Inénarrable Var-Matin !
Dans la série
“Mais qu'est-ce qu'il a bien pu vouloir dire…”
… en choisissant cette illustration ?
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Inénarrable Var-Matin !
Dans la série
“Mais qu'est-ce qu'il a bien pu vouloir dire…”
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Aujourd'hui, le Mot du Jour débute une nouvelle série « bouche-trou » constituée de pépites de l'art populaire recueillies au bord de mes chères départementales ou transmises par des correspondants globe-trotters.
C'est à la très officielle boîte des Postes-Télégraphe-Téléphone que revient l'honneur d'ouvrir la série.
Courtesy Hélène
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) des ► Boîtes aux Lettres
dans Chapitre 1. Les officielles
Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page
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On se calme…
Si, si… ça existe…
Une série télé policière où :
– La fliquette n'a pas nécessairement une silhouette 90/52/85.
– Les policiers ne tiennent pas leur pistolet à deux mains et n'ouvrent pas les portes à coup de pied.
– L'on échange moins de 10 coups de feu en 8 épisodes.
– Les interrogatoires ne sont pas conduits en vociférations hystériques.
– Les voitures de police ne démarrent pas en trombe en faisant systématiquement crisser les pneus.
– Ni ne circulent toutes sirènes hurlantes en permanence.
C'était ces derniers lundis soir, sur France 2. Malheureusement diffusé par paquet de trois épisodes et donc interdit aux lève-tôt…
Ça s'appelle "TRAPPED". C'est islandais. Ça change…
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En guise de préface
Ça tient de la grande saga familiale qui tourne au road movie. On y trouve aussi des chapitres quelque peu « gore », ou promouvant des pratiques déviantes. Je pense qu’une adaptation à la scène provoquerait les inévitables manifestations indignées devant le théâtre.
C’est la Bible, dont je vous avais dit que j’entamais la lecture « au premier degré ».
C’est vraiment passionnant mais… c’est rédigé dans un style épouvantable qui rend la lecture ardue voire soporifique à force de répétitions, d’allusions, de mots à double sens… Alors je me tape tout le boulot. Et comme je suis bon zig, j’ai remis tout ce galimatias en parler usuel et je vous en ferai profiter sous la forme d’une série hebdomadaire.
Le Vendredi, Le Mot du Jour cèdera sa place au Chapitre du Jour.
Après demain donc, parution du premier chapitre du volume « Ma Génèse au premier degré ».
À vous retrouver !
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Ma Bible au premier degré
dans En guise de préface.
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14 mai 2012
C’était un soir, entre les deux tours de la Présidentielle. Je cherchais quelque chose pour m’occuper la rétine sans avoir à subir les invectives que s’échangeaient politiques et exégètes sur les « grandes » chaînes. J’ai titillé la zapounette, montant puis descendant tous les canaux de la TNT…
Première partie de soirée
En VO – Cultural
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence noir) gestic(h)urlant contre un malfrat (de préférence blanc et armé) dans un parking souterrain sordide, que resterait-il du canon culturel de notre époque que constituent les séries américaines ?
En VF – Culturel
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence jeune et vêtu en voyou) plaquant d’un geste rageur un gyrophare sur le toit de son véhicule (au choix : surpuissant ou poussif, selon le scénario), que resterait-il des copies françaises des séries américaines ?
Culturel (en rose et blanc)
Dans les séries télévisées, la victime moribonde palabre longuement avec (au choix : son agresseur, un policier, une super-nana…) avant que l’ambulance ne l’emporte toutes sirènes hurlantes vers l’hôpital. Les urgences ne sont jamais encombrées et les policiers cavalent avec le brancard jusqu’en salle d’opérations. Là, le chirurgien (de préférence un quinqua au regard bleu-acier) qui n’attendait que cette occasion, mobilise son assistante (95-60-90) et sauve la malheureuse victime après une angoissante attente où les accompagnateurs écrasent mégots sur mégots dans les couloirs du bloc opératoire.
Que resterait-il des happy-end de nos séries télévisées si l’inévitable séquence hospitalière devait être tournée dans des conditions plus crédibles ?
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