Tag: "cinéma"
La politique, quel cinéma !
« Les intenses négociations entre La France insoumise et le Parti socialiste, qui se sont poursuivies la nuit dernière, sont en voie de déboucher sur un accord ce mercredi, selon les deux parties ». (Le Parisien)
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Vive le crunch-crunch !
On a les indignations qu'on peut…
« Un cinéma sans pop-corn, c'est pas un cinéma, quoi » !
France Inter – Info de 19:00, hier
Milléniaux et Zoomers apprécieront la « choré », les costumes et la mise en scène de la télé sans pub – et en noir et blanc – de l’époque…
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Le théâtre, quel cinéma !
« Le théâtre, soyons juste, est un truc dépassé, inintéressant, vieillot.
Essentiellement, les comédiens sont des gens qui parlent fort dans un langage parfois alambiqué, les personnages sont limites : un vieil orphelin parle à un crâne, une grande gueule affublée d'un grand pif fulmine en alexandrins, une gamine légèrement attardée regrette la mort d'un petit chat… ».
C'est bon, François & Valentin Morel*, vous m'avez convaincu ! Je file voir « Matrix 4 » puisque « Les Tuche 4 » ne sont plus à l’affiche !
*Dictionnaire amoureux de l'inutile
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À l'époque des faits, le jeudi, on avait « cinéma éducateur ».
Hier, sur France 2, c'était une soirée de « télévision éducatrice »…
Elle mériterait d'être encore partagée si les diffuseurs l'autorisaient.
Aujourd'hui c'est Histoire de France
Décolonisations : du sang et des larmes.
Œuvre en deux parties de Pascal Blanchard et David Korn-Brzoza
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À pleins poumons…
Loin de moi l'idée de vouloir ternir l'image du monstre sacré… Mais…
Hier soir, cherchant à retrouver dans « Mortelle randonnée » la désinvolture de Guy Marchant et les rondeurs de Sophie Marceau tant chantées par Julien Clerc, je suis tombé – hommage posthume oblige – sur « Une étrange affaire ».
Serais-je poursuivi par le SEITA et tout ce que l'Imperial Tobacco compte de lobbies ?
Toujours est-il que la toute première réplique de Michel Piccoli, dont j'ai quelque peu décrié le penchant pour la cibiche dans le Mot d'hier a sonné pour moi comme une narquoise provocation personnelle :
« Vous n'auriez pas une cigarette ? »
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Vu (enfin !) à la télé
Hier soir, j'ai vu (je dis bien vu et non pas revu) le plus long spot publicitaire jamais diffusé pour une marque de cigarette. Je croyais la chose interdite, mais les cigarettiers savent y faire ! Et bien y faire ! Car ce clip de près de 90 minutes (!) est réalisé avec tant de soin qu'on pourrait le présenter en salle…
Il est consacré à la promotion de la “Celtique”, cette cigarette bien de chez nous (ou presque !), cette tige sans filtre de "gros cul" brun, d'un diamètre un peu supérieur à la moyenne, à l'odeur acre et tenace.
Le fil conducteur de cette pub' est la narration en images des états d'âme d'un séduisant quinquagénaire tiraillé entre son épouse, son fils, son pied-à- terre sur l'île de Ré et une pulpeuse beauté callipyge. On accroche le client par, justement, un plan de fesses, puis on le garde en haleine à travers des crissements de pneus de grosses bagnoles lancées à vive allure, puis, au final, l'inévitable scène de salle d'opération avec ses bips de monitoring… Du grand classique… Ce qui l'est moins, c'est l'apparition à chaque plan de cette satanée Celtique ! Dans la chambre à coucher, elle empeste sur la table de nuit. Elle reste à portée de main sur la planche de bord de la berlinette où elle se partage avec un copain, toutes vitres closes… Elle se fume au petit-déjeuner, au bureau, en tapant à la machine… Partout ! Au restaurant, elle mélange ses volutes à celles des autres convives. Une conversation dans l'intimité d'un salon ou d'une chambre ne peut se tenir que cigarette aux lèvres. Mieux : tout au long de la présentation, elle ne s'allume qu'avec le mégot de la précédente ! Du moins quand le mégot est assez long pour le permettre…
Cette longue publicité est tellement bien faite que le fumeur repenti que je suis avait encore ce matin le goût du tabac froid en bouche !
Mais les cinéphiles m'auront démasqué depuis longtemps…
Oui, j'ai découvert « Les choses de la vie » sur Arte ce dimanche soir.
Rien d'étonnant à ce que ce film ait fait un tabac !
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Ça s'entend pas, ça s’écoute !
Mettez-vous bien ça dans la tête !
Les trilles acidulés de l'harmonica devraient faciliter l'intrusion de ce leitmotiv jusqu'à votre cortex auditif pour y séjourner jusqu'à l'année prochaine…
Le Rififi
Larry Adler – 1955
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Le « César » du Mot du Jour
Toujours est-il que les mannes de l’enfant de la jungle avaient peut-être exacerbé en moi un genre de sixième sens qui m'a dicté d’abandonner la meute au bout de deux ou trois jeudis… Je vous raconte ça aujourd'hui car ces réminiscences ont ressurgi après être allé au ciné voir le film « Grâce à Dieu ». Le Mot du Jour ne fait que rarement de la publicité (gratuite), alors jugez-en par vous-même et, comme on dit en Yonnais,
« Allez-y don voir ! »
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Une piqûre de rappel
Ça ne peut pas faire de mal par les temps qui courent…
Après que Jean-Pierre Pernaut m’eût informé des vicissitudes du monde aussi bien que des derniers potins du marché de Méailles (05) j’ai zappé sur Arte qui m’a accroché la rétine…
Bref, hier après-midi, j'ai abandonné le chantier…
Je ne le regrette pas.
Mélancolie ouvrière. Les 15 premières minutes
Vidéo 15 mn 5 s.– Lucie Baud (Virginie Ledoyen) est une figure oubliée de la lutte ouvrière. À travers une fiction engagée et émouvante, Gérard Mordillat, s’appuyant sur le travail de l’historienne Michelle Perrot, retrace le destin d’une des premières femmes syndicalistes, féministe avant l’heure. L'émotion passe par la musique de Jean-Claude Petit, fidèle complice du réalisateur, et la place qu’elle accorde aux chansons fredonnées ou chantées par les personnages, qui du Temps des cerises au Va, pensiero de Verdi, se font les miroirs de leurs sentiments. |
Va Pensiero (Nabucco de G. Verdi)
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Paris brûle-t-il ?
Pour vous mettre une valse en tête…
tout en vous épargnant Mireille Mathieu
René Clement – 1966
Musique Maurice Jarre
À force de puiser dans la cinémathèque personnelle du Mot du Jour, la B.O du Dimanche va bientôt l'épuiser et j'ai de plus en plus de mal à retrouver le souvenir de bobines dignes d'intérêt… Aussi, la B.O du Dimanche cèdera-t-elle progressivement la place au « Juke box dominical ». On y trouvera sans doute moins de rengaines entêtantes, mais il faudra parfois y prêter une oreille plus attentive… Merci de votre fidélité !
G.B
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Bagdad cafe
Pour un autre regard sur l’Amérique…
et la voix de Jevetta Steele
Percy Adlon – 1987
Synopsis
Le sable, la chaleur, aucune âme qui vive à des kilomètres à la ronde. Et pourtant, ce Bagdad-là se situe bien en Californie, quelque-part au milieu de nulle part, dans le désert de Mojave.
C'est l'histoire de Brenda, la propriétaire. Une femme à vif, autoritaire, désabusée. Elle vient de virer son paresseux bonhomme lorsque débarque cette grosse allemande très chic, à pied dans le désert brûlant, comme sortie de nulle-part. Tout sépare ces deux femmes.
Elles vont pourtant s'apprivoiser et l'étrange Jasmin Münchgstettner va progressivement organiser sa vie autour de ce hameau perdu, carrefour des « truckers », des routards, des artistes, des paumés, des saltimbanques et autres originaux en tous genres.
Le film est bercé par la voix envoûtante de Jevetta Steele interprétant « Calling You », une composition de Bob Telson nommée aux oscars en 1989.
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C’est pas la crise de la presse sur la côte méditerranéenne !
Ce 10 mai, Var-matin ne sait plus où donner de la tête ! Partenaire de Jean-Pierre Pernaut pour l'organisation du concours du plus beau marché de France, le journal se devait de consacrer sa une à l'évènement de Sanary… plus les deux pleines pages 2 et 3…
Le Festival de Cannes a droit lui, au milieu du journal, à son cahier spécial avec Penélope Cruz dans les pages du milieu, comme ça se faisait jadis dans Playboy… mais en bien plus sage.
Et puis – au diable l'avarice – au milieu du Cahier spécial Festival de Cannes, on loge un autre cahier spécial Grand Prix de Monaco… la double page du milieu revenant à une belle carrosserie, celle de la Lotus 80 de Mario Andretti !
Ajouter à ça l’annonce du prochain séjour de Manu et Brigitte à Brégançon et tournez rotatives !
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Les canons de Navarone
Pour tous ces films héroïques des belles années 60…
Jack Lee Thompson – 1961
Synopsis
En 1943, les forces de l'Axe tiennent la mer Égée, rendant impossible l'évacuation de deux mille soldats britanniques, bloqués en Grèce occupée sur l’île de Kéros.
Le détroit de Navarone, leur unique issue, est sous le feu de deux gigantesques canons de marine, installés sur l'île de Navarone. La seule solution des Alliés est d'envoyer un commando de choc composé de soldats anglais et grecs, avec pour mission de les faire sauter.
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Pour la gaffe du petit Roberto…
LE CLAN DES SICILIENS
Henri Verneuil – 1969 – Musique Ennio Morricone
La gaffe de Roberto
— On dirait tata Jeanne avec M. Sartet !
— Il est fou ! Qu'est-ce que tu vas inventer encore ? Vous n'allez tout de même pas croire un enfant ?
— C'est vrai !
— Roberto arrête de dire des bêtises, c'est très vilain de mentir !
— C'est pas des mensonges ! Même que tata Jeanne m'a dit de ne rien dire.
— Ça suffit maintenant, viens te coucher !
— C'est la vérité, ils étaient tous les deux sur la plage derrière le rocher comme le monsieur et la dame dans la télévision.
— Mais enfin, vous voyez bien, qu'il dit n'importe quoi !
— Taisez-vous !
— (en italien) Aldo, fais-la sortir.
— Aldo, tu sais que c'est faux.
— Fous le camp !
— Vous m'avez toujours détestée. Alors bien sûr, les racontars d'un gosse, ça vous arrange.
— (en italien) Emmène-le se coucher.
— (en italien) Luigi, appelle Tony Nicosia à New York. On va gérer ça en famille.
— Qu'est-ce que tu vas faire ?
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