Pour un dimanche la fleur aux dents…
Mon oncle Benjamin
Édouard Molinaro-1969
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Pour un dimanche la fleur aux dents…
Mon oncle Benjamin
Édouard Molinaro-1969
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Ne voulant pas être en reste, et pour participer à la vague de Petit Prince qui va déferler sur nos écrans,
Le Mot du jour fait son cinéma
Un film
Avec Jean Rochefort.
Sur un scénario original d’Antoine de Saint-Exupéry
Adaptation par
Les boloss des Belles Lettres
LA LITTERATURE POUR TOUS LES WALOUF
PAR @VALTUDINAIRE ET @MICHEL_PIMPANT
C’est un beau gosse, aviateur. qui se crashe dans le désert torride du Sahara. Il essaie de faire son MacGyver avec trois allumettes et un rouleau de PQ pour réparer sa carlingue mais ça marche pas du tout. Alors il tape la pose comme un bolos et le lendemain un p’tit keum lui dit tout de go “dessine moi un mouton, gros !”
Tagada Jones, il dit OK ! Il tatanne des moutons façon Botticelli ou Picasso, mais le p’tit homme il dit “Ah ! C’est d’la merde ça mon frère ! T’es aussi doué que ma teub”. Alors l’aviateur il est tellement zéèsse (?) qu’il lui photoshope une caisse en bois et il dit “Tu sais quoi, p’tite merde, ton mouton il est là dedans ! Alors viens pas m’faire chier !” Mais le minot, en fait, on découvre que c’est le P’tit Prince des savoureux gâteaux au chocolat qui te donnent la force et l’énergie pour aller à la piscine. Le P’tit Prince, qui se fait chier sur son astéroïde, faut s’mettre à sa place. Il ramone des volcans. C’est une métaphore de la teuch. Et il coupe des baobabs à longueur de journées C’est une métaphore de la teub. Il se fait tellement chier qu’il s’arrache pour tester la sérénité et l’amitié fraternelle avec des inconnus style y en a un il allume les réverbères. C’est un gars de la DDE. Il en branle pas une. Il croise même un renard qui se la joue gros philosoque bouddhique. Bat les couilles la vraisemblance ! Après son biopic, le P’tit Prince et l’aviateur se font un feu de camp en mode de Brokeback moutain. Et le môme y dit “Ah dis, Top Gun, c’est pas que j’m'emmerde, mais j’dois arroser mes bégonias. Garde la pêche ! Kiss !” Et il s’évanouit dans l’hyper-espace.
C’est l’ingénuité des temps modernes.
C’est silos (?), ça pousse dans mon stylo
C’est la faucon millénium qui alunit sur wikipedia
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Fleur de pare-brise
Un peu de réconfort pour nos amis de Rhône-Alpes, Bretagne, Centre… Manière de leur prouver qu’ils n’ont plus le monopole de saisons humides…
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Dévotement vôtre…
► Fan (admirateur) est un ► anglicisme (abréviation de fanatic, du ► français ► fanatique)
Dix ans après… On en parlait encore dans le journal…
et les portraits ne manquaient pas sur le pont de l’Alma…
« Il y a dix ans, les bouquets de fleurs s'étaient amoncelés là comme tombent les feuilles en automne. Aujourd'hui, les roses sont plus discrètes. Mais l'engouement, lui, a clairement repris. Depuis un mois, les portraits de Lady Di refont surface. Des graffitis au feutre noir, déclinés dans toutes les langues, ne se comptent plus sur le marbre entourant la flamme. Une sexagénaire esquisse discrètement un signe de croix.
Elle dépose une orchidée, puis s'échappe sur les quais de la Seine ».
Paru dans Ouest-France, pages Informations générales, le 31 août 2007)
Et voilà qu’aujourd’hui cette affiche est sacrilège…
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4 février – St Valentin
La Recette du Jour
GUIMAUVE À L'EAU
DE FLEUR D'ORANGER
INGRÉDIENTS
10 g de feuilles de gélatine
210 g de sucre semoule
40 g de sirop de glucose
60 g de blanc d'œufs
6 cl d'eau
1 c à s d'eau de fleur d'oranger
1 c à s de sucre glace
1 c à s de maïzena
PRÉPARATION
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Ça y est, c’est l’été !
Ça planait en ce temps sur la plage de Goa.
À dix-huit ans à peine, cette beauté sylphide avait troqué son jean contre un paréo et piqué ses cheveux d’une fleur de lotus. Pour ajouter une touche de poésie à sa plastique triomphante, c’est un discret papillon rose et bleu qu’elle avait choisi de faire poser sur son épaule. Mais sous ce motif bucolique perçait aussi une action militante car non, décidément, le tatouage ne serait plus désormais l’apanage de trimardeurs machos !
Et puis… les années 80 sonnent la fin de la récré. On revient au pays puis…les choses de la vie. Métro, boulot, MacDo…Je l’ai rencontrée hier, à la caisse du supermarché. Tout en pestant contre l’oubli de sa carte de fidélité elle houspillait Bryan, son dernier petit-fils, qui dévalisait la corbeille des chamallows à tatoo.
Les premiers beaux jours avaient dénudé sa généreuse épaule : il s’était envolé le mignon papillon…
Ou bien avait-il été écrabouillé sous le cachet violine délavé qu’on appose sur les viandes de piètre qualité et qu’arbore désormais son épaule grassouillette ?
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