Et gna-gna-gnan… et gna-gna-gnan… et gna-gna-gnan…
Y a rien à faire, faut qu'ils fassent leur cour au Roi Covid et qu'ils en parlent à longueur de journée…
Et ils vont pour cela chercher les angles d'attaque les plus biscornus.
Ainsi ce matin, en beurrant ma tartine, j'ai eu droit à une dissertation philosophique sur « la problématique des interactions sexuelles parmi la communauté LGBT dues au confinement et ses répercussions sur la banalisation du “coup d'un soir” ». Sans oublier l'inévitable et oh combien racoleur couplet sur le désir féminin…
Grâce à des photos de notre envoyé spécial infiltré sous la couverture de photo-reporter à Paris Match, le Mot du Jour est en mesure de vous dévoiler que
Au risque de se faire épingler au pilori du « Coin des Piqueurs », le Mot du Jour se plait à vous faire partager les créations linguistiques coronavirussées relevées ces dernières semaines par J.-L. P (Jean-Luc Porquet ?) du Canard Enchaîné.
Je dédie cette petite valse guillerette à tous mes congénères « à risque », pour donner à ce temps de sortie progressive de confinement un parfum d'adolescence brindezingue en compagnie d'Edmond Xaruf, de Malvina, Comtesse de Roudibesco, de Leon Klakmuf, du Pr Hardy-Petit, sans oublier le Frère Maklouf et Coriolan, son escargot dextrogyre et siffleur…
Petit cours d’histoire : Imaginez : on est lundi 15 octobre 1951, il est 1 h 10 et le journal parlé (comprendre les informations) vient de s’achever sur la Chaîne Parisienne RTF. Commence alors un feuilleton délirant dont le titre est devenuMalheur aux Barbus et qui durera 213 épisodes pour se terminer le jeudi 19 juin 1952. Les nouvelles qui suivent les informations sont assez effrayantes puisqu’on apprend que 643 barbus viennent de disparaître et que désormais tous ceux qui portent barbe, collier ou même bouc ne sortent plus dans la rue sans leur cache-nez. Derrière toutes ces disparitions se cache le sinistre Edmond Furax que seule sa compagne Malvina, et encore, peut tenter de calmer. C’est ainsi que commence la série : Signé Furax.
Après correction par mes soins de ce que je croyais être une faute de frappe dans le titre, je reçois de Guy le mail suivant : « On ne change pas un mot à un grand classique ! Indibutablement !https://youtu.be/QlqCWWwNJn8 Minute 4:30. » Dont'act ! Jeff
Au risque de se faire épingler au pilori du « Coin des Piqueurs », le Mot du Jour se plait à vous faire partager les créations linguistiques coronavirussées relevées ces dernières semaines par J.-L. P (Jean-Luc Porquet ?) du Canard Enchaîné.
Au risque de se faire épingler au pilori du « Coin des Piqueurs », le Mot du Jour se plait à vous faire partager les créations linguistiques coronavirussées relevées ces dernières semaines par J.-L. P (Jean-Luc Porquet ?) du Canard Enchaîné.
Au risque de se faire épingler au pilori du « Coin des Piqueurs », le Mot du Jour se plait à vous faire partager les créations linguistiques coronavirussées relevées ces dernières semaines par J.-L. P (Jean-Luc Porquet ?) du Canard Enchaîné.
Beaucoup de choses dans cette vignette en 4x3 (centimètres) d'Escaro… jusque dans sa signature où l'on trouve un hôtelier (borgne ?) et une maison (bien tenue) chère à Maupassant !
Au risque de se faire épingler au pilori du « Coin des Piqueurs », le Mot du Jour se plait à vous faire partager les créations linguistiques coronavirussées relevées ces dernières semaines par J.-L. P (Jean-Luc Porquet ?) du Canard Enchaîné.