Tag: "réforme"
À coups de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue », le cortège s’est dirigé vers sa destination : le Ministère de l’Éducation Nationale. Sur la place Saint-Michel et à plusieurs autres reprises, les jeunes se sont tous agenouillés en solidarité avec les lycéens de Mantes-la-Jolie, dont les images à genoux, les mains liées ou derrière la tête, et parfois contre un mur. ont beaucoup circulé depuis leur interpellation.
Après la vidéo polémique, deux tiers des jeunes interpellés ont écopé d’un rappel à la loi. Depuis, ces images sont devenues un symbole et beaucoup s’agenouillent lors des manifestations, pour marquer leur solidarité avec ces lycéens.
Blocage des lycées à Paris : un millier de manifestants dans la capitale
La veille, 450 établissements avaient été touchés, soit 10% des lycées en France, avec des blocages, barrages filtrants ou rassemblements devant leurs portes, selon les chiffres du ministère de l’Éducation.
Cinq sites universitaires sont toujours fermés, avec un grief supplémentaire: la hausse des frais de scolarité pour les étudiants étrangers. Source.
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Au lendemain du vote écrasant des députés en faveur du projet de réforme de la SNCF que porte le gouvernement, c’est en tout cas l’ambition de la CGT. Premier syndicat représentatif au sein de l’opérateur historique du métro parisien, la CGT RATP a en effet déposé un préavis de grève « du mercredi 18 avril 2018 22 h 00 au samedi 21 avril 7 h 00 », à l’occasion de la journée de mobilisation interprofessionnelle à l’appel de la CGT et de Solidaires. Parallèlement, la centrale dirigée par Philippe Martinez mobilise tous azimuts.
Ainsi, sa fédération Mines-énergies a-t-elle annoncé des coupures d’électricité ciblées dans les jours à venir.
« Des assemblées générales seront organisées pour que les agents puissent décider collectivement des suites à donner au mouvement social », précise le communiqué de la confédération qui avait prévu un rassemblement devant le siège de la RATP, le jeudi 18 avril à 10 h 30 avant de rejoindre la manifestation des cheminots qui partait à 14 h de la gare Montparnasse pour rejoindre la place d’Italie.
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Des étudiants de l’institution condamnent de leur côté le blocage. « On peut évidemment être contre la politique du gouvernement, mais bloquer un bâtiment, c’est prendre les étudiants en otage » regrette Antoine, membre des Républicains à Sciences Po. Lina, représentante des étudiants pour l’association Nova, dénonce la présence « de personnes extérieures à Sciences Po » dans et à l’extérieur du bâtiment. (…)
« Les cours qui étaient prévus dans ce bâtiment ont été reprogrammés ailleurs », indique la direction de l’école. Sciences Po n’étant pas en période d’examens, le blocage de ce mardi ne pose pour l’instant que peu de problèmes logistiques. Des membres de l’administration et de la direction sont à l’intérieur du bâtiment, et dialoguent avec les étudiants présents.
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Sous le soleil, les manifestants ont défilé sans incident du métro Tolbiac à la gare d’Austerlitz. Cheminots, étudiants et postiers ont reçu le renfort de manifestants de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) devant la Pitié-Salpêtrière, les cheminots en tête du défilé brandissant des drapeaux de SUD-Rail et de la CGT-Cheminots. Les postiers protestaient contre le licenciement, validé par la ministre du Travail Muriel Pénicaud, d’un militant SUD-PTT, Gaël Quirante.
Cette manifestation intervient au troisième épisode d’une grève qui perturbait encore fortement le trafic ferroviaire vendredi, et au lendemain des déclarations d’Emmanuel Macron exprimant sa volonté d’ « aller au bout » d’une réforme « indispensable ».
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À Paris, les manifestants, en majorité des cheminots de SUD-Rail et de FO, mais aussi des étudiants, des agents hospitaliers, des enseignants et des salariés d’Air France, sont partis de la gare de l’Est en direction de la gare Saint-Lazare, sur fond de fumigènes, pétards et sirènes.
Le premier jour de mobilisation contre la réforme de la SNCF s’est traduit mardi par la présence d’un TGV sur huit en moyenne, et un train régional sur cinq, beaucoup d’usagers ayant dû se rabattre sur des solutions alternatives comme le bus ou le covoiturage.
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Et un petit groupe donnait de la voix : « La fac, la fac, elle est ouverte. On s’est battu pour qu’elle le soit, on se battra pour qu’elle le reste ».
Au cri de « la SNCF n’est pas à vendre », les manifestants ont déambulé dans les allées de « Ground control », l’ancien centre de tri postal situé près de la gare de Lyon, où était organisée la fête.
« Cheminots en colère, on ne va pas se laisser faire », ont chanté les manifestants, qui ont fini par ressortir du bâtiment après une trentaine de minutes.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mercredi 20 décembre 2017, à 10 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 123 mots
Plusieurs centaines de salariés de différentes enseignes ont manifesté mercredi 20 décembre 2017 à Paris pour demander le « retrait des ordonnances Macron » à l’appel de la CGT Commerce et services, qui juge la réforme du Code du travail « néfaste » pour des secteurs déjà « précaires ».
Au son des sifflets et dans la fumée colorée de nombreux fumigènes, le cortège d’environ 300 à 400 manifestants s’est ébranlé en
fin de matinée de la place de l’Opéra en direction du ministère du Travail, où une délégation devait être reçue.
Castorama, Vivarte, Carrefour, Auchan, Conforama, Seris sécurité, Leroy-Merlin, Sodexo, Amazon : les représentants de différentes entreprises, venus d’un peu partout en France, ont défilé pour exprimer aussi leurs craintes sur l’emploi…
French General Confederation of Labour (CGT) unionists hold smoke canisters as they gather in front of Paris' Opera Garnier on December 20, 2017, to protest against French President's executive orders on Labour law and violence in the workplace.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Jeudi 16 novembre 2017, à 17 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/4, ISO 1600, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 192 mm.
EXTRAIT
Jeudi 16 novembre 2017, les manifestants ont maintenu la pression en défilant pour la quatrième fois en deux mois contre les ordonnances. Cette protestation contre la politique « libérale » d’Emmanuel Macron a réuni jeudi 80 000 participants dans toute la France, dont 8 000 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur, qui avait recensé 40 000 manifestants au total lors de la précédente
journée d’action du 19 octobre contre la réforme du travail. La CGT a de son côté recensé 40 000 participants à Paris jeudi. Elle avait recensé 25 000 personnes en France lors de la journée du 19 octobre.
Des incidents ont été enregistrés à Paris où des vitres d’agences bancaires et d’assurances ont été notamment brisées…
Protesters gather with balloons, flares and banners during a demonstration as part of a nationwide protest day against the government's economic and social reforms, on November 16, 2017 in Paris.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Jeudi 19 octobre 2017, à 14 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4.5, ISO 640, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT La CGT et Solidaires ont appelé à un rassemblement le jeudi 19 octobre 2017 dans tout le pays, pour protester contre la réforme du code du travail. C’est la troisième manifestation à l’appel de syndicats, après celles organisées les 12 et 21 septembre, qui avaient rassemblé 223 000, puis 132 000 personnes
dans toute la France, selon la police.
Alors que les cinq ordonnances réformant le code du travail ont été publiées le 23 septembre au Journal officiel, les deux syndicats tentent de faire reculer le gouvernement et la majorité parlementaire…
French La France Insoumise (LFI) leftist party members of parliament Adrien Quatennens (L) and Alexis Corbiere (R) take part in a demonstration called by the CGT workers' union against the French president's labour law reforms, on October 19, 2017 in Paris.