Le Soudard
Jean-Claude Darnal – "télé-chanson" télé Luxembourg/ 1955
Encore une chanson de Colonie de vacances…
J'aime bien la grenouille mimée de la main gauche J
Article apparenté : ► Dim 11.11.2018. La Chanson du Dimanche (Aux morts)
Tag: "guerre"
La Chanson du Dimanche
Par Anne Vanderlove, (1943 – 2019)
Quand Vietnam s'appelait Indochine
Anne Vanderlove – 2005
Quand Vietnam s'appelait Indochine/Écoutez-moi/Il y avait déjà la guerre/Écoutez-moi
Et des enfants le cul par terre/Tout nus en larmes dans la poussière/Pleuraient sur toutes les photos
Dans les journaux/Pleuraient sur toutes les photos/Dans les journaux
Y a-t-il vingt trente ou cent ans/Écoutez-moi/Peut-être aussi bien dix mille ans/Écoutez-moi
Il y a toujours eu la guerre/Et des enfants dans la poussière/On n'a pas écrit leurs sanglots
Dans les journaux/On n'a pas écrit leurs sanglots/Dans les journaux
J'ai entendu une maman/Écoutez-moi/Chanter en berçant son petit/Écoutez-moi
Il y a toujours eu la guerre/Ton héritage est une terre/D'ossements et de trous pleins d'eau
Voilà ton lot/Des ossements des trous pleins d'eau/Voilà ton lot
Elle chantait au bord d'une route/Écoutez-moi/Hanoï Saïgon la déroute/Écoutez-moi
Son enfant mort serré contre elle/Des avions déchirent le ciel/Le soleil se couche il fait beau
Dit la radio/Le soleil se couche il fait beau/Dit la radio
La radio dit chaque matin /Écoutez-moi/Je pense pour vous tout va bien/Écoutez-moi
Pendant ce temps-là c'est l'enfer/Pour le pétrole l'or les frontières/Des pointillés sur un tableau
Des numéros/Des pointillés sur un tableau/Des numéros
Du Nord au Sud et d'Est en Ouest/Écoutez-moi/La mort l'absurde font la loi/Écoutez-moi
Si l'on posait les armes à terre/Si tous les hommes étaient frères
Les enfants de toutes les couleurs/Feraient comme un bouquet de fleurs/Jaunes et blancs rouges et noirs
Les enfants de toutes les couleurs/Feraient comme un bouquet de fleurs
Et ça s'appellerait l'espoir
Source : Musixmatch
Paroles : Anne Vanderlove
Prix Pulitzer : la guerre du Vietnam sous l'objectif de Horst Faas
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Le lamento du samedi
► Le "Moskva" coulé : une défaite militaire et symbolique majeure pour Poutine
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Une prédiction facile
Et puis les adultes sont tellement cons
Qu'ils nous feront bien une guerre…
Dans « Fernand ». Jacques Brel, 1965.
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Solidarité Azur & Or
Je brûle mon visa russe........ et je mange ma chapka !
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Je regarde trop la télé
Hier, j'avouais ici trop regarder les Journaux télévisés… Ils tournent au catéchisme… Mais pour le compte de quel Grand prêtre ? Peu importe, la litanie est toujours la même :
Hausse des prix ; hausse des carburants et de l'électricité ; tribulations des candidats à la Présidence ; une guerre imminente et une catastrophe environnementale.
Et le tout baigné de violence, de violence et encore de violence.
Et, pour finir, des chatons mignons, des bébés rieurs, une belle forêt enneigée ou un coucher de soleil exotique.
En son temps, Georges Brassens avait sans doute relevé des techniques de com' similaires :
« Si vous y tenez tant parlez-moi des affair's publiques,
Encor' que ce sujet me rende un peu mélancolique,
Parlez-m'en toujours, je n' vous en tiendrai pas rigueur…
Parlez-moi d'amour et j' vous fous mon poing sur la gueule,
Sauf le respect que je vous dois »
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La chanson du Dimanche
– Je vais revoir ma blonde –
Cette chanson est interprétée cette année 1956 par plusieurs interprètes : Yvette Giraud, Eddie Constantine, Lucien Jeunesse, Charles Gentès et Dario Moreno. Au temps de la guerre d’Algérie, c'est le retour de la chanson de conscrit.
Le thème choisi est l’envie du soldat de revenir du front et de retrouver sa fiancée, sa douce, sa promise. Il faut rappeler que cet été est le premier été de la guerre d’Algérie. Les conscrits sont appelés en renfort pour prêter main forte aux engagés.
En complément : la version originale, avec les fifres et les tambours… mais sans les vers luisants ! :
The Yellow rose of Texas
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Ça ne finira donc jamais…
Hier, au journal télévisé, des images d'actualité m'ont rappelé de récentes et saintes lectures… Il semble que l'on veuille à toute force rajouter à l'Ancien Testament un livre plus contemporain.
* Ad maiorem Dei gloriam ou AMDG (« Pour une plus grande gloire de Dieu ») est la devise des membres de la Compagnie de Jésus, autrement dit les Jésuites.
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posted on Jan 27, 2021 par guy dans Le mot du jour, Presse, livres, imprimés, Radio, Télé, Actualité
« Quand on a que des mots à offrir, autant fermer sa gueule ! »
| « Il a raison. Quand on a que des mots à offrir, autant fermer sa gueule ! » C'est ainsi que Loup, fils de Bazil, dit « le Hun blanc » morigène son frère d'armes, Otto, fils de Sunno. Ce n'est pas son jour à Otto… Il vient de se faire méchamment rabrouer par un croquant tout juste rescapé d'une guerre entre Francs Ripuaires et Francs Saliens qu'il tentait de consoler d'avoir tout perdu en lui conseillant de relativiser ses misères… Et Loup lui en remet une couche… |
Cette sentence ponctue l'anecdote relatée par François Cavanna dans son roman « Le dieu de Clotilde » (Albin Michel – 2000).
Ne serait-elle pas à méditer par tout ce que la République compte de spécialistes de la larme de crocodile qui viennent suinter leur compassion de façade a toute occasion, pourvu qu'elle soit abondamment médiatisée ?
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Papy ramène sa science
Déjà pas très convaincu par l'explication alambiquée du « sang impur », à force d'entendre brailler « l'étendard sanglant », j'ai voulu en savoir plus…
« Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé »
Et la ponctuation, bordel !
La Marseillaise fut écrite par Claude Joseph Rouget de l'Isle, dans la nuit du 25 au 26 avril 1792, suite à la déclaration de guerre à l'Autriche cinq jours avant. Elle portait initialement le nom de « Chant de guerre pour l'armée du Rhin ».
Un peu de grammaire. Rouget de L'Isle était un poète et avait donc l'art de sacrifier le sens à la rime et à la métrique :
« L'étendard sanglant de la tyrannie est levé contre nous » devient : « Contre nous, de la tyrannie, l'étendard sanglant est levé ». (Le sens ne tient qu'à deux virgules)
Réponse : Le drapeau autrichien
Un peu d'histoire. Une légende attribue la paternité du drapeau à Léopold V, duc de Babenberg : au cours de la bataille d’Acra contre les Maures en 1191, la chemise du duc aurait été tâchée de sang, à l’exception de la partie centrale protégée par une ceinture. Le vêtement aurait alors été brandi par le duc comme bannière.
C.Q.F.D
Source : Google
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À quelque chose, malheur est bon !
D’après Vuillemin in Charlie-Hebdo
Machines de guerre
Le Cheval de Troie Le char d'assaut de Léonard
Le Cygne de Paris
Poésie, quand tu nous tiens !
VAE VICTIS
Éviter les mots à connotation négative,
c'est quand même plus sexy !
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11 novembre
Guerre 1914-1918
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Population (en millions) |
Pertes militaires |
Pertes civiles |
Total |
Blessés |
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39,6 |
1 397 800 |
300 000 |
1 697 800 |
4 266 000 |
France1 697 800 morts : env. 8 Bataclan par jour, chaque jour pendant 4 ans.
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11 novembre – Quelle connerie, la guerre !
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