C'était mieux avant…
…quand le Mistral, la nuit, secouait les volets
C'était soleil certain, dès lors qu'on se levait…
Aujourd'hui la bourrasque, dans le matin frileux
Ne nous apporte plus qu'un ciel calamiteux !
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C'était mieux avant…
…quand le Mistral, la nuit, secouait les volets
C'était soleil certain, dès lors qu'on se levait…
Aujourd'hui la bourrasque, dans le matin frileux
Ne nous apporte plus qu'un ciel calamiteux !
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JPP = 1 - France 2 = 0
Alors qu'un éventuel pet de lapin devait retentir à l'Élysée, j'ai déja exprimé ma compassion (c'était le ► 7 décembre 2016) pour la malheureuse journaliste qui doit affronter de jour comme de nuit le froid, le vent, la pluie, ou la neige au carrefour de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Mais lorsqu'une peccadille telle que "HH", alias ouragan Harvey se déchaîne sur le Texas, France 2 fait appel à :
— Jacques Cardoze bonsoir ! Vous êtes à… Washington…
Et pendant ce temps, l'envoyé spécial de Jean-Pierre Pernaut se balade dans la bourrasque sur les berges des cratères d’autoroutes affaissées ou se livre aux joies du canotage dans les rues de Houston…
Mais hier soir, sentant peut-être venir les railleries, Jacques Cardoze, dûment écussonné France 2, s'est décidé à allé ruiner son brushing et patauger dans les caniveaux de Houston… Sans doute pour « couvrir » l'imminente visite de Donald (Mais non, pas le canard… l'autre)
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Soulagement
Enfin !…Le remaniement a eu lieu… Comme il doit être soulagé ! Il va pouvoir reprendre le cours de ses activités normales et retrouver des conditions de travail plus dignes de sa fonction…
Je veux parler du correspondant permanent de France 2 à l’Élysée.
Depuis près de six mois, ce pauvre garçon passe sa vie planté à un carrefour. De jour comme de nuit. Nu-tête et en veston par n’importe quel temps. Hier soir encore, il bravait la bourrasque parisienne pour nous tenir informés « en temps réel ».
Ce courageux journaliste – lui et son confrère de l’Hôtel Matignon – méritent toute notre reconnaissance. Ayons pensée de gratitude pour ces braves qui planquent là où se passe l’action pour nous assurer une couverture immédiate des évènements les plus improbables.
Qu’ils en soient ici remerciés.
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