Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Les cinq étages
Pierre-Jean de Béranger – 1830
(chantée en 1955 par Germaine Montero, disque Pathé)
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Les cinq étages
Pierre-Jean de Béranger – 1830
(chantée en 1955 par Germaine Montero, disque Pathé)
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Ça y est, c’est l’été !
Ça planait en ce temps sur la plage de Goa.
À dix-huit ans à peine, cette beauté sylphide avait troqué son jean contre un paréo et piqué ses cheveux d’une fleur de lotus. Pour ajouter une touche de poésie à sa plastique triomphante, c’est un discret papillon rose et bleu qu’elle avait choisi de faire poser sur son épaule. Mais sous ce motif bucolique perçait aussi une action militante car non, décidément, le tatouage ne serait plus désormais l’apanage de trimardeurs machos !
Et puis… les années 80 sonnent la fin de la récré. On revient au pays puis…les choses de la vie. Métro, boulot, MacDo…Je l’ai rencontrée hier, à la caisse du supermarché. Tout en pestant contre l’oubli de sa carte de fidélité elle houspillait Bryan, son dernier petit-fils, qui dévalisait la corbeille des chamallows à tatoo.
Les premiers beaux jours avaient dénudé sa généreuse épaule : il s’était envolé le mignon papillon…
Ou bien avait-il été écrabouillé sous le cachet violine délavé qu’on appose sur les viandes de piètre qualité et qu’arbore désormais son épaule grassouillette ?
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