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Tag: "chocolat"
La Chanson du dimanche anticipée au vendredi
Parce que ça m'arrange !
La Chanson du Jour est tout spécialement dédiée à tous les parents d'élèves qui peuvent dès ce soir profiter pleinement de la présence de leurs chérubins H 24-7/7 et tenter de combler ainsi dix longs mois de frustration affective. Quant à vous, enseignants-gnantes, qui allez être confrontés ce soir au grand vide de la rupture, dites-vous que c'est une troupe ragaillardie et pleine d'entrain qui viendra étancher sa soif de connaissances au fruit de vos préparations estivales.
Bonnes vacances à tous !
Chocolat & cerises
Gilbert Laffaille – 1972
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Confucius en papillote
J'aime bien les deux !
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Une bonne résolution
Un soleil rieur dès le matin, depuis qu'il commence à remonter la pente… Vent nul malgré le Mistral prévu par des météorologues de mauvais augure… On frôle les 10 degrés dès 10 heures du matin…
Et pendant ce temps le reste de la France se console de la froidure en profitant de la féérie des petits matins givrés et en grattant son pare-brise.
Ce serait faire insulte à Dame Nature de ne pas lui vouer un pique-nique dans la colline.
Un petit sac à dos, un bout de pain frais, deux tranches de jambons et l'on rafle les derniers restes du nouvel an.
Et là, mon Jiminy Cricket personnel, travaillé au corps depuis le début de l'année par les adeptes de bonnes résolutions en tous genres, vient mettre son grain de sel et retient ma main au moment où je me vais me saisir d'une bien inoffensive bouteille de « Vieux Papes ».
Je mentirais si je prétendais ne pas ressentir une bouffée de fierté devant le courageux acte de sagesse que j'accomplis sans frémir en remplissant ma gourde au robinet de la cuisine !
Une poignée de kilomètres plus tard, adossé à un « cagnard » en ligne de crête avec vue sur mer, c'est le moment de savourer un bout de cette « heureuse année » débutante. Et de découvrir le contenu du sac à ripaille.
Sans craindre de vous mettre l'eau à la bouche (justement !) le banquet inclut un demi-camembert au lait cru qui a patienté juste assez pour être tartiné, des chocolats de fêtes accompagnés de cerneaux de noix et deux mandarines rescapées des agapes…
Pour peu qu'on y ajoute les odeurs de la garrigue, j'ai énuméré là tous les ingrédients nécessaires à la transmutation magique d'un « Vieux Papes » ordinaire en sosie de romanée-conti.
En biberonnant à ma gourde, je me suis copieusement traité de tous les noms d'oiseaux pour m'être à ce point laissé manœuvrer par l'endoctrinement subliminal des médias moralisateurs.
J'ai mentalement fait griller Jiminy façon criquet du désert…
Et j'ai pieusement ramené un quart de camembert pour déguster le soir, avec le verre de vin rouge tant fantasmé…
Ah, les bonnes résolutions…
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En croquant les dernières…
La légende veut que les papillotes soient nées à Lyon, rue du Bât-d'Argent, dans le quartier des Terreaux vers 1790, quand le jeune commis d'un confiseur eut l'idée, pour charmer sa belle qui travaillait à l'étage au-dessus, de lui envoyer des petits mots d'amour tortillés autour d'une confiserie.
La légende propose deux fins, l'une malheureuse et l'autre heureuse.
Selon la première, M. Papillot, le patron du commis, l'aurait surpris puis renvoyé, mais ayant trouvé l'idée des plus intéressantes, aurait décidé de la mettre à profit : la papillote était née. Selon la seconde, le commis épousa sa belle, qui n’était autre que la nièce de Sieur Papillot.
Il faut toutefois attendre l'année 1898 et la création de l'entreprise Révillon pour que le chocolat enrubanné prenne la route du succès qu'on lui connait.
Une légende de ma jeunesse précisée par Google
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Le retour du Designer fou
C’est dans un de ses domaines de prédilection que se manifeste à nouveau le Designer fou : le packaging (en anglais empaquetage).
Sans doute inspiré par les Veilleurs cathares de l’A61 (Aire de Pech Loubat), il a voulu recomposer sur mon plateau de petit déjeuner la discutable installation de Jacques Tissinier. Et il a remplacé l’habituelle et pas si mal pratique languette d’ouverture par un opercule(*) latéral au bas du paquet de mes Princes fourrés favoris (goût chocolat, retenez-ça !) Reconnaissons que l’évocation est très réussie.
Dans l’idée du Designer fou, l’on place cette ouverture en bas et ça fonctionne à la manière d’un distributeur, l’encoche étant égale au diamètre du paquet.
Mais :
Considérant qu’une caractéristique première des biscuits est la friabilité. Considérant que la douceur dans le mouvement n’est pas toujours une qualité première des manutentionnaires de la grande distribution et que celle des caissières n’est pas l’extrême précaution dans la manipulation des innombrables articles qui passent entre leurs mains, on comprendra qu’il n’est pas rare de tomber sur les quelques Princes pulvérisés qui enrayent la belle mécanique prévue par le concepteur. Et alors là, bonjour ! On ne s’en tire pas sans une paire de ciseaux pour pratiquer une césarienne au Veilleur cathare (qui s’avère donc être une veilleuse).
Et, sans être un inconditionnel du petit déjeuner au lit, j’imaginais les dégâts en récupérant les miettes éparses du Prince écrabouillé ! Quant aux derniers biscuits (ceux qui forment l’assise du totem) on retrouve le même dilemme, miettes ou ciseaux…ou bien encore les deux… ET balayette.
Allez, comme on dit sur France Inter :
Excellent réveil !
(*) Note pour Kévin, Jordan, Jenny et leurs semblables : Non, opercule n’est pas une insulte.
Note pour les autres : Oui, opercule est bien masculin, j’ai vérifié, vous pensez bien !
Le Mot du Jour (Bonus track)
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Le Designer fou a encore frappé
dans À table/Conditionnements.
Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page.
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N’ayez pas peur
Le Mot du Jour d’hier a pu laisser penser à certains (coucou Papivon !) que j’encourageais au péché de gourmandise. Dieu m’en garde !
Et ce d’autant moins qu’il se dit que, à la demande de grands Chefs français, le bon pape JP II aurait rétrogradé la gourmandise au rang des peccadilles ; laissant la place du péché capital à la gloutonnerie.
On me rapporte l’historiette d’un fidèle qui se serait brisé les dents sur des friandises chocolatées au sortir de la Messe de Minuit. Il ne faut donc pas voir là punition divine, mais plutôt négligence de dentiste !
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C’est si bon…
Reçu, dans ma boîte mails, (merci Tonton !) un de ces diaporamas aux superbes illustrations qui nous invite à une vie toute zen et nous donne quelques recettes pour accéder à ce nirvana. J’en ai extrait une vue que je vous fais partager.
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Cette image, collée sur votre frigo, aura sur vous le même effet que l’oraison de Saint Augustin sur le R.P. Gaucher :
C’est l’absolution pendant le péché !
► « L’élixir du Révérend Père Gaucher »Cliquez pour lire cet extrait des « Lettres de mon moulin », d'Alphonse Daudet
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À table !
Le 11 novembre au matin, sur France Inter, on causait gastronomie… et de ces tables où l’on sert la ratatouille niçoise froide dans un verre et le confetti de côte d’agneau dans un plat à barbe… Voyez le genre ? Brin de ciboulette et coulure de vinaigre balsamique (que j’ai longtemps pris pour une crème au chocolat Sodexho ; c’est bien de moi, ça !). J’ai péché cette sortie d’un des participants :
« Ces Chefs ne sont pas des cuisiniers, mais des plasticiens
dont la matière première est l’aliment ».
C’est pas faux ! dirait Perceval
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Des nouvelles du Designer fou (4/4)
Introduction de la Sous-tasse trébucheuse
Il est bien vrai que le carré de chocolat supposé justifier le prix exorbitant du petit noir est difficile à loger sur le pourtour d’une sous-tasse, avec la petite cuillère.
Le Designer fou nous place là encore sa solution de l’ovale gracieux.
D’une courbe parfaite, cette soucoupe offre un vaste plateau sur lequel la tasse aurait pu être posée un peu n’importe où par un garçon peu soucieux de respecter les ésotériques proportions du nombre d’or…
Prévoyant cet outrage à l’esthétique, le Designer fou a pourvu sa sous-tasse d’une légère empreinte en creux destinée à y centrer le fond de la tasse.
Las, à l’image de ces fausses marches d’escaliers sur lesquelles on butte immanquablement, ce dénivelé a pile-poil la juste hauteur pour être la plupart du temps négligé par le serveur en plein coup de feu des fins de repas…
Et il se confond une fois encore en excuses bredouillantes…
C’est un peu dommage car tout en se voulant originaux, les plats proposés sont composés à base des savoureuses spécialités rurales régionales et l’accueil y est cordial et simple.
Bref, en aucun cas un restaurant « Sodexho » comme pourraient le faire craindre sa classification en « Bar à bière – Pub – Brasserie », …et sa vaisselle !
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Le Designer fou a encore frappé
dans À table/Les dessous.
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