Fake news
Nan, j'déconne !
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Comme une bagnole
C'est une publicité Mercedes-Benz entendue ce matin sur France Inter*… (et qui véhicule – encore – une image peu reluisante du « mâle blanc ») :
On y entend une espèce de grand dadais bêtifiant s'évertuant à demander en mariage sans délai une donzelle éberluée par tant d'empressement. La chute du sketch est censée éclairer la belle par un slogan qui, s'il n'est pas très galant, a au moins le mérite de préciser les intentions de son prétendant :
« La location longue durée devient totalement flexible »
Hé ! Les filles ! Et là, vous ne voyez rien à balancer ?
* C'était juste avant que Nicolas Hulot ne vienne manger à belles dents véhémentes son chapeau assaisonné au glyphosate.
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Les bons conseils du Mot du Jour
Montage des chaînes
Le montage des chaînes est toujours contraignant, surtout quand il faut les monter au bord de la route “en catastrophe”. Entraînez-vous à les monter et à les démonter avant de partir vers des routes potentiellement enneigées. Montez-les dès que la chaussée est suffisamment enneigée (elles seront toujours plus faciles à monter que sur sol sec). N’attendez pas d’être bloqué… Montez les chaînes sur les deux roues de l’essieu moteur, idéalement sur les quatre roues (ce qui est obligatoire sur une quatre roues motrices).
Les chaussettes à neige
Les chaussettes à neige (parfois appelées “chaînes textiles”) sont constituées d’une enveloppe tissée en polyester à tension automatique, grâce à deux bandes élastiques intérieures et extérieures. Elles sont beaucoup plus faciles à monter que les chaînes traditionnelles. Assurez-vous, en les achetant, qu’elles sont bien homologuées “panneau B26”. Elles sont silencieuses, légères et confortables mais… elles s’usent rapidement et doivent être contrôlées régulièrement. Elles sont peu efficaces en neige profonde.
Notez surtout que les chaînes, si elles évitent les risques d’immobilisation, impactent fortement la conduite, tout en améliorant cependant la traction et le guidage du véhicule.
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Un loup dans la bergerie
Qu'un énorme pick-up 4/4 noir fasse un démarrage « Grand prix » dans un panache noir de suie, ça n'émeut hélas plus grand monde à part les vieux schnocks dont je suis qui votaient René Dumont en 1974…
Mais que ce véhicule affiche sur la portière les armes de « Sea Shepherd », ça fait quand même un choc et ça augure encore plus mal de l'avenir…
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Stationnement interdit
Au Bois de Boulogne, la police se livre à une hypocrite traque de tous les véhicules prévus pour les transports [de marchandises] stationnés là malgré un arrêté municipal. (France 2 – 20 h.– 9 juin)
Ne pourrait-on pas plutôt aménager une coquette aire de stationnement pour camping-cars gérée par la FFCC(*) ?
(*)Fédération Française de Copulation Champêtre)
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14 mai 2012
C’était un soir, entre les deux tours de la Présidentielle. Je cherchais quelque chose pour m’occuper la rétine sans avoir à subir les invectives que s’échangeaient politiques et exégètes sur les « grandes » chaînes. J’ai titillé la zapounette, montant puis descendant tous les canaux de la TNT…
Première partie de soirée
En VO – Cultural
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence noir) gestic(h)urlant contre un malfrat (de préférence blanc et armé) dans un parking souterrain sordide, que resterait-il du canon culturel de notre époque que constituent les séries américaines ?
En VF – Culturel
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence jeune et vêtu en voyou) plaquant d’un geste rageur un gyrophare sur le toit de son véhicule (au choix : surpuissant ou poussif, selon le scénario), que resterait-il des copies françaises des séries américaines ?
Culturel (en rose et blanc)
Dans les séries télévisées, la victime moribonde palabre longuement avec (au choix : son agresseur, un policier, une super-nana…) avant que l’ambulance ne l’emporte toutes sirènes hurlantes vers l’hôpital. Les urgences ne sont jamais encombrées et les policiers cavalent avec le brancard jusqu’en salle d’opérations. Là, le chirurgien (de préférence un quinqua au regard bleu-acier) qui n’attendait que cette occasion, mobilise son assistante (95-60-90) et sauve la malheureuse victime après une angoissante attente où les accompagnateurs écrasent mégots sur mégots dans les couloirs du bloc opératoire.
Que resterait-il des happy-end de nos séries télévisées si l’inévitable séquence hospitalière devait être tournée dans des conditions plus crédibles ?
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