Solidarité Azur & Or
Je brûle mon visa russe........ et je mange ma chapka !
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Épiphanie
Imaginons que ce soient des Reines Mages
au lieu de Rois Mages…
Mais, sur le retour…
– d’après une blagounette Face Book –
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Le saviez-vous ?
Je m’étais toujours demandé quelle espèce de crabe d’Alaska pouvait fournir des pièces aussi charnues…
« Tout commence par une pêche très écolo sur d'immenses bateaux-usines en Alaska. Les colins ramenés à bord sont découpés en filets, mixés, compressés pour éliminer les enzymes, sang et gras afin d'obtenir des pains de 10 ou 20 kilos de pâte blanche. Juste avant l'étape de la congélation, on ajoute du sucre à ladite pâte, afin que les protéines de poisson encaissent sans trop de dommages un refroidissement à -30°.
Arrivé à l'usine, le surimi « de base » est décongelé pour être mélangé avec de la fécule, du blanc d'œuf, de l'huile, du sel, sans oublier les arômes. Au choix : crabe, crevette… Le tout est ensuite malaxé pour former une pâte homogène, dont une partie est colorée avec du paprika pour lui donner sa sémillante enveloppe orange. Étirée en ruban, la pâte traverse pendant quelques minutes un four à vapeur.
Puis on passe au façonnage : le ruban de surimi est coupé en bâtonnets, en dés, en allumettes, voire râpé. Pris en main par un système entièrement robotisé, le surimi est mis en sachets, placé dans des boîtes, pasteurisé dans des étuves, refroidi et enfin étiqueté.
Comme le dit le slogan Fleury Michon « Inventons ensemble une nouvelle façon de manger »
Le Canard Enchaîné – 25/11/2015
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Vu à la télé
Vintimille, fin septembre – Pendant qu'on évacue leurs pauvres hardes au bulldozer,
les migrants sont contenus au ras de l'eau, avec interdiction à quiconque de les ravitailler. « Ils n'ont qu'à remonter (et être expulsés) s'ils veulent boire et manger »…
Le seul trésor que l'un de ces pauvres types avait réussi à préserver jusque là. À quel prix ! Confisquée, la guitare !
Le soir même, la télévision diffusait « Human » (ℹ)Pour tenter de dresser un portrait de l'humanité, le célèbre photographe Yann Arthus-Bertrand est parti à la rencontre d'hommes et de femmes de tous horizons. Il recueille notamment les témoignages de demandeurs d'asile à Calais, de travailleurs du Bangladesh, de condamnés à mort aux États-Unis, de combattants en Ukraine, ou encore de paysans maliens.. Un émouvant documentaire pointant du doigt les insupportables conditions infligées aux laissés pour compte du monde entier. De « superbes » images-choc du très médiatique Yann Arthus-Bertrand.
Yann, c'était pas la peine d'aller si loin
pour faire pleurer dans les chaumières
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Spartiate
« Vivre seul, c’est prendre plaisir à manger du céleri rémoulade dans son papier d’emballage ». Jean Yanne
C’est également valable avec des filets de maquereau au vin blanc à même la boîte. Moi-même
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