French Culture Minister Franck Riester (C) at the Docks-City of Fashion and Design in Paris on January 08, 2019 during a signing ceremony between French Cuture minister, French Economy Minister Bruno Le Maire and the chief executive officer of the French luxury brand Hermes, Guillaume de Seynes.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 85 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 1000, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 237 mots. Franck Riester, 44 ans, Ministre de la Culture depuis octobre 2018, s’engage en politique dès ses 21 ans, en étant élu au conseil municipal de Coulommiers sous l’étiquette RPR, avant de devenir maire en 2008. Porte-parole du candidat Sarkozy en 2012, le parlementaire s’illustre l’année suivante en étant l’un des deux seuls de son groupe, avec Benoist Apparu, à voter la loi sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Franck Riester soutient Bruno Le Maire lors de la primaire de la droite en 2016, avant de rallier Alain Juppé au second tour. Entre les deux tours de la présidentielle, il se démarque à nouveau de la position du parti, jugeant « irresponsable et dangereux de cautionner le vote blanc » et appelle à voter Macron. « Tout sauf une surprise », tranche Julien Aubert, député LR. « Ça fait bien longtemps qu’il s’est éloigné de la droite et qu’il désire entrer au gouvernement ». Viré des Républicains, le député lance en novembre 2017 son propre parti, Agir, avec une poignée d’anciens LR pour mieux s’opposer à la ligne de Laurent Wauquiez jugée « identitaire, eurosceptique, ultra-conservatrice ». L’ancien maire de Coulommiers ne sera pas perdu au gouvernement. « Il rejoint des personnes qu’il connaît bien, Édouard Philippe, ou Bruno Le Maire avec qui il a fait campagne lors de la primaire », souligne Fabienne Keller, sénatrice Agir du Bas-Rhin. Source : www.20minutes.fr, lien à la fin de l'article complet.
EXTRAIT : 226 mots. La famille et les amis d’abord, les fans ensuite: c’est par un vibrant hommage réunissant tous ses proches au Cirque d’hiver qu’a débuté jeudi 12 avril 2018 le au revoir à Jacques Higelin, avant ses obsèques ouvertes au public au Père-Lachaise dans l’après-midi. Sa famille, ses amis et des personnalités comme la ministre de la Culture Françoise Nyssen, la maire de Paris Anne Hidalgo, les artistes Alain Souchon, Catherine Ringer, CharlElie Couture, Marina Fois, Cali, Jean-Louis Aubert ou Louis Bertignac avaient pris place sur les gradins du Cirque d’hiver, avec un piano installé sur la piste devant un parterre de tournesols. Et une photo en noir et blanc, où l’on voit de dos le poète-rock, disparu vendredi à 77 ans. Dessous, l’inscription avec ses trois prénoms « Jacques, Joseph, Victor dort », référence au nom de la série de concerts qu’il proposa du 14 décembre 1981 au 13 février 1982 au Cirque d’hiver. Car au début des années 80, comme à Mogador ou au Casino de Paris, Higelin a laissé une trace indélébile dans cette salle. Après ce moment de communion intime, le cortège devait se diriger vers le cimetière du Père Lachaise où l’artiste, qui chantait crânement au début de sa carrière « J’suis mort qui, qui dit mieux », doit être inhumé…
C’est un mastodonte en construction porte de Pantin, qui cumule retards et dérapages budgétaires : la Philharmonie de Paris a déjà beaucoup fait parler d’elle, avant même son ouverture en janvier 2015 dans ce quartier populaire au nord-est de la capitale. Le chantier est si avancé que la ministre de la Culture Aurélie Filippetti n’a pu que le confirmer, en dépit de son coût : 386 millions d’euros. Trois fois plus que la première estimation brute, presque deux fois le premier prix global affiché de 200 millions d’euros. « On ne fait pas une Philharmonie à moitié », a affirmé Jean Nouvel, star de l’architecture et concepteur du projet. « C’est le futur Centre Pompidou de la musique », selon l’architecte : un auditorium digne des plus grands orchestres, six salles de répétitions, dix studios, des foyers, un lieu d’exposition, un restaurant panoramique, des ateliers pédagogiques. Le tout estimé au moment du concours d’architecte pour 120 millions d’euros, un montant jugé aujourd’hui irréaliste.