Suite au mouvement de grève d'une certaine partie du câblage de mon ordinateur le Mot du Jour a dû momentanément suspendre sa parution. Nous (lui et moi) nous en excusons auprès de notre vétilleux lectorat.
À peine renoué le lien avec la planète informatique, je tombe sur un bien monstrueux constat sur l'état de l'humanité. Pardonnez-moi de vous le faire partager à la place de mes insignifiantes gaudrioles habituelles…