Le filon !
vues | Partager sur : |
Le filon !
vues | Partager sur : |
L’image est assez plaisante !
surtout si Martine donne l’exemple !
C’est aujourd’hui Elèna qui a mouillé la chemise pour nous dégoter le sujet de ce Mot du Jour.
Martine Aubry se dit "extrêmement choquée" REACTION - "On ne peut pas accepter d'écrire ce genre de choses", a déclaré samedi la maire de Lille. "On se grandirait à ne pas se mettre au niveau des caniveaux", a ajouté Martine Aubry, estimant que l'ouvrage, dont elle n'a lu que quelques extraits, était "le livre d'une femme blessée". "Je pense que notre démocratie se grandirait à ne pas parler de ça", a-t-elle encore dit. "À un moment où la France va mal, les Français ont envie qu'on se lève la chemise pour pouvoir lutter contre le chômage, les inégalités, (défendre) le logement, refaire de la France un grand pays", a précisé Martine Aubry, mais "ils n'ont pas besoin de ce genre de choses". |
D’aucuns s’en réfèrent à Jaurès, à Marx, à Jules Ferry… Même cité approximativement, Zebda gagne ici en considération !
vues | Partager sur : |
Échappé belle !
S’il en est un qui doit mieux mesurer sa chance aujourd’hui, c’est bien Monsieur Trierweiler !
vues | Partager sur : |
Royal
Dix-huit mots, pas un de plus, dans le communiqué du Président
pour couper court aux supputations :
C’est le Sire « Concision »
« Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler »
vues | Partager sur : |
Le Majordome enregistre aussi à l’Élysée
Saynète diffusée sur le net par l’ami Guy P. et élevée au rang de Mot du jour
Les personnages :
— François le Bon, Président Monarque
— Ségolène, Madame Royale, duchesse de Poitou-Charentes
— Valérie de Twitweiler, Madame de Maintenant
François
Je vous ai fait venir toutes deux jusqu’à moi,
Pour mieux vous faire part de mon réel émoi.
Je me dois désormais de gouverner la France,
Et je veux me vouer à cette gouvernance
Sans me voir infliger chaque jour le souci
De devoir arbitrer vos permanents conflits !
Je veux que dès demain l’ensemble de la presse
S’abstienne de parler du cas de mes maîtresses.
Le trône que j’occupe exige que je sois
Digne de la posture que l’on attend de moi.
Royale
Vous êtes mal parti ! Lié à cette garce,
Vous resterez toujours le dindon de la farce !
Maintenant
Holà, Madame, holà ! Chantez un ton plus bas.
Ce sont là des propos que je n’accepte pas !
Vous vous trompez de genre, car en cette occasion,
L’on doit parler de dinde et non pas de dindon.
Royale
Nous sommes bien d’accord ! Je vois avec bonheur
Que vous vous estimez à votre vraie valeur !
Maintenant
Votre appréciation quant à elle m’enchante :
Vous êtes trop aimable en vous voulant méchante ;
Une injure de vous frise le compliment.
Royale
Pour vous complimenter encore un bref moment :
L’homme doit sa fortune à sa première femme ;
Enivré de gloriole, il en devient bigame,
Et il doit la suivante à sa bonne fortune !
Maintenant
Vos considérations ne sont guère opportunes :
Ce n’est qu’avec François que vous avez trouvé
L’éphémère moyen de vaguement briller.
Puisant dans son esprit, sa force et sa raison
Les moyens de servir vos propres ambitions,
Vous avez tout gâché en y mettant du vôtre,
Exaspérant les uns, faisant rire les autres !
Et depuis vous avez, sans perdre vos grands airs,
Entassé joliment défaites et revers.
Vous vous croyiez précieuse et fûtes ridicule,
Vous espériez compter et ne fûtes que nulle !
Royale
Permettez-moi, Madame, avec tout le respect
Que l’on se doit d’avoir pour qui est au sommet,
De très modestement vous dire sans ambages
Que le peu que j’obtins, je l’obtins sans « jambage » !
Tout ce que j’ai perdu, je peux le regagner
Sans devoir pour autant coucher à l’Élysée.
Je ne dois qu’à moi seule les postes que je brigue,
Perdant ainsi sans honte et gagnant sans intrigue.
Quant à vous, l’on pourrait demain vous replonger
Dans l’aimable néant dont vous fûtes tirée.
Adieu, Madame, adieu, et n’étant point méchante,
Je vous laisse rêver « hollandemains » qui chantent !
François
Eh bien voilà, voilà ; je crois que nous avons
Fait assez bien le tour de la situation !
Il est bon que parfois des vérités se disent,
Qu’on puisse se parler avec pleine franchise.
De la paix retrouvée, ces mots sont le prélude,
Et tout va donc rentrer dans la normalitude.
(à Royale)
Embrasse les enfants, dis-leur qu’à eux je pense.
(à Maintenant)
Et toi, viens faire l’amour avec la Présidence !
H. W.
vues | Partager sur : |