Ceci n'est pas un Mot du Jour…
… mais une blagounette qui circule sur le Net, que je trouve digne d'être élevée à ce rang
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Ceci n'est pas un Mot du Jour…
… mais une blagounette qui circule sur le Net, que je trouve digne d'être élevée à ce rang
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Une piqûre de rappel
Ça ne peut pas faire de mal par les temps qui courent…
Après que Jean-Pierre Pernaut m’eût informé des vicissitudes du monde aussi bien que des derniers potins du marché de Méailles (05) j’ai zappé sur Arte qui m’a accroché la rétine…
Bref, hier après-midi, j'ai abandonné le chantier…
Je ne le regrette pas.
Mélancolie ouvrière. Les 15 premières minutes
Vidéo 15 mn 5 s.– Lucie Baud (Virginie Ledoyen) est une figure oubliée de la lutte ouvrière. À travers une fiction engagée et émouvante, Gérard Mordillat, s’appuyant sur le travail de l’historienne Michelle Perrot, retrace le destin d’une des premières femmes syndicalistes, féministe avant l’heure. L'émotion passe par la musique de Jean-Claude Petit, fidèle complice du réalisateur, et la place qu’elle accorde aux chansons fredonnées ou chantées par les personnages, qui du Temps des cerises au Va, pensiero de Verdi, se font les miroirs de leurs sentiments. |
Va Pensiero (Nabucco de G. Verdi)
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À chacun son (Père) Noël
Pierrot, pour croire en l'avenir de l'Homme, se fabrique un Noël féministe…
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4 novembre - - Fayotage
Je ne sais pas, j'étais sur un autre Western, mais le sujet a-t-il été abordé ?
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Le poète n'a pas toujours raison
Mon zapping en slalom d'hier soir m'a encore conduit sur la chaîne de la boxe. C'est un Championnat du monde par semaine… Et celui-ci opposait des « féminines » (c'est bien comme ça qu'on dit dans les milieux sportifs, je crois ?). Passons les détails. Au final, une pommette dans chaque camp. C'est la pommette gauche qui a été sacrée Championne du monde.
Au vu des charmants minois de ces dames à la proclamation des résultats, je me suis posé une question quasi philosophique : le port de gants de boxe n'est-il pas en complète contradiction avec le but du jeu ?
Et que les pétroleuses du féminisme me pardonnent, mais je trouve ce sport encore plus dégradant au féminin.
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La fatuité qui est la leur
Une nouvelle entrée au répertoire des difformités infligées à notre langue par l’engeance politico-médiatique.
Il leur fallait déjà énoncer systématiquement les deux genres, et surtout prendre bien soin de laisser la priorité au féminin. Outre le fait que cet automatisme leur laisse le temps de la réflexion, ils pensent ainsi se donner des allures de tribun… Et passer pour des féministes convaincus. Faux-culs !
Ils ne veulent maintenant surtout pas que l’on décèle en eux l’accapareur avide ou l’incorrigible égocentrique. Aussi nos bateleurs modernes ont-ils définitivement banni l’usage de l’adjectif possessif.
Mon, ma, deviennent de basses grossièretés. Il semblerait à leurs yeux que le pronom possessif le mien, la mienne, rejette l’infamie de la possession sur le passif objet possédé… Tout en allongeant la durée du discours, ce qui est toujours bon à prendre…
Mon indignation devant cette nouvelle enflure du discours démagogique devient donc l’indignation qui est la mienne.
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La Citation du Jour est
pêchée sur les ondes du « Crumble » de France Inter
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« Une femme sans homme c’est comme un poisson sans bicyclette ! »
Slogan féministe des années 70
(Profitez en, les filles, ça m’arrivera pas tous les jours !)
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