▼▲ Les deux vidéos sur jfsaby.com (avec sous-titrage désactivable)
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« remplissez la Terre, et l'assujettissez »
(Genèse 1,28)
On connaissait bien la fameuse Sardine qui bouchait le port de Marseille…
Nous avons désormais le titanesque Maquereau (Scombrus) qui arrive pour nous vider la Méditerranée !
France Inter – 8 h 00
L'armement France Pélagique a présenté jeudi à Concarneau (Finistère) son tout nouveau navire surgélateur, le Scombrus, capable de pêcher quelque 120 tonnes de poissons par jour. Il mesure 81 mètres de long et est doté d'« innovations majeures ».
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Petites nouvelles de la Mare aux canards
Logiquement, ça devrait pouvoir s'arranger !
Titre Var-Matin
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« Je n'ai jamais eu l'idée d'insulter la marine française. Au contraire, je l'admire, je l'aime… »
Rebaptisé « Rhapsody », le navire amiral de la SNCM, racheté par MSC, va bientôt quitter Marseille
On le surnommait « Piège de Cristal »…
L'une des raisons pour lesquelles le Napoléon Bonaparte occupait une place à part au sein de la flotte de la SNCM, était sa réputation de bateau à fort caractère. Les navigants l'avaient d'ailleurs surnommé « piège de cristal » ; une référence au fameux film d'action qui traduisait à la fois le respect et la crainte qu'inspirait ce navire au comportement presque humain. Comme l'explique l'un de ses anciens commandants :
« Avec ce bateau, rien n'était jamais figé ni gravé dans le marbre. Il surprenait tous les jours son équipage ». Et ce même commandant de préciser : « Quand nous quittions Marseille par le chenal, juste avant de franchir la passe Sainte-Marie je faisais toujours donner un petit coup de barre à droite puis un petit coup de barre à gauche pour voir comment il avait décidé de réagir ce jour-là. Et effectivement, ce n'était jamais pareil que la veille. C'était le côté attachant du Bonaparte ».
Philippe Gallini. La Provence – 3 mai 2014
Ah ce Napoléon Bonaparte, quel farceur ! Et son Commandant ! Quel esprit primesautier !
Et leurs 2400 passagers : quels veinards !
Le “Napoléon Bonaparte” échoué dans le port de Marseille après son accident en 2012.
Farceur… et roublard ! Une facétie à 60 M€ (pour l’assureur).
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Le mot du Jour ramène sa science
Allez donc savoir comment on en arrive, après la tartiflette et avant l’ananas amélioré, à disserter sur les miles, les nœuds, la marine à voile et l’âge du capitaine… Et qu’alors je la ramène avec une science que l’honnêteté commande de restituer à son auteur.
« Blog » a un long destin cahoteux, dont la tangente numérique date d'une dizaine d'années. À sa genèse, il ne s'agissait que d'une simple pièce de bois (« log » en anglais). Les premiers marins jetaient un rondin par-dessus bord, à la poupe de leur bateau. En comptant le temps écoulé pour qu'il s'éloigne, ils estimaient ainsi la vitesse du navire.
Plus tard, les navigateurs affinèrent le système en reliant à une corde des pièces de bois à espaces réguliers. Les « logs » jetés à la mer permettaient de mesurer plus précisément l'allure du bateau. Les données collectées étaient soigneusement consignées sur un carnet de bord, un journal de logs. Le terme « log » s'écarte ainsi de son sens originel et commence sa seconde vie : il désigne dès lors les carnets de bord des capitaines aux longs cours. Au début du XXe siècle, les hommes partent à la conquête du ciel, et « log » gagne les airs sous la forme des journaux de bord des pilotes de l'aviation. Au milieu des années 1990, les nouveaux espaces à conquérir sont sur le réseau des réseaux : le Web. Les pionniers de la Toile (pour la plupart américains) y ouvrent des journaux personnels, à destination de la naissante communauté des internautes, des « web-logs ». De la contraction de ces deux termes naît le mot-valise « blog ».
Blog serait donc né outre-Atlantique. Une tache dans la langue française que la commission générale de terminologie et de néologie s'est efforcée, en vain, d'effacer.
Le 9 juin 2005, le ministère de l'éducation nationale publiait, sur son bulletin officiel, sa décision de remplacer « blog » par « bloc-notes », voire « bloc » pour sa forme abrégée.
Une décision tardive : les blogs francophones se comptaient déjà par millions, notamment grâce au succès qu'ils remportent encore auprès des adolescents. Les Québécois ont, pour leur part, préféré franciser l'existant : blog est devenu « blogue ».
Reste que les déclinaisons de ce qui n'était qu'une bûche au début de l'histoire sont nombreuses. « Bloguer » est devenu un verbe et « blogueur » un nom commun.
La « bloguitude » n'est plus très loin.
Eric Nunès - Le Monde du 04/04/2007
Bravo Annie ! C’était une Tartiflette d’anthologie !
(Sans bloague !)
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Fortune de mer
Cette semaine, nous avons vu et revu l’édifiante allégorie de ce minuscule chalutier se détournant au secours de ce gigantesque palace flottant.
Sans doute, les navires de la Royale, à la chasse aux pirates dans la région, sont-ils prudemment passés au large pour ne pas gêner la manœuvre ?
Monsieur Cabu, pardonnez-moi cette insulte à votre art.
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Bonjour ! et bonne traversée (du week-end) à toutes et à tous !
Ben trovato
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