Pour ne pas me laisser contaminer par l'incessant « psychotage » radiophonique, j'ai mis France Inter en quarantaine. Mais il y a un maillon faible dans mon dispositif : le récepteur de la salle de bains. C'est grâce à cette lacune que j'ai pu, hier, me refaire un moral et me polir l'indignation avec cette saine colère de Coline Serreau.