Et un petit groupe donnait de la voix : « La fac, la fac, elle est ouverte. On s’est battu pour qu’elle le soit, on se battra pour qu’elle le reste ».
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Et un petit groupe donnait de la voix : « La fac, la fac, elle est ouverte. On s’est battu pour qu’elle le soit, on se battra pour qu’elle le reste ».
© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 11 janvier 2014, à 14 h 39. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 180 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/5.6, ISO 640. Flash: non
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Partis en début d’après-midi des abords de la gare du Nord, dans le Xe arrondissement, les manifestants ont marché jusqu’à la place de la République.
« Justice et vérité, identifiez les commanditaires », proclamait une banderole de la Fédération des associations kurdes de France, des pancartes évoquant elles un « assassinat politique » et les manifestants brandissant aussi de nombreux portraits des militantes assassinées. Le 9 janvier 2013, Sakine Cansiz, une des fondatrices du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), Fidan Dogan et Leyla Saylemez étaient retrouvées tuées par balles dans les locaux du Centre d’information kurde (CIK), 147 rue Lafayette près de la gare du Nord. Un homme, Ömer Güney, a été arrêté huit jours après l’assassinat des militantes et mis en examen le 21 janvier 2013 pour « assassinats en relation avec une entreprise terroriste ». Plusieurs hypothèses ont été évoquées pour expliquer ce triple homicide : règlement de comptes interne au sein de la mouvance kurde dans un contexte d’ouverture de pourparlers de paix entre le PKK et Ankara, acte du mouvement turc d’extrême droite des « Loups Gris », assassinat politique (thèse privilégiée dans la mouvance kurde), voire crime crapuleux ou différend personnel.
Les associations kurdes souhaitent « un geste fort du président de la République » et qu’il demande « des comptes au gouvernement turc lors de son prochain voyage en Turquie fin janvier ».
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Mercredi 6 novembre 2013, à 15 h 16. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/3200e de s, ƒ/10, ISO 4000. Flash: non
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 28 septembre 2013, à 15 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500e de s, ƒ/5.6, ISO 400. Flash: oui
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À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ».
Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.
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