L'HORREUR À TOULON
UN CARTON CONTENANT UNE TÊTE TOMBE DU BALCON
Le carton finira bien par parler !
On sait déjà qu'il avait été méticuleusement sélectionné…
Et à part ça, Madame la Marquise ?
Bof… Pas grand chose à signaler… Rien que de routine…
Avec des coupures de 
du 2 fevrier
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Si vous suivez les conseils du Mot du Jour d'hier…
![](/blogs/media/blogs/blanchard/quick-uploads/p8265/image006_big.jpg?mtime=1608719326")
– Profitez des espaces extérieurs pour aérer
(Eventuellement Papy et Mamy pourront libérer la cuisine et manger la bûche sur le balcon…)
… méfiez-vous de l'amnésie post-biturale !
Canard Enchaîné – 23/12/2020
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Comme un sentiment d’insécurité
…bien sûr !
p.c.c S.OB
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L’avenir de l’Homme
Les trois Femen anti-Le Pen du 1er-Mai qui se sont affichées seins nus et bras tendu sur un balcon d'hôtel place de l'Opéra, en plein discours de la patronne du FN, ont de glorieuses aïeules !
« L'Assiette au beurre » du 28 avril 1906 publiait en l'honneur du 1er-Mai ce groupe de trois grâces tout aussi revendicatrices, réclamant la journée de huit heures pioche en main, immortalisées par l'affichiste anarcho-syndicaliste Jules Grandjouan.
À croire que la technique Femen de la revendication seins nus est une vieille tradition libertaire !
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Chronique hospitalière (5)
Point, contrepoint… (1 de 4)
Du temps de l’école primaire, une dictée réputée pour ses difficultés sournoises parlait des « jardins des demeures aristocratiques » (là, était le piège). La leçon de vocabulaire qui s’en est suivie a évoqué pour moi les frondaisons d’un parc luxurieux où l’ordonnancement étudié s’efface derrière le chatoiement des diverses essences. Avec évidemment les pépiements d’oiseaux et les « ronds par terre si beaux qu’on n’ose plus marcher ».
Et bien, mon jardin aristocratique, je l’ai trouvé !
Mais en place d’une maison bourgeoise,
c’est un établissement de santé qui s’offre cet écrin.
Centre de Gériatrie Sainte Thérèse, au Beausset
– Maison de repos et de convalescence spécialisée, soins de suite et réadaptation –
L'architecture n’est pas austère. Ni façades, ni pignons, mais des volumes décalés d’harmonieuses proportions que soulignent loggias, balcons et baies vitrées. Un bel ensemble, crépi à la rustique d’un ocre provençal et que viennent lécher les dernières grappes de lauriers roses.
J’aurais pu tomber plus mal pour endurer la réclusion que m’impose la mise en route de ma prothèse de hanche.
Entrons donc visiter ce que sera mon domaine pour les semaines à venir. (à suivre)
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