Club Med' est par-dessus le toit,
« Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville ».
Faites excuse, M'sieur Verlaine, mais pour le coup la « paisible rumeur » c'est carrément une licence poétique !
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Ultimes conconfineries
Allez, deux petites dernières sur le sujet avant de passer à autre chose, sinon on va devenir neu-neu à force de sursaturation médiatique *
1 – Il ne faut pas manger des huîtres pendant la période de confinement.
(Parce qu'en les ouvrant, on risque de se blesser et donc d'aller engorger les Urgences)
2 – Il ne faut pas changer les tuiles sur son toit pendant la période de confinement.
(Parce qu'on risque de tomber et de mobiliser des pompiers bien plus utiles à combattre le virus)
Je vous les garantis authentiques, relevées lors d’une désormais habituelle « édition spéciale » bi-quotidienne d'un quelconque journal télévisé.
* À moins que Sibeth (Non ! On a dit « pas sur les noms propres » 
) ne nous sorte une nouvelle énormité de derrière les fraisiers !
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Chansonnette pour un samedi…
Les archers
Simone Langlois – 1961
Chanson écrite par Albert Santoni et mise en musique par André Pontin
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J’ai rebâti Notre-Dame !
Car, finalement, ce qui est bel et bon pour l'Opéra de Lyon (ci-contre) doit bien être transposable…
Et puis, Antonio Fischetti de Charlie Hebdo me conforte dans mon projet :
« On pourrait même laisser les ruines en l'état. Le cachet d'un vestige est parfois plus émouvant qu'un truc en toc qui singe l'ancien. Et pourquoi pas Notre-Dame à ciel ouvert ? Ou avec un toit en verre transparent ? Personne n'a encore lancé l'idée (voilà qui est fait !), mais ce serait au moins un beau moyen de ne plus se faire chier pendant la messe, en contemplant le ciel plutôt que les encensoirs ».
– Tu m’as fabriquée de tes mains avec grand soin et puis tu me délaisses… Vois ce que je deviens sans toit !
LN - juin 2016
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) des ► Boîtes aux Lettres
dans Chapitre N° 12 Modestes, indigentes et minimalistes sous le titre Abandonnée sans toit.
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Un toit sur la tête pour affronter les intempéries en vallée d'Ossau
LN en vadrouille dans les Pyrénées atlantiques en 2007
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dans Chapitre 7. Les enfants gâtés sous le titre Surprotégés en vallée d’Ossau.
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« Murs blancs, toit de bardeaux,
Devant la porte un vieux bouleau… »
Les Carroz d'Arâches – Haute-Savoie – 03/2018
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dans Chapitre 2. Les Naïves
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Charpente à l'ancienne et toit en lauzes pour la scierie de Corrençon-en-Vercors – Isère
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dans Chapitre 2. Les Naïves
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Pour ré-entendre caqueter Yvan Rebroff !
Un violon sur le toit
Norman Jewison - 1971
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Une nouvelle structure d'accueil à Flayosc (Var)
« Nous bénéficions d'un bel outil avec la construction d'un bâtiment de 466 m2. Les conditions de travail se sont nettement améliorées et les travaux entrepris nous ont permis d'optimiser l'hébergement de tous nos pensionnaires », précise le responsable de la structure.Il est même prévu de diffuser de la musique dans des salles équipées d'enceintes. Cependant, même si ici tout est flambant neuf, le refuge demeure un hébergement temporaire pour ceux qui n'ont plus de toit.
Le docteur Sandrine Gremion rajoute :
« Nous sommes vraiment là pour eux. Ils arrivent en mauvais état et repartent métamorphosés. Parfois trois mois de soins sont nécessaires. Dans une clinique on ne pourrait pas prodiguer autant de soins ».
NDLR : Suite à une erreur de maquettage, l'enluminure de début d'article n'a aucun rapport avec ce reportage. Veuillez nous excuser de la confusion que cela aura pu induire. |
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Discrète exploration en terre encore vierge
À nous, qui avons patiemment suivi les pérégrinations de Sophie-la-girafe au printemps dernier, il est enfin donné la satisfaction d'admirer le résultat final de son séjour dans notre savane semi-urbaine :
Il s'agit d'un vaste parking privatif au 3e niveau d'un ensemble de caractères à l'enseigne de Carrefour-Market avec vue sur mer. Notons que l’animal aura sans doute remarqué qu'il reste encore quelques îlots de verdure propices à un nouveau séjour chez nous…
Le casse-croûte de Sophie, constitué d'une haie de tamaris assaisonnée de deux poivriers a été avantageusement remplacé par un toit végétalisé prometteur.
À bientôt peut-être, pour de nouvelles aventures…
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Matin calme
J’ai maudit, ce matin, ce voisin qui, trop tôt,
Sur le mur mitoyen tapotait son marteau…
Ce n’était que la pie qui, la haut, sur le toit
De son bec vigoureux, s’excitait sur sa proie !
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La curiosité du 22 mai (la gouttière bretonne)
Le profil tarabiscoté de ce support percé a su titiller les imaginations… Voici les réponses qui ont été proposées à ma curiosité :
Le Bricoleur : C’est un trou pour le passage du tournevis au moment du montage.
L’usinier : c’est un trou d’accrochage pour les traitements de surface.
L’écolo : C’est pour suspendre de la nourriture aux oiseaux.
La sorcière : C’est pour suspendre de l’ail pour éloigner les vampires.
La décoratrice : C’est pour faire pendre un Père Noël en plastique.
La sadique : C’est un piège à Père Noël.
L’originale : C’est pour se montrer atypique.
Le jardinier : C’est pour pendre des pots de géraniums.
Le patriote : C’est pour y ficher des drapeaux pour le 14 juillet.
Je ne saurais me montrer plus imaginatif…
Ma proposition : Des emplacements pour recevoir un pare-neige dans les pays de montagne à toits en lauzes…
J’ai déjà vu ce genre de petites barrières au bord des toits, mais je ne me suis jamais préoccupé de leur fixation.
Qu’en pensent les lecteurs Savoyards, Alpins (hauts et bas), Isérois ou autres ?
Cet article apporte des réponses à un article du 22 mai qui a disparu de ce blog. Je crains que beaucoup d'articles aient subi le même sort lors du « nettoyage » du site par le gestionnaire de notre serveur, Mavenhosting, suite à une attaque virale, en juillet 2016. Jeff Saby.
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