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General Secretary of the Union Nationale des syndicats autonomes (UNSA) Education Fréderic Marchand (3rd R) and General Secretary of the Federation syndicale unitaire (FSU) Bernadette Groison (C) demonstrate during a nationwide strike to denounce the abolition of posts in the national in the French capital Paris on November 12, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -2/3. Flash: non
Une première depuis 2011. L’annonce de la suppression de 2 650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé et 400 dans l’administration a entraîné un appel à la grève pour ce lundi 12 novembre 2018, lancé par tous les syndicats représentant l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale. Du jamais-vu en sept ans. À Paris une manifestation s’est élancé à 14 h pour rallier le ministère de l’Éducation nationale, pour dénoncer le budget de l’Education nationale qui sera examiné à l’Assemblée nationale mardi. Une unanimité syndicale qui a fait craindre d’importantes perturbations dans les établissements ce lundi. Dans les collèges et les lycées certes, mais aussi dans les écoles primaires et maternelles. D’autant que la première fédération de parents d’élèves, la FCPE, appellait aussi les parents à se mobiliser et à rejoindre les cortèges syndicaux contre ces réductions de postes dans le second degré. « Ce choix est d’autant plus incohérent que dans les réformes du bac et du lycée général et technologique, comme dans la réforme de l’enseignement professionnel, l’accompagnement des élèves est présenté comme central aussi bien pour leur réussite que pour construire leur parcours d’orientation. Or, cela nécessite des adultes formés et en nombre suffisant auprès des jeunes », argumente la FCPE. Source.
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Protesters march near the Opera House during a demonstration called by pensioners' unions on October 18, 2018 in Paris, to demand pensions' increase and protest against the French government policy.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 235 mots. Après la hausse de la CSG, la baisse des pensions. Les retraités sont, à nouveau, appelés à manifester « massivement », ce jeudi 18 octobre 2018, contre les choix budgétaires du gouvernement. Les neuf syndicats et associations de retraités (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et UNRPA), qui ont convoqué cette quatrième journée de «mobilisation générale», espèrent égaler, voire dépasser, la mobilisation du 15 mars, avec « environ 200.000 manifestants dans 162 manifestations », selon Gérard Gourguechon, de l’UNIRS-Solidaires. Leur première revendication reste l’annulation de la hausse de la CSG, entrée en vigueur en janvier et non compensée pour environ 60 % des 16 millions de retraités, qui financent ainsi les baisses de cotisations pour les salariés. En mars dernier, Edouard Philippe avait, en partie, rétropédalé en promettant une « correction » pour « 100.000 couples » aux revenus modestes. La mesure inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019 concernera finalement « 350.000 foyers ». Pour certains députés LREM, cette révision est insuffisante. Ces derniers ont adopté, mardi, un amendement introduisant « plus de progressivité dans les taux de CSG » pour les retraités. La seconde revendication, c’est la sous-revalorisation des retraites de base. Les pensions versées par l’Assurance vieillesse, jusqu’alors indexées sur l’inflation, n’augmenteront que de 0,3 % en 2019 et en 2020, quand la hausse des prix devrait atteindre 1,3 %.
Anti-riot policemen in front of protestors during a demonstration on the sidelines of a march for the annual May Day workers’ rally in Paris on May 1, 2018. Police in Paris have used water cannons to break up a tumultuous rally amid May Day demonstrations as masked protesters have been throwing smoke bombs and setting vehicles on fire in the French capital.
EXTRAIT : 178 mots. En ce 1er-Mai 2018, les syndicats ont défilé en ordre dispersé. Les manifestations ont réuni 143 500 personnes en France selon le ministère de l’Intérieur et 210 000 personnes, selon la CGT. Partie vers 15 h, la manifestation parisienne a très rapidement changé de tournure, bloquée par quelque « 1 200 black blocs » recensés par la préfecture de police, sur les 14 500 personnes venues hors cortège syndical, une configuration inédite selon une source proche du dossier. Face aux affrontements et dégradations, les forces de l’ordre ont riposté par des tirs de gaz lacrymogènes et deux lanceurs d’eau. De nombreuses dégradations ont été commises par les militants encagoulés. (…) Près de 200 « black blocs » ont été interpellés, selon la préfecture de police, qui a également mentionné six autres interpellations, pour port d’arme prohibé ou jets de projectiles. Le président de la République Emmanuel Macron a condamné, sur Twitter, « avec une absolue fermeté les violences » qui ont « dévoyé les cortèges du 1er mai ». (…) Le Premier ministre, Édouard Philippe, a également condamné dans un communiqué ces violences…
French workers union CGT general secretary Philippe Martinez (center) takes part in a demonstration on April 19, 2018 in Paris, as part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President’s reforms amid a rail strike and spreading student sit-ins in Paris, France on April 19, 2018.
La CGT voulait faire de ce 19 avril 2018 la journée de toutes les contestations. La CGT a appelé les différents secteurs à se réunir contre le gouvernement, comme les infirmiers ou les salariés de Carrefour, actuellement en pleine restructuration. Des étudiants ont également rejoint le cortège pour protester contre ce qu’ils considèrent être de la sélection à l’université. Quant aux retraités, c’est la mise en place d’un régime unique pour tout le monde qui les inquiète. Au total, 15 300 personnes protestaient aujourd’hui à Paris. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, espère une plus vaste mobilisation à l’avenir. Mais les syndicats sont déjà divisés pour le 1er mai. Force ouvrière et CFDT indiquent ce jeudi qu’ils ne seront pas au côté de la CGT pour la fête du Travail. Le front syndical reste à construire.
Students and high school students march along the Seine river behind a banner reading « The selection, it’s pixie dust » as they take part in a rally to protest against a proposed reform of the Baccalaureat (France's high school diploma) and against Parcoursup in Paris, on March 15, 2018. Parcoursup is an online system for high school graduates to guide them towards trainings which are available in the higher education system.
La manifestation contre Parcoursup et la réforme du bac lancée à l’appel des syndicats lycéens, a réuni quelques centaines de personnes, ce jeudi 15 mars 2018 en fin de matinée, place Saint-Michel, dans le Ve arrondissement, à Paris. Sur les coups de onze heures, au pied de la fontaine, une jeune fille tentait tant bien que mal de scotcher une pancarte fabriquée à la va-vite sur un carton : « L’éducation, pas la sélection ». Pendant ce temps, un autre s’affairait à graffer « loi Vidal, sélection déguisée » sur une barrière de travaux. Et un petit groupe donnait de la voix : « La fac, la fac, elle est ouverte. On s’est battu pour qu’elle le soit, on se battra pour qu’elle le reste ».
Demonstrators carry signs and banners on the place de la République in Paris on March 8, 2018 during the International Woman's Day on March 8, 2018.
EXTRAIT : 115 mots. (…) « Le 8 mars n’est pas la journée de la femme, ce n’est pas une fête. C’est une journée de lutte pour toutes », a déclaré lors d’une conférence de presse Véronique Séhier, coprésidente du Planning familial, membre du collectif baptisé 8mars15h40. À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
Coordinated one-day strike involving Air France pilots, cabin crew and ground staff at Roissy Charles-de-Gaulle airport in Roissy-en-France, near Paris, on February 22, 2018. The airline’s management has offered a basic increase of one per cent to staff, but the unions are demanding a six per cent rise. They are also unhappy about job losses and staff workloads.
La direction d’Air France est inquiète. L’appel à la grève lancé pour le 22 février 2018 par onze syndicats de la compagnie est presque historique. « Du jamais-vu depuis 1993 », explique Sandrine Techer, secrétaire de section du Syndicat national du personnel navigant commercial (SNPNC). La journée de grève, organisée jeudi 22 février, devait réunir toutes les catégories de personnels – des pilotes aux hôtesses, en passant par les non-navigants. L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
Protesters shout slogans and hold banners as they take part in a demonstration against a French government's proposed reform of university applications and a project to reform the French baccalaureate high school exit exam on February 6, 2018, in Paris.
Des syndicats lycéens, étudiants et enseignants ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation, mardi 6 février 2018, pour demander le retrait de la réforme de l’accès à l’université et du projet d’un nouveau baccalauréat. L’objectif était d’« amplifier » la mobilisation commune lancée jeudi 1er février, avec un faible succès. Vingt mille manifestants y avaient pris part, selon les organisateurs, dont dix mille à Paris. Mais la préfecture n’avait dénombré que deux mille quatre cents personnes défilant dans la capitale.
Données techniques.Prise de vue: Mardi 23 janvier 2018, à 15 h 36. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/9, ISO 10000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm. Légende en anglais.General Secretary of the Ufap-Unsa (Union Federale Autonome Penitentiaire - Union nationale des syndicats autonomes) penitentiary union, Jean-Francois Forget (C) addresses the media as he arrives for a meeting with the French Justice minister on January 23, 2018 at the Justice ministry, place Vendôme, in Paris. A strike by French prison guards entered its second week on January 22, with at least 50 jails blocked over demands for better security and pay after a series of attacks on staff by inmates.
EXTRAIT : 122 mots. Les nouvelles discussions entamées ce mardi 23 janvier 2018 entre Nicole Belloubet, ministre de la Justice, et les syndicats de surveillants de prison ont tourné court. Au lendemain d’une première journée scellée par un échec, les représentants de l’administration pénitentiaire ont quitté la table des négociations en cours d’après-midi. Les questions de sécurité, d’emploi et de rémunération devaient être au cœur des discussions que Nicole Belloubet souhaitait avec les principaux syndicats de la pénitentiaire (Ufap, FO et CGT) à partir de 15 h 30 à la Chancellerie, place Vendôme, à Paris. Mais les mots de la Garde des Sceaux n’ont pas convaincu ses interlocuteurs, qui appellent à poursuivre les mouvements de blocage au sein des établissements pénitentiaires.
French Minister for Solidarity and Health Agnes Buzyn arrives at the Poissy Medical Center, near Paris, on January 15, 2018 for the laying of the first foundation stone of a new emergency departement, in front a demonstration organized by the Hospital Employees Union. Prise de vue: Lundi 15 janvier 2018, à 14 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/8, ISO 2000, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
À l’appel des syndicats Sud et CGT, plusieurs dizaines de manifestants se sont donné rendez-vous le 15 janvier 2018 devant l’Hôpital intercommunal de Poissy afin d’accueillir à leur manière Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, qui participait à la cérémonie symbolique de pose de la première pierre du nouveau bâtiment de l’hôpital. Ce futur bâtiment, d’un coût estimé à 70 M€, abritera les urgences, la réanimation, les soins intensifs, la maternité ou encore 180 lits supplémentaires. Il devrait être livré en avril 2020…
French riot police stand guard outside the entrance of the Fresnes prison, near Paris, on January 15, 2018, during a demonstration by prison guards after three of their colleagues were injured in a blade attack by a German Al-Qaeda militant in Vendin-le-Vieil prison. Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 15 janvier 2018, à 8 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/80 s, f/4, ISO 8000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Après l’agression jeudi 11 janvier 2018 de quatre surveillants pénitentiaires dans le Pas-de-Calais, trois syndicats de gardiens de prison ont appelé à manifester pour demander plus de sécurité. Tous les établissements étaient touchés en Ile-de-France, notamment à Fresnes où plusieurs dizaines de surveillants se sont rassemblés devant l’entrée de la maison d’arrêt en mettant le feu à des palettes de bois, entrainant l’intervention des CRS.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 4 décembre 2017, à 8 h 55. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/7.1, ISO 12800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Des membres du personnel de l’AP-HP (Assistance publique-hôpitaux de Paris) se sont rassemblés devant le siège de l’établissement le lundi 4 décembre 2017 à Paris, lors du Comité
technique d’Etablissement central (CTEC) extraordinaire où devait être présenté le bilan de l’organisation du temps de travail (OTT), contesté par les organisations syndicales…
Protesters gather outside the headquarter of Assistance publique and Hôpitaux de Paris or AP-HP, public hospital system of Paris, France on December 4, 2017, with banner and mock coffins to demand better working conditions in the hospital chains.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Vendredi 1er décembre 2017, à 11 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Les différents syndicats de l’enseigne de bricolage Castorama organisaient ce vendredi 1er décembre 2017 dans toute la France des manifestations pour protester contre la délocalisation de leurs activités comptables et administratives en Pologne, soit la suppression de 500 emplois. Les employés grévistes des magasins
du sud de l’agglomération parisienne se sont ainsi réunis devant le magasin de Créteil. Selon les syndicats, le groupe Kingfisher, propriétaire de Castorama ainsi que de Brico Dépôts, prévoit de confier la comptabilité et la gestion administrative à un prestataire en Pologne, pour rester compétitif…
Members of unions gather in front of a French tools and supplies retailer Castorama store in Creteil, East of Paris, on December 1, 2017, to protest against the announce of around 500 job cuts in accounting and administrative services in Castorama and Bricot Depot.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 25 novembre 2017, à 14 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/8, ISO 640, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT « Toujours et partout contre les violences faites aux femmes ». Derrière ce slogan, environ un millier de personnes manifestaient samedi 25 novembre à Paris à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. La manifestation, qui prenait cette année une résonance particulière avec le contrecoup du scandale Weinstein, s’est déroulée entre les
places de la République et de l’Opéra. Comme chaque année, organisations féministes, partis de gauche (PCF, NPA, LO) et syndicats (Solidaires notamment) appelaient à défiler pour dénoncer les violences subies par les femmes. Seins nus, plusieurs Femen, dont Inna Shevchenko, une des figures majeures du mouvement, étaient aussi présentes…
Activists from women's rights movement Femen, including leader Inna Shevchenko (4th R), stand topless while holding signs on the Place de la Republic in Paris on November 25, 2017 during a demonstration against violence against women. November 25 is the International Day for the Elimination of Violence Against Women.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mercredi 22 novembre 2017, à 14 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/4, ISO 250, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 230 mm.
EXTRAIT Alors que le Plan étudiant était présenté le mercredi 22 novembre 2017 en Conseil des ministres, une quinzaine d’organisations étudiantes et lycéennes appelaient à manifester contre ce qu’ils considèrent comme une sélection à l’entrée dans l’Enseignement supérieur. Une mobilisation qui a trouvé peu d’écho dans les lycées et les universités.
À Paris, une manifestation prévue à 13 h n’a rassemblé qu’environ 500 personnes, selon la préfecture de police. Sur une banderole, on pouvait notamment lire « Tri sélectif à la fac, poubelles devant les lycées », en référence aux blocages complets ou partiels des accès à une dizaines de lycées parisiens opérés plus tôt dans la journée…
Students hold a banner reading 'Their selection, our future' as hundreds march in Paris on November 22, 2017 to protest against a reform on university entry requirements.