Le Mot du Jour relaie « Le Canard Enchaîné » qui milite
– et c'est bien normal – pour le bien être des animaux.
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Post scriptum
Collision d'idées dans la presse d'information du mercredi…
« CHARLIE HEBDO »
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Le Mot du Jour relaie « Le Canard Enchaîné » qui milite
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Épiphanie
Imaginons que ce soient des Reines Mages
au lieu de Rois Mages…
Mais, sur le retour…
– d’après une blagounette Face Book –
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Du cochon aux Martiens… pas de quartier !
Je suis Normand d'origine et Breton de cœur. Je n'ai aucune animosité envers les éleveurs de porcs, je ne milite dans aucune société protectrice des animaux. Je suis simplement historien, spécialiste des rapports entre l'homme et l'animal. Or l'honnêteté m'oblige à dire que ces porcheries industrielles sont des lieux abominables constituant une sorte d'enfer sur terre pour les animaux qui s'y trouvent. Les truies sont enfermées par centaines dans des espaces qui leur interdisent de se déplacer, leur vie durant, elles ne voient jamais la lumière du soleil, ne fouillent jamais le sol, sont nourries d'aliments chimiques, gavées d'antibiotiques, inséminées artificiellement. Elles doivent produire le maximum de porcelets en une seule portée, avoir le maximum de portées dans les quelques années de leur misérable vie, et lorsqu'elles ne sont plus fécondes, elles partent à l'abattoir.
Les porcelets eux-mêmes doivent engraisser le plus vite possible, produire le maximum de viande, et tout cela bien sûr au moindre coût.
Les hommes et les femmes du moyen-âge qui pensaient que les cochons étaient des êtres sensibles, qu'ils avaient une âme et qu'ils pouvaient comprendre ce qu'est le bien et le mal, n'avaient certainement jamais pensé à cela : martyriser des porcs pour gagner de l'argent.
Récemment, un directeur de porcherie industrielle située dans les Côtes d'Armor à qui je venais de faire part de mon indignation, m'a répondu d'une manière assez sordide :
“Mais cher Monsieur, pour les poulets, c'est bien pire !”
De fait, dans des établissements carcéraux du même genre, les poulets ne peuvent pas poser leurs deux pattes au sol en même temps : il y circule un courant électrique qui les oblige, à longueur de vie, à poser au sol une patte après l'autre. Pour quoi un tel supplice ? Pour faire grossir leurs cuisses, bien sûr, et les vendre ainsi plus cher… La cupidité de l'être humain est devenue sans limite…
Où sont passés les cochons de nos campagnes, où peut-on encore les voir gambader autour de la ferme, jouer les uns avec les autres, se faire caresser par les enfants, partager la vie des paysans ? Nulle part.
Nous avons oublié que les cochons, mais cela est vrai de tous les animaux de la ferme, étaient des êtres vivants et non pas des produits. Qui, dans la presse, évoque leur sort pitoyable, leur vie de prisonniers, de condamnés, lorsque l'actualité parle du prix de la viande de porc et du mécontentement des éleveurs ? Qui a le courage de rappeler qu'avant d'être un produit de consommation le cochon était un animal vivant, intelligent, sensible, anatomiquement et physiologiquement cousin très proche de l'être humain ? À ma connaissance, personne.
De même à propos des débats autour des cantines scolaires, qui s'interroge sur les raisons qui font que certains peuples mangent du porc et d'autres non. C'est pourtant un dossier passionnant, l'occasion de s'instruire et de rappeler les nombreuses hypothèses qui ont été avancées depuis le moyen âge pour expliquer les rejets et les tabous qui entourent cet animal… Les animaux domestiques n'ont plus d'histoire, plus de mythologie, plus de symbolique. Ils ne suscitent plus aucune curiosité ni aucune interrogation… Aucune nostalgie. Ils n'ont même plus le droit à une vie simplement animale. Ce sont des produits. Comme tels, ils doivent participer au redressement productif de notre pays – cette expression est en elle-même répugnante – et générer du profit… Un profit ironiquement bien mince, voire inexistant pour les éleveurs de porcs, ce qui rend encore plus aberrante et intolérable l'existence de ces porcheries industrielles inhumaines, inanimales même, si l'on peut oser un tel néologisme.
Elles polluent l'air, la terre, les eaux des rivières et celle de la mer.
Dans mon petit coin de Bretagne, des sangliers sont morts à cause du rejet dans la nature du lisier produit par l'élevage intensif de leurs cousins domestiques. Un comble !
À la cupidité, s'ajoute l'absurdité. L'être humain est devenu fou. Il tue non seulement ses semblables, mais tout ce qui vit autour de lui. Il rêve même d'aller sur Mars, ou ailleurs, vérifier si la vie existe et, si c'est le cas, y semer la mort tout en donnant des leçons à l'univers entier en paradant à la COP 21…22…23…24…
Protéger la nature, défendre l'environnement, sauver la planète… Certes… Mais pour quoi faire ? Pour sauver une humanité barbare et suicidaire, cruelle envers elle-même, ennemie de tous les êtres vivants ? Le mérite-t-elle vraiment ? Le souhaite-t-elle réellement ? Il est permis d'en douter. »
Sur le web |
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Le statut social du chat dans nos sociétés
Vous rendez vous compte que, si des extra-terrestres cherchaient à étudier le genre humain via les réseaux sociaux en ce moment, il y a de très fortes chances qu'ils en arrivent à la conclusion que l'espèce dominante sur cette planète, ce ne sont pas les humains, non ; ce sont les chats. Il n'est pas une vidéo de ces animaux couillons qui ne passe pas le million de vues. C'est surréaliste ! Au niveau mondial, il n'y a rien qui passionne plus les gens qu'une vidéo de chatons… Les chats passionnent le monde et la seule question qui me taraude c'est : pourquoi ? Parce que j'ai grandi entouré de chats et que je peux le dire sans aucune hésitation : il n'y a pas plus stupide comme animal !
Avoir un chat à la maison, c'est comme avoir un adolescent sous son toit, mais en plus souple. Ça dort une grosse partie de la journée, ça a en permanence dans les yeux un profond mépris. Ça sent fort, ça vient te voir quand ça veut quelque chose et, en période de chaleurs, c'est insupportable ; la seule différence étant que tu peux faire castrer le chat là où l'ado reste intouchable par souci de convenance tristement conservatrice !
Le chat ne sert strictement à rien. En comparaison, le lombric, cet animal qui partage avec le notaire cette capacité à se nourrir sur les morts, est bien plus utile !
Même au niveau fiction… À la télé on peut toujours compter sur un Rintintin, un Rex, un Idéfix… Même sur Flipper le dauphin ! À quand remonte la dernière fois où vous avez vu un chat se bouger pour rendre service à qui que ce soit ?
Il y a des chiens d'aveugle, des chiens démineurs… Alors que le chat, lui, tu sens que trouver un job pour combler le déficit, relancer la croissance, tout ça… il s'en tape !
Un chat, le matin, qu'est-ce qu'il fait ? Dès potron-minet ça saute sur ton lit en t'agitant son trou de balle au-dessus du visage. Ça fait ses griffes, au mieux sur ton fauteuil, au pire sur ton bras… Ça se purge en bouffant les feuilles de ton yucca et ensuite ça t'annonce que ça va gerber en faisant des « crouaaargh »…
De tous les animaux de compagnie qui accompagnent notre existence au fil de l'Évolution, le chat est la seule espèce à avoir grandi. Le chien, lui, à rapetissé, mais au fil des siècles, des études montrent que le chat, au contraire, devient de plus en plus grand parce que c'est l'un des seuls animaux qui bénéficient totalement de l'écosystème dans lequel vit l'être humain.
En gros, le chat, c'est le rentier ultime. Nourris, logés, soignés, les chats sont les actionnaires du monde animal ; ça vit sur le dos des gens.
Le chien, lui, tu sens qu'il est plus du côté du prolétariat : il est toujours content de voir son maître, il se rebelle rarement. Tu lui envoies un bâton, il te le ramène. Tu lui renvoies le bâton, il retourne le rechercher. Il est un peu con, le chien. Il fait souvent la même chose en espérant des résultats différents… S'il avait le droit de vote, il aurait voté Sarko en 2007, Hollande en 2012 et Macron en 2017 en imaginant que ça allait faire quelque chose de différent… Il est comme ça, le chien.
Et puis le chat, ça te coûte une blinde !
Là, ma fille en ce moment, elle nous saoule pour avoir un chat. Je me suis renseigné sur les prix… Mais je ne savais pas que je devais choisir entre un chat et ses études !
Entre les vaccins, le panier, le coussin, rien que pour un chat low-cost, le bâtard, la marque-repère des chats, c'est déjà 460 euros, minimum ! Pour la bouffe, j'ai lu que c'est environ 545 euros par an et pour la litière c'est 150 euros par an…
J'ai fait le calcul : un chat qui vit, disons 15 ans, il t'aura coûté en moyenne 10.885,00 euros !
Dans ces périodes où tout le monde a des problèmes de pouvoir d'achat, je crois que la question mérite d'être posée : faut-il buter le chat ?
D’après « La drôle d’humeur de Frédérick Sigrist » – France Inter – 2 janvier 2019
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Ce n'est plus supportable
Il est malade… Il ne sert à rien… Je le trouve moche… Il ne veut pas rester seul et reste tout le temps collé… Il est trop vieux… Il est trop sociable… Il est trop câlin… C'est un « obsédé du cul »… et puis, il pète et je n'ai qu'une fenêtre pour aérer…
Alors c'est décidé, je divorce !
La SPA de Marseille a récemment eu l'idée de répertorier les motifs les plus honteux d'abandons d'animaux. En voici une brève liste :
Ou mieux, je le fais euthanasier…
Repéré avec indignation par LN sur Facebook
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Limite…
En ces temps où chacun y va de sa théorie sur les limites à imposer à la liberté d’expression, je voudrais apporter ma modeste contribution.
J’ai en abomination les images dégradantes et obscènes que l’on donne de la femme : je n’achète ni Penthouse, ni Lui, ni un autre… Je déteste les actes de cruauté envers les animaux, leur mise à mort gratuite et la promotion des armes qui servent à ce carnage : je n’achète pas le Chasseur Français. Je n’ai aucun plaisir aux enfantines démonstrations de virilités que sont les grosses bagnoles pleines de phares, de chrome et de décibels : je n’achète pas Tuning. Ce n’est pas si difficile.
Mais,
Comme la plupart des humains (du moins j’espère) les actes de torture et de barbarie me révulsent. Je ne nourris pas non plus de fantasmes à la contemplation d’instruments de torture. Pas plus que je ne me délecte à la vision du cadavre sanguinolent d’un supplicié.
Ce sont pourtant là des spectacles qu’on m’inflige, sculptés dans le granit au détour de chaque chemin en certaines régions. Ce sont ces représentations morbides que je trouve coulées dans le bronze ou la fonte aux points culminant des plus jolis sites et qui les déparent autant qu’une éolienne à l’horizon de la cathédrale de Chartres.
Alors, on les met où, les limites à la liberté d’expression ?
Sommet du Mont Viso (Italie, 3 841 m). L’instrument de supplice est accompagné d’une boîte aux lettres destinée à recueillir par écrit les suppliques pour gagner à l’Euro Million où changer de voiture (spécifier les options).
MDR ! C’est au moins ça !
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Comme la lune…
Le fait de voir un visage qui n’existe pas porte un nom : la paréidolie. (…) On s’est tous amusés à distinguer des animaux dans les nuages ou les lézardes d’un plafond. Le problème, c’est de confondre imaginaire et réalité. On peut penser que les hommes préhistoriques qui voyaient un visage sur la Lune croyaient qu’il y a vraiment quelqu’un là-haut, et à ce titre la paréidolie pourrait avoir inspiré la religion.
Antonio Fischetti – Charlie-Hebdo 01/X/14
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Ma Bible à moi
Génèse 1 –28
« …il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur terre ».
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À la manière de la « Messe au Pendu » de Brassens
À première lecture j’ai cru à un inespéré recul de l’obscurantisme… Et puis… Ils bénissent bien les armes, les bateaux, les motos, les animaux… Pourquoi pas les zomos ?
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Chacun fera son propre commentaire
Merci à Georges
La vidéo a été retirée de vimeo. Sans doute l'effroyable vision de cette chaîne d'abattage de volailles a-t-elle été insupportable a quelques âmes sensibles d'actionnaires de l'industrie agro-alimentaire…
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Le mot de ce jour nous est livré clefs en main par Georges, depuis les mornes plaines de Myrelingues-la-brumeuse (Lyon).
Pourquoi pas ?
Pourquoi mettre des images horrifiantes uniquement sur les paquets de cigarettes ?
Pourquoi pas des photos d’enfants qui meurent de faim sur les boîtes de Mac Do ?
Pourquoi pas des photos d’animaux torturés sur les produits cosmétiques ?
Pourquoi pas les photos des victimes de conducteurs ivres sur les bouteilles d’alcool ?
Pourquoi pas les photos de politiques corrompus, en train de profiter de notre argent, sur les formulaires des déclarations de revenus ?
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Ayant gaffé leurs potes dévisser leur billard
Et claboter de la pestoche,
Tous les bestiaux du monde s’étant filé rencard
Discutaient en se tapant la cloche.
– Je crois, jaspinait le lion, décarrant du désert,
Que le ciel nous punit de nos arnaques
Et que pour nous rebecqueter, au lieu de fric et d’auber,
L’un de nous devrait payer de sa barbaque.
Le preux, je suis tout prêt à sacrifier mon lard ;
N’ayant pas été des plus chouettes
En becquetant les bêlants, ainsi que les deux clébards
Que trimbalait la môme Nénette.
– Te buter pour si peu, ton gniasse n’est pas marteau ?
Bava le renard, un petit mariol.
Bêlants, bergères, cabots, ça compte pour ballepeau,
Mézigue t’en file sa parole.
– Et bibi, dit alors un vioc bourricot.
D’un bout de champ, j’ai bouffé l’herbouze,
M’en fourrant plein le buffet sans lâcher un pélot ;
Ne trouvez-vous pas ça tartouze ?
– Si, bavèrent en chœur les bestiaux réunis ;
Tu dois te taper la pilule.
Et sans plus de chichis, le bourricot fut occis
Pour avoir été trop régul’
Moralité
Les gros ont tout l’affur’ : pognon, perlot, bifteack
Quant à celui qui trinque, c’est toujours le pauvre mec
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Un programme de substitution
– deuxième partie de soirée –
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