Vacances !
Le pêle-mêle du paparazzi matinal
À l’heure fraîche où les belles-de-nuit montrent encore leurs corolles
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Vacances !
Le pêle-mêle du paparazzi matinal
À l’heure fraîche où les belles-de-nuit montrent encore leurs corolles
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Plaisirs d’été
Je ne sais trop à quelle activité nocturne interlope se livrent nos voisins vacanciers, mais ils échangent à (trop) haute voix des propos bien graveleux :
– Elle est bonne… J’te dis qu’elle est bonne !
– J’vais la tirer !
– Non, laisse-moi pointer d’abord !
(…) Elle va rentrer, elle va rentrer elle va rentrer !
– T’es trop court. Laisse-toi glisser, là, dans le creux.
Oui comme ça ! Encore, encore, encore… Voilà, c’est bon…
– T’es sûr qu’elle y est ?
– Attends, j’vais voir. Non, y s’en faut d’un poil.
– Tu vas pas chicaner pour deux centimètres !
– Laisse-moi faire, j’la tire !
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Y a-t-il un médecin sur le blog ?
Un neuro-psychiatre ou bien un thérapeute comportementaliste pourrait-il nous éclairer de son art sur un curieux syndrome que l’on constate plus particulièrement chez les populations vacancières et que l’on remarque plutôt de nuit :
–- Si l’on remet une boule de pétanque dans chaque main d’un individu lambda, il ne se passe que rarement plus de 30 secondes avant que le sujet ne se mette à les entrechoquer de manière compulsive.
C’est grave, Docteur ?
Est-ce curable ? Ré-éducable ?
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