Chanteur engagé, Jean Ferrat a souvent connu la censure dans les années 60 et 70 avec des chansons jugées trop politiques.
Voici quelques exemples de chansons interdites d'antenne : "Nuit et brouillard" (1963); "Potemkine" (1965); "Ma France" (1968); "Au printemps de quoi rêvais-tu ?" (1969); "Un air de liberté" (1975)… Jean Ferrat avait fait de cette censure un sujet de chanson ironique : ► "Quand on n'interdira plus mes chansons, je serai bon à jeter sous les ponts"…".