scandant des slogans très virulents contre les forces de l’ordre présentes en nombre sur les lieux.
Quelques centaines de lycéens ont manifesté samedi 19 octobre 2013 après-midi à Paris pour réclamer le retour en France de Leonarda Dibrani, collégienne expulsée le 9 octobre vers le Kosovo, mais aussi de sa famille. Estimés à 600 selon la Préfecture de Police, les manifestants ont défilé entre Bastille et place de la Nation, après en avoir obtenu l’autorisation. Deux cents d’entre eux ont fini par un rassemblement assis d’une trentaine de minutes à Nation, avant de se disperser, après quelques bousculades avec les forces de l’ordre.