Tag: "bistrots"
Le Mot du Jour
soutient
le droit à la caricature
… et l’accès responsable aux bistrots !
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Bistrots de mon pays
La Cadière d'Azur – Var –
Texte de Var-Matin - 14 février 2017
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À la découverte de l'autre planète
Dans sa « carte postale » hebdomadaire, Mathieu Madénian m'apprend la signification du verbe « bruncher » :
« Manger une omelette à 40 euros et boire un jus d'orange à 25 euros sur un banc en bois, entouré de jeunes pères barbus avec leurs poussettes à trois roues ».
Il est vrai que le « jambon-beurre (avec cornichon ?) » a déserté le zinc de nos bistrots depuis belle lurette…
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Sociologie appliquée
Si Var-Matin fait souvent l'objet de sarcasmes de la part du Mot du Jour, il y a aujourd'hui une place d'honneur.
Il faut dire que je me sens concerné au premier chef par son sujet de fond. Une accroche sur quatre colonnes à la une et un dossier sur quatre pleines pages consacré aux vrais bistrots dont j'affectionne la convivialité.
De plus, le journal fait la part belle au Ritz qui a quelquefois été mentionné au Mot du Jour. Mon troquet favori dénote quelque peu dans l'image touristique d'un Sanary qui se pousse un peu du col au niveau de la branchitude.
Cet article me permet de ramener mes descriptions antérieures à leur juste valeur et de détromper qui se serait laissé abuser par l'enseigne de l'établissement et par sa proximité avec une joaillerie.
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Une aide sociale méconnue
Mesdames ! Un réseau de plus de 30 000 établissements à votre service !
Du côté de chez Rachel
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Mon cher Jean-Pierre,
Ne va pas croire que je fais de toi ma tête de Turc, m’enfin, quoi…
Dans ton journal d’hier, entre les grêlons gros comme des boules de billard et les lycéens qui préparent le bac tu nous as gratifiés d’une inhabituelle et très didactique rubrique économique. As-tu débusqué un scandale qui fera le buzz ? Veux-tu être le chevalier blanc du flipper ? L’avenir nous le dira. Mais pour lors, voici les faits :
Les flippers installés dans les bistrots de nos chères campagnes sont assujettis à une taxe annuelle de 5 euros ! Rien moins que ça !
Il y a là prétexte à fustiger l’incurie d’un État qui inflige des taxes dont le rapport est moindre que leur coût de recouvrement. Et qui noie les cabaretiers sous des tonnes de formalités administratives pour s’acquitter de cette fameuse taxe !
C’est beau comme du Philippe Bouvard ! Et l’on démontre là que nos institutions nécessitent un sacré dépoussiérage !
Mais,
Puisqu’on parle de machines à sous, de taxes et de profits j’aurais bien aimé que tu nous éclaires sur un autre aspect du problème : qu’en est-il du système fiscal afférent à d’autres bandits manchots installés, ceux-là, par centaines dans les casinos ?
Fidèlement à toi,
G.
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