Par-dessus leurs divergences, « Acquitator » ministre et avocat célèbre loue le talent de « Méluche », professeur et homme politique.
« Mélenchon est incontestablement un bon orateur »
Mais qu'en sera-t-il de notre belle langue française dans deux ou trois générations ?
« Hitler a pour but de prendre Stalingrad et Leningrad, il réussiea a prendre Stalingrad et après un combat acharné il prenat une partie de Leningrad et dissa a sont peuple qu’il prenna tout Leningrad car pour lui ce n’est qu’une question de temps mais sans le savoir de l’autre côté de Leningrad et l’océan ce prépare un plan pour reprendre le pouvoir sur Hitler. (…) La Russie demanda l’aide au italien qui on répondue présent. Et c’est que commenca la vrai bataille, pour l instant les nazi son determiner en ne regule devant rien ou sinon il ce font abattre par manque de courage.
[sic]
Reproduction d'une copie du Brevet blanc – Session février 2022
Présentation Après Boris Vian, c'est au tour de Georges Brassens d'être repris en chœur par six comédiens chanteurs de la Comédie-Française. De « La Mauvaise Réputation » à « Les Amoureux des bancs publics » en passant par une interprétation inoubliable de « Fernande », ce sont treize chansons de Brassens, plus ou moins connues, qui sont mises à l'honneur, dans un film musical enlevé, drôle et émouvant, où la complicité et l'amitié ne font jamais défaut. Treize incursions dans le riche répertoire du poète de Sète, pour faire découvrir une facette moins connue de son œuvre, devenue un élément du patrimoine musical français.
De mauvais augures nous prédisent périodiquement la disparition de ce particularisme culturel qu’est la chanson française. Elle aurait été successivement : tuée par les Yé-yés, balayée par la langue anglaise, déstructurée par les rappeurs… Ainsi seraient donc perdus à tout jamais les chansons réalistes du siècle de Berthe Sylva, les refrains engagés d’un Béranger ou d’un Ferrat défendant le prolo, les rimes riches si chères à Brassens ou les truculentes loufoqueries langagières d’un Bobby Lapointe… Et bien non, Messieurs les fossoyeurs, la chanson française n’est pas morte. Tout cela est toujours bien vivace et les talents d’aujourd’hui nous composent des bijoux qui sont autant d’hommages à leurs grands prédécesseurs. Mieux ! Enrichi d’un si prestigieux patrimoine, l’un d’eux parvient à synthétiser toutes les valeurs de ses maîtres en un seul texte. Je vous en livre la teneur :
Elle est vraiment super La caissière du Super
Elle bosse pour le Boss, Pour les beaux yeux du Boss Elle bosse…
Elle bosse pour son gosse Pour les beaux yeux du gosse Elle bosse…
Les caméras ne se lassent pas d’enregistrer les petits travers de la caissière du super…
Elle bosse pour la banque Pour les beaux yeux de la banque…
Elle bosse pour la bouffe, Pour la bouffe de son gosse, Elle bosse…
Elle est vraiment super La caissière du Super !
C’est signé Arthur H. et ce n’est pas encore dans les bacs que déjà ça mérite haut-la-main l’inscription au palmarès de la Chanson Hon chez Philippe Meyer !
Arthur ! Change de crèmerie ! ou « La guerre des enseignes »
J’étais loin de me douter que la caissière de grande surface suscitait autant de fantasmes… Hélène me le fait remarquer en me signalant que l’hôtesse de caisse de chez Leclerc aurait d’autres talents que la pleurnicheuse du supermarché d’Arthur !