Paris brûle-t-il ?
Pour vous mettre une valse en tête…
tout en vous épargnant Mireille Mathieu
René Clement – 1966
Musique Maurice Jarre
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Paris brûle-t-il ?
Pour vous mettre une valse en tête…
tout en vous épargnant Mireille Mathieu
René Clement – 1966
Musique Maurice Jarre
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Bagdad café
Pour un autre regard sur l’Amérique…
et la voix de Jevetta Steele
Percy Adlon – 1987
Synopsis
Les canons de Navarone
Pour tous ces films héroïques des belles années 60…
Jack Lee Thompson – 1961
Synopsis
Pour la gaffe du petit Roberto…
LE CLAN DES SICILIENS
Henri Verneuil – 1969 – Musique Ennio Morricone
La gaffe de Roberto
Pour le verbe « gaylussaquer »…*
Tout le monde il est beau
tout le monde il est gentil
Jean Yanne – 1972
* Explication pour les moins de 60 ans :
Deliverance
Pour la sonorité du banjo
John Boorman – 1972
Pour l’époque…
AIMEZ-VOUS BRAHMS ?
Anatole Litvak – 1961
D’après Françoise Sagan
Pour les percussions, pour Serge Gainsbourg rasé de frais
et pour les défunts concernés…
Le Pacha
Georges Lautner – 1968 -
Musique Serge Gainsbourg
Parce que mon voisin à repeint sa façade au pinceau toute la semaine…
et puis aussi un peu pour vous le mettre dans la tête pour la journée !
37°2 le matin
Jean-Jacques Beneix – 1986 - Musique Gabriel Yared
Pour ré-entendre caqueter Yvan Rebroff !
Un violon sur le toit
La vidéo démarre à 1 mn 13 s. Après un discours de présentation. Seigneur ! Seigneur! Tu as mis au monde Ah si j'étais riche Je bâtirais un vrai palais | et encore un troisième pour la joie Adieu la charrette A été difficile à retranscrire, car le chanteur ne suit pas les paroles originales (même dans les onomatopées) et la chanson est tronquée. |
Norman Jewison - 1971
Pour le souvenir gamin d'un Noël enneigé,
pour Bécaud et pour le disque qui craque…
Le pays d'où je viens
Le pays d'où je viens
N'est fait que de silence
Donnez, donnez-moi la main
Bonjour, bonjour Sainte Chance, chance
Peut-être un jour, demain,
Le traîneau des vacances
Vous emmènera enfin
Aux croisées des chemins
Du pays d'où je viens…
Vers ce pays
Jolie Dame des Neiges, je t'emporterai
Que tourne le manège
D'un amour qui naît
D'une floconnée
Dans l'immensité.
Peut-être un jour, demain,
Des traîneaux en partance
T'emmèneront enfin
Au pays qui est le tien
Le pays d'où je viens…
Le pays d'où je viens…
Marcel Carné - 1956
Y en a un peu plus. J'vous l'mets quand même ?
D'où viens-tu Johnny ?
Ma guitare s'enflamme de joie
Quand tu es là
Ma guitare, fredonne en bleu
Devant tes grands yeux
Elle chante la fureur
De nos tendres heures
Ma guitare
Ma guitare pleure ses accords
Loin de ton corps
Ma guitare, joue en mineur
Sans ton rire moqueur
Elle chante la mort
Loin, loin de ton corps
Ma guitare
Ma guitare est folle de danse
En ta présence
Quand tu pars, elle s'ennuie
Toute seule dans sa nuit
Elle chante près de toi
Pleure loin de tes bras
Ma guitare
Ma guitare
Ma guitare
Noël Howard - 1963
Pour tous les militaires qui suivent le Mot du Jour
Parce qu’il y a des militaire(e)s qui suivent le Mot du Jour !
Les Bérets verts
Fighting soldiers from the sky
Fearless men who jump and die
Men who mean just what they say
The brave men of the Green Beret
Silver wings upon their chest
These are men, America's best
One hundred men we'll test today
But only three win the Green Beret
Trained to live, off nature's land
Trained in combat, hand to hand
Men who fight by night and day
Courage deep, from the Green Beret
Silver wings upon their chest
These are men, America's best
One hundred men we'll test today
But only three win the Green Beret
Back at home a young wife waits
Her Green Beret has met his fate
He has died for those oppressed
Leaving her this last request
Put silver wings on my son's chest
Make him one of America's best
He'll be a man they'll test one day
Have him win the Green Beret
Ray Kellogg et John Wayne – 1968
La B.O du 12 novembre
Cette bande originale, mon autoradio me l'a introduite subrepticement dans la tête sous couvert d'une prestation du très sélect Orchestre de Philadelphie… J’en ai eu pour la journée ! Eugène Ormandy dirigeait « American salute ». Je n'ai pas retrouvé cet enregistrement, mais je vous en fais partager un approchant quoiqu’un peu plus martial :
Cet air a servi de thème à tellement de films que je ne me souviens plus de celui qui m'a instillé cette rengaine dans les années 60… Mais si, rappelez-vous :
Ils sont partis, ils partiront toujours, toujours
Là-bas, là-bas ils vont mourir au jour le jour
Car c'est vers la gloire ou vers le trépas
Qu'ils sont partis en marchant au pas
Parmi eux mon amour marchait du même pas
Ils sont si jeunes, ils sont si beaux
Comment, comment
Mon cœur peut-il y reconnaître mon amant
Mon cœur il faut bien que je te pardonne
Si a tout cela tu t'abandonnes
En battant au rythme de leur pas qui résonne
Il est parti il reviendra un jour, un jour
Mais son regard au fond sera plus lourd, plus lourd
Je le sais j'ai vu revenir mon père
Et s'il parlait souvent de ses frères
Non jamais, jamais il ne parlait de la guerre
Ils sont partis, ils partiront toujours, toujours
Là-bas, là-bas ils vont mourir au jour le jour
Je sais que la guerre ils ne l'aiment pas
Mais à les voir marcher au pas
On peut croire que les hommes sont faits pour ça
On est un peu éloigné de l'original « Johnny comes marching home » hystérisé ici par les très suprémacistes Ultima Thule.
When Johnny comes marching home again
Hurrah! Hurrah!
We'll give him a hearty welcome then
Hurrah! Hurrah!
The men will cheer and the boys will shout
The ladies they will all turn out
And we'll all feel gay
When Johnny comes marching home.
When Johnny comes marching home again
Hurrah! Hurrah!
We'll give him a hearty welcome then
Hurrah! Hurrah!
The men will cheer and the boys will shout
The ladies they will all turn out
And we'll all feel gay
When Johnny comes marching home.
The old church bell will peal with joy
Hurrah! Hurrah!
To welcome home our darling boy,
Hurrah! Hurrah!
The village lads and lassies say
With roses they will strew the way,
And we'll all feel gay
When Johnny comes marching home.
Get ready for the Jubilee,
Hurrah! Hurrah!
We'll give the hero three times three,
Hurrah! Hurrah!
The laurel wreath is ready now
To place upon his loyal brow
And we'll all feel gay
When Johnny comes marching home.
Let love and friendship on that day,
Hurrah, hurrah!
Their choicest pleasures then display,
Hurrah, hurrah!
And let each one perform some part,
To fill with joy the warrior's heart,
And we'll all feel gay
When Johnny comes marching home.
Alors, qui saura donc me rappeler ce film qui ne m’a laissé en mémoire que sa musique ? (1960/64)
Merci !
Pour la trompette de Miles Davis…
Ascenseur pour l'échafaud
Louis Malle – 1958 – Musique Miles Davis