La Bretagne a un caractère bien trempé. Oui, mais c'est à prendre cette fois au sens propre. Plus de pluie et de fraicheur que d'habitude en juillet. Toutefois, nous n'étions pas à l'abri d'une éclaircie et les ciels étaient toujours aussi « craquants », en particulier en début et en fin de journée.
PLEIN ÉCRAN : touche F11 ou Fn+F11 sur PC Windows pour l'activer (et le désactiver après visionnage). PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture.
J'adore la Bretagne, son caractère bien trempé, ses paysages variés, son climat et ses ciels changeants… J'aime retrouver la sérénité de sa mer calme et puiser l'énergie de sa mer agitée. Bref, j'aime cette région que, traversant la France, je fréquente régulièrement depuis longtemps.
PLEIN ÉCRAN : touche F11 ou Fn+F11 sur PC Windows pour l'activer (et le désactiver après visionnage). PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture.
En Bretagne, je vois de magnifiques levers et couchers de soleil sur la mer. Je ne m'en lasse pas !
PLEIN ÉCRAN : touche F11 ou Fn+F11 sur PC Windows pour l'activer (et le désactiver après visionnage). PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture.
Lors d'une réunion de famille, j'avais laissé entendre que j'aimerais faire un tour en montgolfière. Éléa, une de mes petites-filles, toujours très réactive, conçut aussitôt le projet de convier amis et parents à me faire ce cadeau. Elle lança un appel à cotisation et trois semaines plus tard, pour mon anniversaire, elle me remit au nom de tous une enveloppe contenant le « bon à voler ». Aucune date n'était précisée car le vol en montgolfière est tributaire de la météo : il faut du vent pour que l'engin avance au lieu de grimper droit vers la lune. Le dimanche 18 septembre, les conditions étant favorables, Éléa, Guillaume, mon fils (son oncle), appelé en renfort et moi-même nous sommes rendus à côté de Dole pour la réalisation de mon rêve. Dans la nacelle, nous étions sept : l'aérostier, un couple avec deux adolescentes, un monsieur et moi. J'ai regretté que ces gens soient aussi bavards, m'empêchant d'écouter le silence, comme cela avait été possible lors de mon envolée avec un parachute ascensionnel. Mais l'expérience m'a plu. Nous avons navigué à 500, 600 mètres d'altitude. On voyait au loin le Mont-Blanc. La dame du couple avait peur. Le passage au-dessus de la maison de sa mère ne l'a pas rassurée. J'étais la plus vaillante du lot. Je pense avoir bien mérité mon Certificat d'ascension aérostatique qui atteste que j'ai fait « preuve de courage et de sang-froid ». Mais la dame qui avait peur l'a aussi obtenu ! Tout est relatif, comme aurait dit Einstein.
Note du webmestre
Michèle ne semble pas connaître le vertige ou elle sait le surmonter. Après les montagnes russes d'Europa-Park, le parachute ascensionnel et maintenant ce voyage en ballon, façon Jules Verne, quelle sera la prochaine étape ? Un séjour dans l'espace, façon Thomas Pesquet ? Si elle est tentée, je cottise. Jeff Saby