Vous en reprendrez bien une p'tite lichette…
Des couteaux pour trancher
Le pain de l'Amitié…
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Vous en reprendrez bien une p'tite lichette…
Des couteaux pour trancher
Le pain de l'Amitié…
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Totor & Jojo (2)
En 1955 déjà, Brassens s'attachait à la mise en valeur de Victor Hugo…
À cette époque, il m'avait fallu bien du temps pour déchiffrer :
« Vraiment la reine eut près d'elle été laide
Quand vers le soir
Elle passait sur le pont de Tolède
En corset noir »
D'autant que j'entendais « Encore c'est noir » !
Pour détendre un peu l'atmosphère, on peut aussi, à la manière de Jacques Offenbach, parodier les deux derniers vers du refrain :
« Le vin qui mousse à travers la Champagne
Me rendra fou ».
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Le Mot du Jour — Monde — 9 janvier 2019
Le Conseil des Peuples Amérindiens, réuni à Albuquerque, Nouveau Mexique, a décidé d'offrir une amnistie partielle à environ 220 millions d’immigrants blancs illégaux vivant aux États-Unis. Le problème « blanc » est au cœur de nombreux débats dans la communauté amérindienne depuis des siècles, et les chefs de la communauté ont décidé que le moment était venu de le traiter correctement.
De notre correspondante LNB, d'après le site The Daily Currant
Crédit photo : Sergei Bachlakov / Shutterstock.com
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« Ah ! Est-ce qu'en tombant à terre, Les toros rêvent d'un enfer
Où brûleraient hommes et toreros défunts… »
« Le jeune torero espagnol Victor Barrio, 29 ans, est mort, samedi 9 juillet, lors de la feria de Teruel (centre-est de l’Espagne), devant des milliers de spectateurs. L’infirmerie des arènes a constaté la mort quelques heures après que ce dernier a reçu un coup de corne du côté droit du thorax, a précisé Tauroemocion, l’entreprise organisatrice. Selon les médias espagnols, il s’agit de la première mort d’un torero depuis 1985 ».
L'article du Monde ne précise pas si le taureau a été abattu en représailles…
Titre de Jacques Brel
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1er mai
Au détour d’un journal télévisé, j’ai appris qu’un match de football suffisamment important pour qu’on l’annonce à la télévision nationale française devait prochainement opposer Barcelone à Madrid.
Le journaliste de service profite de la transition qui lui est offerte pour enchainer avec l’antienne de la dette nationale espagnole, la contagion à la France, le naufrage de l’Europe, et tutti quanti. Parmi la litanie de milliasses d’euros qu’il est alors amené à égrener, et sans doute pour la rendre plus accessible à notre compréhension de gagne-petit, il en vient à citer les abyssales dettes, fiscales, entre autres,…
… du Barça, club de Barcelone et du Real, club de Madrid.
J’ai cru comprendre que les deux clubs réunis trainaient une ardoise dépassant le demi-milliard d’euros. J’espère tout de même qu’il reste à ces deux clubs de luxe de quoi verser leurs salaires à leurs glorieux joueurs.
Les supporters ibériques, si prompts à s’indigner, trouveront sans doute quelques compensations à leur régime de rigueur en regardant quelques multimillionnaires jouer au ballon.
Il est vrai que le peuple espagnol avait peut être épuisé sa réserve d’indignation à dénoncer les 37 000 Euros dépensés indûment par leur infâme souverain pour une indigne chasse au pachyderme.
C’est pas chez nous qu’on verrait ça !
Gilbert Laffaille – Le Président et l'éléphant (1977)
Ah, si !
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