Interrogé au Salon de l’agriculture, le 27 février 2018, le président des Patriotes, Florian Philippot, soutient les mouvements sociaux pour mettre un « coup d’arrêt au projet global de démantèlement de la France , annonçant que son mouvement soutiendrait les « mouvements sociaux, à commencer par celui de la SNCF, pour faire le lien entre le Frexit et les luttes sociales ». Dans le viseur de l’ancien vice-président du Front national, outre la réforme de la SNCF annoncée par le gouvernement, « celle de la loi Travail selon la même méthode antidémocratique, qui elle-même s’ajoute au Ceta ou aux négociations avec le Mercosur, menaçant gravement notre agriculture ». « Autant de dossiers qui impliquent directement les politiques de l’Union européenne mais dont personne, étonnamment, ne veut parler ».
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Trois jours après les 12 h 30 de présence d’Emmanuel Macron au Salon de l’agriculture, c’est au tour de son principal opposant de faire son apparition dans la plus grande ferme de France. Ce mardi et ce mercredi, Laurent Wauquiez fait halte porte de Versailles (Paris XVe), avec un double défi : essayer de faire oublier ses propos tonitruants tenus dans une école de commerce et diffusés dans l’émission « Quotidien » et incarner cette fameuse France de la ruralité qu’il prétend défendre à longueur de discours.
Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
Alors que François Hollande arpentait les allées du Salon de l’agriculture, le samedi 23 février 2013 au matin, Laurent Spanghero intervenait sur le plateau du kiosque multimedia agricole « TV Agri.info », à quelques dizaines de mètres du Président.
Spécialisée dans les plats cuisinés et dans la viande fraîche transformée, la société Spanghero, impliquée dans le scandale des lasagnes au cheval, avait été fondée en 1970 par Laurent et son frère Claude Spanghero, un nom appartenant à la grande famille du rugby. Au printemps 2009, la famille Spanghero s’était retirée de l’affaire en cédant le contrôle de la société à la coopérative basque Lur Berri. Selon le quotidien Le Figaro, François Hollande et Laurent Spanghero auraient eu un aparté pour évoquer les difficultés de l’usine de Castelnaudary impliquée dans le scandale des lasagnes au cheval. Le président et l’ancien joueur de rugby seraient, toujours selon Le Figaro, tombés d’accord pour dire qu’il fallait tout mettre en œuvre pour sauver les 300 emplois de l’entreprise.
Spécialisée dans les plats cuisinés et dans la viande fraîche transformée, la société Spanghero, impliquée dans le scandale des lasagnes au cheval, avait été fondée en 1970 par Laurent et son frère Claude Spanghero, un nom appartenant à la grande famille du rugby. Au printemps 2009, la famille Spanghero s’était retirée de l’affaire en cédant le contrôle de la société à la coopérative basque Lur Berri. Selon le quotidien Le Figaro, François Hollande et Laurent Spanghero auraient eu un aparté pour évoquer les difficultés de l’usine de Castelnaudary impliquée dans le scandale des lasagnes au cheval. Le président et l’ancien joueur de rugby seraient, toujours selon Le Figaro, tombés d’accord pour dire qu’il fallait tout mettre en œuvre pour sauver les 300 emplois de l’entreprise.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article.