À force de m'étonner des bizarreries de l'expression écrite des divers rubriquiers de Var-matin je finis par admettre qu'ils ont tous eu le même professeur à l'École de Rédacteurs de Var-Mat'. Sans doute un rescapé de l'OuLiPo, Promotion Francis Blanche, Section Signé Furax… Encore un effort, les gars, vous aurez droit à la mention « San-Antonio », mais va falloir vous surveiller !
« Ayoub n'est pas venu au tribunal correctionnel pour convoler en justes noces mais pour assister au procès de ses agresseurs. Quatre prévenus tirés à autant d'épingles qui sont, selon le ministère public, à l'origine de ses lésions cérébrales irréversibles ».
Un retour sur les tout premiers airs qui sont venus s'installer à mon insu dans le juke-box qui s'allume quelquefois à l'improviste entre mes deux oreilles…
Je dédie cette petite valse guillerette à tous mes congénères « à risque », pour donner à ce temps de sortie progressive de confinement un parfum d'adolescence brindezingue en compagnie d'Edmond Xaruf, de Malvina, Comtesse de Roudibesco, de Leon Klakmuf, du Pr Hardy-Petit, sans oublier le Frère Maklouf et Coriolan, son escargot dextrogyre et siffleur…
Petit cours d’histoire : Imaginez : on est lundi 15 octobre 1951, il est 1 h 10 et le journal parlé (comprendre les informations) vient de s’achever sur la Chaîne Parisienne RTF. Commence alors un feuilleton délirant dont le titre est devenuMalheur aux Barbus et qui durera 213 épisodes pour se terminer le jeudi 19 juin 1952. Les nouvelles qui suivent les informations sont assez effrayantes puisqu’on apprend que 643 barbus viennent de disparaître et que désormais tous ceux qui portent barbe, collier ou même bouc ne sortent plus dans la rue sans leur cache-nez. Derrière toutes ces disparitions se cache le sinistre Edmond Furax que seule sa compagne Malvina, et encore, peut tenter de calmer. C’est ainsi que commence la série : Signé Furax.
Après correction par mes soins de ce que je croyais être une faute de frappe dans le titre, je reçois de Guy le mail suivant : « On ne change pas un mot à un grand classique ! Indibutablement !https://youtu.be/QlqCWWwNJn8 Minute 4:30. » Dont'act ! Jeff
Et encore ! Je ne vous inflige pas l’interprétation de Mireille Mathieu… Ni la version originale Djinn Goebbels(ℹ)Jingle Bells, chant de Noël américain.… Et vous avez (provisoirement ?) échappé au Ouiouichiou(ℹ)We Wish You a Merry Christmas, chant de Noël anglais. !