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Demonstration of sex workers Place de la République, in Paris, on September 22, 2018, in memory of Vanessa Campos, a Peruvian transgender woman and sex worker who was shot dead on the night of 16-17 August, 2018, in the Bois de Boulogne, a city park long known as a pick-up area for prostitutes. Her brutal murder sparked anger among sex workers and LGBT activists. Campaigners demanded greater protection for prostitutes and the repeal of a 2016 law which criminalised the purchase of sex in France, saying it forced prostitutes to work in more isolated locations to avoid police.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 100 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1,600 sec, f/2.8, ISO 320. Flash: non
Un hommage a été rendu le samedi 22 septembre 2018 place de la République, à Paris, à Vanesa Campos, 36 ans, tuée dans la nuit du 16 au 17 août dernier, en plein bois de Boulogne. Cette transgenre de 36 ans a été mortellement blessée au thorax, alors qu’elle tentait d’empêcher une dizaine de personnes de détrousser des victimes. Plus largement, les amis de la victime et associations ont manifesté pour dénoncer la « responsabilité politique » liée à l’adoption de la loi sur la prostitution en avril 2016. Selon eux, ce texte qui pénalise les clients oblige les professionnels du sexe à travailler de manière plus isolée et donc plus dangereuse.
Aux cris de « Prostitution Abolition », plusieurs milliers de personnes, selon les organisateurs, 950 selon la police, ont manifesté jusqu’à l’Assemblée nationale le samedi 23 novembre 2013 à Paris contre les violences faites aux femmes et pour la pénalisation des clients de prostituées, qui sera discutée prochainement par les députés. L’initiative, se tenant à l’avant-veille de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, venait du Collectif national pour les Droits des femmes, qui regroupe des associations féministes, des syndicats et partis politiques. En tête de cortège, plusieurs femmes parlementaires, dont la députée PS Maud Olivier, co-auteur de la proposition de loi « renforçant la lutte contre le système prostitutionnel ». Le texte, qui sera examiné la semaine prochaine et dont elle espère « très fortement un changement de mentalité et une responsabilisation des clients », propose de punir l’achat d’actes sexuels d’une amende de 1.500 euros. Il n’interdit pas la prostitution.
L’appel lancé par le Collectif national pour les droits des femmes a été entendu. Ce dimanche 25 novembre 2012, la manifestation organisée à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes a réuni 5 000 personnes à Paris selon les organisateurs (2 000 selon la police).
Au rythme des slogans féministes, les manifestants ont quitté la place de la Bastille à 14 h 30 en direction du ministère de la Justice, place Vendôme.
La blonde Inna Shevchenko, l’une des féministes ukrainiennes du groupe de protestation ukrainien Femen, a défilé avec plusieurs autres militantes lors de la marche contre les violences faites aux femmes, organisée à Paris le 25 novembre 2012. L’organisation est devenue internationalement connue pour avoir organisé des manifestations, happening ou performances seins nus pour la promotion de la démocratie, de la liberté de la presse, des droits des femmes, de la protection de l’environnement, et contre la corruption, la prostitution, le tourisme sexuel, les agences matrimoniales internationales, le sexisme, la pornographie, la violence conjugale, le racisme et la pauvreté. Le mouvement Femen est parfois considéré comme les prémices de ce qui pourrait être une « quatrième vague féministe », à l’instar du mouvement SlutWalk (ou « marche des salopes ») qui a débuté au Canada en 2010.