Une marche des différents collectifs d’expulsés, de réfugiés et de sans-logis a été organisée par l’association Droit au logement (DAL) le dimanche 20 septembre 2015 depuis le métro La Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Avant de rejoindre la place de la République, le cortège est passé devant l’église Saint-Bernard, dont l’accès était barré par les forces de l’ordre.
Paris: Protestors march to denunciate the situation of the refugees, of people who are expelled in France and of the homeless, on September 20, 2015 in Paris. The march was organized by the Right to Housing (DAL).
Plusieurs milliers de personnes se sont réunies samedi 5 septembre 2015 après midi sur la place de la République, à Paris, pour un rendez-vous fixé en soutien aux migrants et réfugiés. Le rassemblement intitulé « Pas en notre nom » avait vocation à « montrer notre solidarité et marquer notre indignation » et « demander l’accueil des réfugiés et le respect de la dignité humaine de tous les migrants », selon l’une des pages Facebook initiant le mouvement. « Ouvrez les frontières ! », « Droit d’asile pour toute personne persécutée » ou encore « L’accueil pour moi c’est oui », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants. D’autres montraient la photo du petit Aylan Kurdi, un Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage de Turquie, une image qui a fait la « une » de nombreux quotidiens à travers le monde, suscitant une grande émotion.
“text-align: justify;">Quatre jours après l’attaque de jihadistes qui a causé la mort de 21 personnes à Tunis, près d’un millier de personnes se sont rassemblées place de la République à Paris pour afficher leur solidarité avec la Tunisie. Brandissant des drapeaux tunisiens, des affiches comme « Je suis Bardo, je suis Tunisie », « La démocratie vivra malgré eux » ou encore « Non au terrorisme, non au fanatisme, non à la barbarie », les manifestants ont respecté une minute de silence pour les victimes et ont chanté à plusieurs reprises l’hymne tunisien. Parmi les orateurs, Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle française de 2012, a assuré « être de tout cœur » avec les Tunisiens. Mercredi, deux jeunes Tunisiens armés de kalachnikov ont ouvert le feu sur des touristes qui s’apprêtaient à visiter le musée du Bardo, le plus prestigieux du pays, avant de les pourchasser à l’intérieur du bâtiment. Vingt-et-une personnes, vingt touristes et un policier tunisien, ont été tuées dans cette attaque, la première à être revendiquée par l’organisation de l’État islamique (EI) sur le sol tunisien et à viser des étrangers depuis la révolution de 2011.
Around 900 people demonstrated on March 21, 2015 at Republique Square in Paris in solidarity with Tunisia after the March 18 attack on the ‘Museum Bardo.
Ouverture: ƒ/7.1, Canon EOS-1D X, 15 février 2015, flash: non, focale: 24 mm, ISO: 320, localisation: 48° 52.1786′ 0″ N 2° 21.1528′ 0″ E, vitesse: 1/250 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Quelques milliers de manifestants, 2.000 selon la police, ont exprimé dimanche 15 février 2015 à Paris leur soutien au « David grec » contre le « Goliath de la finance » à l’appel d’un collectif d’associations, de partis de gauche et d’extrême gauche. Les manifestants ont défilé dans le centre de Paris, de la place de la République à la place du Palais Royal, avec des banderoles et des drapeaux de Syriza, le parti du chef de gouvernement grec Alexis Tsipras, du Parti communiste, très présent dans le cortège, de Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) ou encore d’Europe Ecologie les verts (EELV) et du petit mouvement Nouvelle Donne. Sur le parcours, la foule composée pour une large part d’hommes et de femmes d’âge mûr a scandé en chœur « En Grèce, en France, résistance contre l’austérité et la finance », ou encore « Syriza va gagner contre l’austérité, avec le peuple grec solidarité ». Le gouvernement d’Alexis Tsipras, qui bénéficie d’un fort soutien des Grecs, doit négocier lundi avec les 19 ministres des Finances de l’Eurogroupe un accord sur la dette colossale du pays, en espérant ne pas avoir à annoncer des concessions.
French leftist parties rallied in Paris to support the newly-elected Syriza party in Greece. Pierre Laurent, national secretary of the French Communist party, and Jean-Luc Mélenchon, leader of the French Left Front party joined the rally.
Une marée humaine de près de 1,5 million de personnes et une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement le dimanche 11 janvier 2015 après-midi : une marche immense et inédite d’hommage aux 17 personnes tuées par trois djihadistes français. Dirigeants du monde entier, personnalités, partis, syndicats, groupes religieux juifs, chrétiens, musulmans, associations mais surtout simples citoyens constituent cette foule monstre. La place de la République, lieu de départ de la manifestation, était noire de monde au début de la marche qui a débuté vers 15 h, sous très forte surveillance policière. Des quatre coins de Paris convergeaient des dizaines de milliers de personnes, avec des métros complètement saturés et des bus à l’arrêt.
Des milliers de manifestants s’étaient amassés dans un vaste périmètre autour de la place, avec de nombreuses pancartes « Je suis Charlie ». « Charlie, Liberté ! », scandait la foule, où flottaient de nombreux drapeaux français vendus à la sauvette, mais aussi d’autres étrangers.
Des proches des membres de la rédaction du magazine Charlie Hebdo tués dans un attentat le 7 janvier 2015 ont défilé en tête de la marche républicaine organisée à Paris le 11 janvier 2015, entre les places de la République et de la Nation. Parmi eux se trouvait notamment l’urgentiste et chroniqueur à Charlie Hebdo, Patrick Pelloux.
La France, voire « le monde », selon les mots de François Hollande, s’est donné rendez-vous ce dimanche 11 janvier 2015 pour défiler en faveur de la liberté d’expression, contre le terrorisme et en hommage aux victimes des attentats survenus dans la semaine. Alors que le départ de la manifestation était prévu officiellement à 15 heures, la place de la République à Paris était noire de monde dès avant 13 heures. Certains politiques ont vite affiché leur mobilisation. En tête du cortège, juste après les chefs d’État invités par François Hollande, on pouvait apercevoir entre autre : le président de région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, le président de l’Association des maires de France, François Baroin, Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, le maire PS de Paris, Anne Hidalgo, les patrons des députés PS Bruno Le Roux et des sénateurs PS Didier Guillaume, le sénateur Jean-Vincent Placé, l’ancien président du Parti communiste français, Robert Hue, Laurence Parisot, l’ancienne patronne du Medef.
Données techniques de cette photo : Ouverture: ƒ/8 Appareil photo: Canon EOS 5D Mark III Prise de vue: 22 juin 2014 Flash actif: non Focale: 16 mm ISO: 100 Vitesse d’obturation: 1/400 s
18 photos sur 39 : cliquez sur la première vignette
Un rassemblement contre la guerre en Ukraine et pour une sortie de crise pacifique privilégiant le dialogue plutôt que les armes a été organisé le 22 juin 2014 place de la République, à Paris. Ce rassemblement, auquel étaient venus s’opposer quelques contre-manifestants, anti-Poutine, s’est tenu un jour symbolique : le 22 juin, jour du lancement de l’invasion nazie de l’URSS.
Rassemblement anti-Morsi à Paris Dim 30.06.2013. Des membres de la communauté égyptienne à Paris se sont rassemblés place Saint-Michel le dimanche 30 juin 2013 pour soutenir les Egyptiens...
Egypte : manifestation pro-Morsi à Paris Sam 24.08.2013. Une centaine de personnes ont manifesté sur l’esplanade des Invalides, au centre de Paris, en face du ministère des Affaires étrangères...
Plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées le samedi 26 avril 2014 place de la République, à Paris, pour une marche contre la violence aux Antilles, qui les a conduite jusque sur la place des Antilles, près de la place de la Nation. L’appel a été lancé par l’association pour la lutte contre la violence aux Antilles, créée à l'occasion d’un fait divers, le meurtre d’Allan Bourgeois en septembre 2013 à Fort de France, et du déplacement sur place de Manuel Valls.
Cette année, la « journée internationale de la bataille de polochons », ou « pillow fight day » a été organisée à Paris place de la République, le 5 avril 2014 après-midi. Pour sa 4e édition, elle a réuni plusieurs centaines de participants, petits et grands, dont beaucoup déguisés. Les règles étaient claires : ne pas se blesser, mais s’amuser en retombant en enfance quelques instants. Le mouvement, initié en 2010, s’est propagé sur les cinq continents. Aujourd’hui, plus de 108 villes sont répertoriées sur le site international de l’évènement.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi 29 mars 2014 à Paris pour protester contre la reprise des expulsions et réclamer la baisse des loyers. Les 25 associations et syndicats se sont rassemblés Place de la République et ont ensuite défilé jusqu’au Musée d’Orsay. Aux cris de « Non, non, non aux expulsions, oui, oui, oui au relogement », et de « Locataires en colère contre le logement cher », les manifestants ont réclamé l’arrêt des expulsions et des coupures de courant pour les ménages en difficulté. La trêve hivernale, qui a débuté le 1er novembre 2013, s’étend désormais jusqu’au 31 mars depuis que la loi Alur l’a prolongée de 15 jours.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi 29 mars 2014 à Paris pour protester contre la reprise des expulsions et réclamer la baisse des loyers. Les 25 associations et syndicats se sont rassemblés Place de la République et ont ensuite défilé jusqu’au Musée d’Orsay. Au début du rassemblement, l’humoriste Guy Bedos était également dans le cortège.
Après un an et demi de travaux, la place de la République est enfin accessible aux Parisiens. Si Bertrand Delanoë souhaitait rendre « la place aux piétons », à peine inaugurée, elle a aussi été prise d’assaut par les skateurs. « Très honnêtement, je ne me souviens plus de ce à quoi ressemblait la place avant. Mais là, on a un très bon flat pour s’entraîner, c’est cool ». Ce jargon d’initié coule de la bouche de Cyril, 24 ans, qui profite du beau temps pour faire une pause. « Ce qu’on appelle flat, c’est l’esplanade, une surface plane pour glisser ». Les skateurs sont habitués à composer avec les moyens du bord, mais il semble bien que ce nouveau spot comble leurs attentes. « On peut faire des figures sur les blocs de béton, la mairie n’a pas encore mis de dispositif anti-skate, et c’est assez appréciable », poursuit-il. À l’heure actuelle, les skateurs ne semblent déranger personne, malgré la rapidité hallucinante avec laquelle ils ont investi l’espace urbain. Sur ce point, les concepteurs de la place et la Mairie ont opté pour la bienveillance. Pour Océane Ragoucy, architecte et chef de projet en communication à l’agence TVK, cette évolution est naturelle : « Cette place a été pensée en accord avec la mairie pour développer des nouveaux usages urbains, et indirectement, le skate en fait partie . Nous n’étions donc pas du tout opposés à cette pratique et nous l’avons même plutôt encouragée ». Même son de cloche de la part de la mairie du 10e : « Les skateurs sont nombreux mais n’ont pas d’incidence sur la vie des riverains, pour l’instant », commente un attaché au cabinet du maire. Les dispositifs contre ce sport (sièges et barres métalliques) ne sont pas à l’ordre du jour.
Quelques dizaines de militants de l’association Droit au Logement (DAL) ont réinstallé, le 31 octobre 2013, leur campement sur la place de la République, à Paris (10e et 11e arrondissements) pour dénoncer la situation des mal-logés. Il y a dix jours, ils avaient été évacués de la même place par les forces de l’ordre dans des conditions qu’ils avaient dénoncées. Des négociations avaient démarré avec le ministère du Logement, mais « depuis dix jours, c’est bloqué », a déclaré le porte-parole de l’association, Jean-Baptiste Eyraud. Le DAL a déposé une demande de manifestation allant du 31 octobre au 7 novembre 2013. La préfecture de police a refusé, mais le tribunal administratif, saisi par l’association en référé, a donné raison aux manifestants. « Les policiers sont partis, nous allons passer la nuit là », et « jusqu’à ce que les négociations reprennent », a annoncé Jean-Baptiste Eyraud.
L’édition parisienne 2013 de la marche des zombies ou « zombie walk », s’est tenue le samedi 12 octobre 2013 à partir de la place de la République. Au programme des réjouissances, de la chair fraîche, des cerveaux gluants, et des maquillages à faire pâlir, pour un événement d’outre-tombe qui se voulait avant tout festif. Âmes sensibles s’abstenir.
Plusieurs centaines de personnes ont participé dimanche 9 juin 2013, à Paris à une « marche des femmes contre l’austérité », organisée à l’appel de militantes politiques, syndicales, associatives et féministes. Les participants, hommes et femmes réunis, se sont rassemblés en début d’après-midi devant la Comédie-Française avant de se diriger vers la place de la République, derrière une large banderole mauve où était inscrit « Marche des femmes contre l’austérité, pour imposer une autre politique ». « Hollande, Ayrault, assez d’austérité, assez de précarité. Nous refusons de trinquer, nous refusons de payer », scandaient les manifestants, agitant des drapeaux notamment du PCF, du Parti de Gauche et du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA). « L’austérité pénalise surtout les femmes », pouvait-on lire sur une pancarte. Plusieurs personnalités du Front de Gauche, à l’origine de l’initiative avant qu’elle ne s’élargisse aux mondes syndical, associatif et féministe, étaient présentes : Jean-Luc Mélenchon, Clémentine Autain, Marie-George Buffet.