Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
À Paris, 7 000 personnes, selon la police, se sont rassemblées place du Trocadéro, samedi 21 janvier 2017, pour dire leur rejet de Donald Trump et défendre les droits des femmes. La foule a répondu présent à l’appel à manifester parti des États-Unis, et repris en France par une quarantaine d’associations féministes et des partis de gauche. Une majorité de femmes avait fait le déplacement, mais beaucoup d’hommes les accompagnaient. Ensemble, ils entonnaient un « They go low, we go high », en français « soyons au-dessus d’eux », avant que le cortège ne s’élance vers l’Ecole militaire. La plupart des slogans étaient écrits en anglais. « Avec son discours misogyne, j’ai peur que Trump autorise implicitement les hommes à se comporter comme lui », expliquait Alexandra, une trentenaire, toute de rose vêtue.
A woman holds a sign reading 'Thank you. We will miss you' in Paris on January 21, 2017 during a women's march in solidarity with women in the US marching against Trump.
Ouverture: ƒ/8, Canon EOS-1D X, 8 novembre 2014, correction: +1/3EV, flash: non, focale: 33 mm, ISO: 4000, localisation: 48° 51.8912′ 0″ N 2° 22.6539′ 0″ E, 1/160 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Plus d’un millier de personnes ont commencé à défiler le samedi 8 novembre 2014 à Paris, dénonçant les « violences policières » après la mort de Rémi Fraisse sur le site du projet de barrage contesté de Sivens dans le Tarn. Une manifestation parisienne autorisée par la préfecture, à l’appel de plusieurs partis et organisations, dont le Front de Gauche, les Amis de la terre, Ensemble, Europe Écologie Les verts Île De France, Europe Écologie Les Verts (EELV), l’Unef, l’UNL et la Fédération anarchiste. Le cortège, dans lequel se trouvaient de nombreux jeunes, lycéens et étudiants brandissant la photo de Rémi Fraisse, a quitté la place de la Bastille vers 14 h, scandant des slogans très virulents contre les forces de l’ordre présentes en nombre sur les lieux.
Entre 300 et 400 personnes ont participé à un rassemblement non-autorisé par la préfecture, mercredi 29 octobre 2014, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris, pour rendre hommage au jeune Rémi Fraisse, mort dans la nuit de samedi à dimanche sur le site du barrage de Sivens (Tarn). Déployant de nombreuses banderoles et scandant des slogans hostiles aux forces de l’ordre, des manifestants ont ensuite essayé d’attaquer les portes de l’hôtel de ville. De nombreux graffitis, portant des symboles anarchistes, ont été peints sur les murs du bâtiment.