Un gag sans fin
C'est celle du vaccin non obligatoire
mais indispensable !
Merci Monsieur Gottlieb !
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Un gag sans fin
C'est celle du vaccin non obligatoire
mais indispensable !
Merci Monsieur Gottlieb !
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Encore une fois livré prêt à l'emploi par Var-matin
Ça, on savait !
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Z'en feraient pas un peu trop ?
Ce matraquage d'infos sur la haute protection policière sous laquelle on place le transport du vaccin COVID, me rappelle cette gravure de l'École primaire qui illustrait le stratagème que, selon la légende, aurait employé Parmentier pour inciter à la consommation de pommes de terre…
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– On a eu les exhortations à porter un masque…
Puis on nous a dit que ça ne servait à rien
– Fallait qu'on se fasse explorer les trous de nez…
Mais sur rendez-vous, car on manquait de laboratoires… et de tests
– Va maintenant falloir qu'on se fasse vacciner…
Mais les « experts » se bousculent aux chaînes d'info
pour nous inciter à signaler les « effets indésirables »…
Alors ?
Tu veux ou tu veux pas ?
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L'information
Un vaccin contre COVID serait en passe d'être mis au point. Son efficacité serait avérée à 90 %. On envisage sa demande d'autorisation de mise sur le marché.
Les médias
censés relayer (ou plutôt anticiper, sinon affabuler) les questions que se pose la population
– Sera-t-il obligatoire ?
– Y en aura-t-il pour tout le monde ?
– Qui sera prioritaire pour le recevoir ?
– Ne sera-t-il pas réservé aux Américains ?
– Y a-t-il suffisamment d'avions pour le transporter ?
– Où trouvera-t-on des frigos pour le conserver à -70°C ?
Non, mais vous avez quel âge ?
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La grippe arrive ! (Les média)
Aussi efficace que le vaccin à Roselyne, moins dangereux que les médicaments miracles de votre potard, je vous livre un remède de bonne-femme dont Tonton Bérurier donnait la recette à un collègue, en 1990, dans « Cocottes-minute » :
— …je couve la grippe. Je dois cogner le 39.
— J’ai un remède efficace, déclare le Gros : le café marc !
— Je connais, merci…
— Tu connais, mais pas les proportions affirme Sa Majesté. V’la la recette exaguete et testuelle. Tu prends un bol. Tu mets une pièce d’un franc au fond. N’ensute, tu verses du café dessus jusqu’à ce que tu voyes plus la pièce ; tu me suis ?
— Fiévreusement…
— Après ça, tu verses du marc sur le café jusqu’à ce que tu revoyes la pièce. Et alors là, t’écluses sans l’avaler.
À tous les fiévreux, un prompt rétablissement !
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