Aujourd'hui, c'est (encore) philosophie
Coupure de Charlie-Hebdo ramassée sur Facebook
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Aujourd'hui, c'est (encore) philosophie
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Le Mot du Jour fait sa Greta
Pierre Jouventin, docteur d’État en éco-éthologie, directeur de Recherche au CNRS pose cette question :
« Comment se fait-il que l'espèce la plus intelligente détruise sa seule planète habitable, alors que n'importe quel animalcule sans cervelle parvient à mettre en équilibre ses ressources et ses populations pour durer » ?
Le Canard Enchaîné rapporte sa confrontation avec Serge Latouche, économiste et professeur émérite de l'université Paris-Sud. Voici ce qu'il en ressort :
■ Pour l'économiste, la grande rupture date de l'évolution industrielle de 1850.Pendant cette période, les chasseurs-cueilleurs pratiquaient un système équilibré par le renouvellement naturel des ressources. La subsistance était suffisante à condition de changer régulièrement de territoire. Avec le passage à l'agriculture, l'homme s'est sédentarisé et l'exploitation de plus en plus intensive du sol lui a permis des rendements énormes. Mais aujourd'hui la population croît quand les ressources décroissent, et la banqueroute est prévisible…
■ Pour l'éco-éthologue elle remonte à bien plus loin… à la révolution néolithique :
■ L'économiste Serge Latouche espère en la pédagogie des catastrophes (seules elles nous dessilleront et nous permettront de réagir à temps)Et tout deux de s'amuser de la blague du pessimiste qui dit que « la situation ne peut pas être pire » et que l'optimiste répond « Si ».
(« T'as qu'à croire » ! Note du Mot du Jour au lendemain de Lubrizol !)
■ Pour Pierre Jouventin, le chercheur, l'échec de notre civilisation est patent et nous allons payer la note par des crises écologiques majeures et des guerres. Il faudra ensuite tenter de reconstruire une « civilisation agraire » ; en petites communautés.
D'après le “Plouf” de Jean-Luc Porquet
dans le Canard Enchaîné du 25 septembre 2019
intitulé « Tous deux assis sur la branche qu’on scie »
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Aujourd'hui, c'est Rédaction
Imaginez.
Racontez.
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Fake news
Nan, j'déconne !
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Tout… et son contraire
Hier soir, mon zapping avant extinction de la télé m'a fait passer sur une chaîne « Sport » qui diffusait des images du Rallye du Portugal. Des images époustouflantes d'une « spéciale » en ville.
Un circuit étroit, sinueux à souhait et même compliqué par un tremplin artificiel… Quel spectacle !
Accélérations fulgurantes au départ, épingle à cheveux à 180° négociée en dérapage, freinages tardifs, vrombissantes remontées dans les tours…
En pleine ville, avec d'heureux possesseurs de balcons installés aux premières loges. Je me suis un instant posé la question de savoir quel niveau de pollution sonore ils subissaient. Et s'ils trouvaient encore quelques traces d'azote et d'oxygène dans le mélange d'hydrocarbures, de particules fines de caoutchouc ou de plaquettes de frein qu'ils respiraient… Mais bon… ils avaient l'air d'apprécier.
Et puis je me suis dit qu'une organisation de Rallyes à ce niveau ne pouvait qu'avoir la bénédiction de la COP 21…
Tout comme le Grand Prix de Paris de formule E (comme électrique) qui se déroule (presque) en silence, où l'on travaille à ne plus avoir à changer de batteries à mi-course et où, luxe de précaution, des équipes de chercheurs s'activent à la mise au point d'un système de récupération des particules émises au freinage !
Je n'ai pas compris toute la logique du système, mais je promets de continuer à pratiquer la conduite éco-responsable prônée par nos gouvernements, et de ne pas abuser des grillades dans ma cheminée à feu ouvert, génératrices de particules fines…
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Fidèle du Mot du Jour, comme tu l'as constaté, c'est un peu la panne sèche Et puis, par les temps qui courent, les meilleurs Mots ne sont-ils pas proférés directement par la gent politique… Alors j'espère que veronique.soulie.33, que j'ai rencontrée sur Face Book grâce à l'ami Guy P., ne m'en voudra pas d'avoir plagié son post. C'est pour la bonne cause !
Pitié pour les marmottes !
« J'ai un petit message à te passer…
Je suis allée marcher du village de St-Sorlin-d'Arves jusqu'au col de la Croix-de-Fer (Savoie, mais tu dois connaître, puisque tu fais du vélo…).
La route est encore très enneigée, il va falloir que tu attendes encore un peu pour le gravir.
Il y a malgré tout quelques endroits où elle a déjà fondu et voilà ce que j'ai ramassé… sans forcer !
Overstim's, Power Bar, Isostar, etc.
Toi qui utilises un moyen de locomotion écologique et non pas (j’ose l’espérer) uniquement un « outil » de performance, pourrais-tu, s'il te plaît (t'as vu, je suis polie), être un peu plus respectueux de ces sites ?
Est-ce trop te demander que de conserver tes emballages et de les jeter dans une poubelle ?
Ce n'est pas leurs poids qui vont te gêner pour grimper, non ? Et puis, après tout, ne recherches-tu pas la performance ?
Et, pour finir malgré tout sur une touche d'humour : le POMPON !!!…
C'est le « Coup de Fouet » de chez Overstim's, goût… MOJITO !!!!! »
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Un petit dessin…
…ne vaut-il pas mieux qu’un long débat ?
(pompée sans vergogne sur FaceBook…)
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Aucun des candidats, plus ou moins connus, plus ou moins représentatifs, plus ou moins crédibles, pas du tout éloquents, auquel on demande pourquoi il aspire à la magistrature suprême n'ose dire la vérité. À savoir que, n'étant plus ministre et ne pouvant espérer redevenir député, il ne lui reste plus que l'Élysée comme point de chute. Ils répondent donc tous à côté de la plaque du 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré…
Ils pourraient tout bonnement avouer :
« J'aimerais bien être nourri et logé par l'État. Le salaire importe peu puisque, quand on est Président on ne dépense plus rien ».
Ou bien, plus franchement :
« Avant de prendre ma retraite, j'ambitionne de vivre comme si j'étais très riche aux frais de contribuables de plus en plus pauvres ».
Ils passent même sous silence le seul argument susceptible de leur valoir les suffrages des électeurs ayant du cœur :
« J'ai tout raté. Être chef de l'État me consolerait ».
Mais non ! Ils préfèrent évoquer nos problèmes en escamotant les leurs. Ils se gargarisent avec la pollution, le chômage, les migrants et la grippe.
Quand ils disent « il faut tout changer », ils pensent « je changerais bien d'appartement en troquant ma femme de ménage contre un majordome et vingt cuisiniers. Si je promets de n'embêter personne, j'ai peut-être ma petite chance… »
D'après Philippe Bouvard.
Qu'il me pardonne d'avoir supprimé les notations politiques
qui réduisaient son texte à un pamphlet partisan.
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Réflexion en passant sous la torchère de Feyzin
un jour de circulation alternée (jour & nuit)
« Inexorablement, le végétal triomphera de nos conneries, sans coup férir, malgré nos dégueuleries nucléaires, notre ratissage de l’Amazonie et toutime. Dans moins de pas longtemps, le liseron repoussera sur les parkings, les chênes ou les baobabs sur les pistes d’aéroports ; (…) y’a que les déserts qui ne bougeront pas. Eux, ils attendent. Non pas la fin du monde, car ce sera le contraire qui se produira : la renaissance du monde ! »
San-Antonio – « Faites chauffer la colle », 1993
Merci pour les images Michel !
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« Plus jamais ça ! », « devoir de mémoire » et autres lieux communs
Souvent, au 14 juillet, le Mot du Jour vous inflige son pamphlet contre les feux d'artifices. J'y dénonce la pollution, l'éphémère, le dérisoire et le coût de ces pâles copies du feu des champs de bataille.
Ce texticule se termine par un quatrain remis à jour chaque année :
« Hier, en revenant d’un spectacle si beau,
Ceux qui se lamentaient de payer trop d’impôts,
Qu’ils pensent à Kaboul, à Homs, à Tremsa
Où l’on ne paie rien pour cette féérie-là » !
(Version 2011)
Il ne va pas être aisé cette année de trouver un rime en « lep" !
À moins qu'un nouveau théâtre d'opérations ne me procure d’ici là une rime plus facile…
Alep – février 2016
Dénichée aux détours du net
cette image allégorique de la croissance sans limite
Ne blâmons pas la raffinerie
Pour ses particules de suie
Car elle fabrique le bon Diésel
Qui, au routier, donne des ailes…
Ne le fustigeons pas non plus,
Car au volant de son gros cul
Il file réapprovisionner
Les rayons de l’hypermarché.
Avec des fraises du Chili
Arrivées par avion à Roissy
Ou des escargots de Bourgogne
Venus par la route de Pologne.
Faut-il alors stigmatiser
Ces ménagères toujours pressées
Obligées d’aller à perpète
Le samedi faire leurs emplettes ?
Mais non ! Pour respirer un peu
On ne roulera qu’un jour sur deux,
Et l’on s’apercevra bientôt
Qu’un jour sur deux, c’est un de trop !
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Développement (durable ?)
Toujours plus riches, toujours plus nombreux !
On est les champions ! Et la frontière qui arrête les nuages radioactifs n’est même plus respectée.
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