La relève est assurée (2)
Aujourd'hui c'est Mag' qui vient contribuer au Mot du Jour…
Mais j'y ajouterai quand même mon grain de sel !
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La relève est assurée (2)
Aujourd'hui c'est Mag' qui vient contribuer au Mot du Jour…
Mais j'y ajouterai quand même mon grain de sel !
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Le Rififi
Magali Noël – 1955
Comment ça ? Vous l'aviez oublié, le lancinant petit air d’harmonica ?
Alors voilà un petit rappel, avec en prime, quelques scènes « collector »…
Jules Dassin poussé hors des États-Unis par le maccarthysme en 1949 s'exile en Europe. Il tourne un premier film en Angleterre "Les forbans de la nuit" ("Night and the city") (1950). Ce n'est que 5 ans plus tard qu'il put tourner en France “Du rififi chez les hommes”.
Adaptation d'un roman éponyme, d'Auguste Le Breton, inventeur du mot rififi (déposé). C'est lui qui a sorti l'argot et le verlan du mitan (il l'écrivait : verlen) pour le populariser par la littérature dans ses romans noirs. Ce film est devenu un des premiers classiques français du thriller. C'est aussi un superbe voyage dans le Paris des années 1950. Excellente musique de Georges Auric qui envoûte le film. (senscritique.com)
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Une belle çonnerie !
Le Mot du Jour participe aujourd’hui à l'édification des jeunes classes qui, depuis 1997, ne se frottent plus à la chose militaire.
Alors, jeune pékin, sache que lorsque le journaliste te dit que le nouveau président de la République traverse la cour de l'Élysée sur l'air (sic) de Auchan, ce n'est pas qu'il soit sponsorisé par ton Centre commercial préféré, mais écoute plutôt :
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Pour sortir de dessous la couette en fanfare…
Un taxi pour Tobrouk
… un air bien cadencé chargé de la chaleur du désert libyen pour balancer la froidure de ce dimanche.
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Développement (durable ?)
Toujours plus riches, toujours plus nombreux !
On est les champions ! Et la frontière qui arrête les nuages radioactifs n’est même plus respectée.
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On n’arrête pas le progrès !
Ah ! Les années ’70 ! L’apparition des sèche-mains électriques. Le mot d’ordre de l’époque était « hygiène » et certes, on a vu la disparition de ces peu ragoutants torchons multi usagers… et multi usages.
Mais… son efficacité était justement controversée, si bien qu’on a vu la notice d’emploi bien souvent complétée d’un graffiti éloquent :
1 – Enfoncer le bouton poussoir (pour les modèles « collector »)
2 – Frictionner vos mains sous le jet d’air chaud.
Et là, les rétrogrades invétérés ajoutaient sournoisement :
3 – Séchez-vous les mains sur votre pantalon.
Ce préambule pour en venir à un avatar des temps modernes de cet objet du progrès :
Le DryMe
Les anglicisants ne manqueront pas d’apprécier le subtil double sens du « sèche-moi, j’en rêve ! »
Cet indispensable instrument du bonheur s’affiche ces derniers temps dans tous les magazines. Si, si, vous l’avez vu… Mais comme le « créatif » du « visuel » à oublié la blonde pulpeuse en action dans sa douche, il faut en venir au « rédactionnel » pour apprendre que cette étrange chose n’est rien moins que l’extension du sèche-mains de jadis à un moderne « sèche corps ».
Et l’ « argumentaire » a été remis au goût du jour. Ce n’est plus l’hygiène que l’on pousse en avant mais, écologie oblige,
l’économie d’énergie
et l’on nous assène l’argument massue :
« Avec une consommation minimum, l'économie d'énergie par rapport à l'utilisation de serviettes est d'environ 90 %. Il s'inscrit dans une démarche écologique et respectueuse de l'environnement ». Texto !
J’ai bien peur que, d’ici peu, le souffle du Mistral ne soit taxé au titre de « l’impact carbone » !
Et pour finir, un clin d’œil à notre hygiénique sèche-mains :
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